Evidence et étrangeté.. Mathématique, psychanalyse, Descartes et Freud
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- Nombre de pages184
- PrésentationBroché
- Poids0.275 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,6 cm
- ISBN2-13-050933-9
- EAN9782130509332
- Date de parution27/09/2000
- Collectionbibliotheque college philo
- ÉditeurPUF
Résumé
Descartes et Freud ont pour véritables soucis fonciers, l'un l'évidence, et l'autre l'étrangeté. Il est remarquable qu'ils ne déterminent ces notions qu'implicitement, de façons réellement paradoxales. Cela peut surprendre, surtout si l'on ajoute que leurs façons sont identiques. A partir de la décision cartésienne d'identifier le vrai à l'évident se trouve fondée la science ; et l'identification freudienne du vrai à l'étrange fonde la psychanalyse.
La question de la relation entre science et psychanalyse porte donc, ici, sur le réel du nouage paradoxal entre les deux déterminations du vrai pointées par Descartes et Freud, sur leur différence et leur inséparabilité. Plus spécifiquement, c'est d'abord du point de vue du rapport entre mathématique et psychanalyse que la question est approfondie. La visée du livre est de construire le principe de ce nouage, de ce nœud hétérogène.
La ressource centrale est de considérer comme vitale, tant au jeu de l'évidence qu'à celui de l'étrangeté, la question de la lettre.
La question de la relation entre science et psychanalyse porte donc, ici, sur le réel du nouage paradoxal entre les deux déterminations du vrai pointées par Descartes et Freud, sur leur différence et leur inséparabilité. Plus spécifiquement, c'est d'abord du point de vue du rapport entre mathématique et psychanalyse que la question est approfondie. La visée du livre est de construire le principe de ce nouage, de ce nœud hétérogène.
La ressource centrale est de considérer comme vitale, tant au jeu de l'évidence qu'à celui de l'étrangeté, la question de la lettre.
Descartes et Freud ont pour véritables soucis fonciers, l'un l'évidence, et l'autre l'étrangeté. Il est remarquable qu'ils ne déterminent ces notions qu'implicitement, de façons réellement paradoxales. Cela peut surprendre, surtout si l'on ajoute que leurs façons sont identiques. A partir de la décision cartésienne d'identifier le vrai à l'évident se trouve fondée la science ; et l'identification freudienne du vrai à l'étrange fonde la psychanalyse.
La question de la relation entre science et psychanalyse porte donc, ici, sur le réel du nouage paradoxal entre les deux déterminations du vrai pointées par Descartes et Freud, sur leur différence et leur inséparabilité. Plus spécifiquement, c'est d'abord du point de vue du rapport entre mathématique et psychanalyse que la question est approfondie. La visée du livre est de construire le principe de ce nouage, de ce nœud hétérogène.
La ressource centrale est de considérer comme vitale, tant au jeu de l'évidence qu'à celui de l'étrangeté, la question de la lettre.
La question de la relation entre science et psychanalyse porte donc, ici, sur le réel du nouage paradoxal entre les deux déterminations du vrai pointées par Descartes et Freud, sur leur différence et leur inséparabilité. Plus spécifiquement, c'est d'abord du point de vue du rapport entre mathématique et psychanalyse que la question est approfondie. La visée du livre est de construire le principe de ce nouage, de ce nœud hétérogène.
La ressource centrale est de considérer comme vitale, tant au jeu de l'évidence qu'à celui de l'étrangeté, la question de la lettre.
