Envoûté par sa djellaba. Roman
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- Nombre de pages92
- PrésentationBroché
- Poids0.1206 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-414-32054-7
- EAN9782414320547
- Date de parution15/02/2019
- ÉditeurEdilivre
Résumé
"S'identifier à une robe faisait flipper. A part, s'engager dans les ordres. En l'espèce, Jason Antoine nageait en plein délire. Il empruntait le chemin de la morale sans défendre les valeurs vertueuses pour tous. Jason Antoine donnait raison à ses choix. Il se réduisait sous sa djellaba. Alors que l'esprit couvrait la vie de manière plus large qu'un textile. Il cochait mes options éducatives pour les enfants de la famille dans la mauvaise case.
Pourtant, au sein de la famille, les croyances appelaient au respect des enfants envers leurs parents. En dehors de la maison, la même pratique de la foi exhortait à la considération des uns et des autres. Sans distinction de couleur de peau, d'horizons, d'ethnies. Je paraissais étrangère à mon fils. Inversement, Jason Antoine me traitait comme une vulgaire personne. J'expirais grandement pour ne pas perdre le contrôle de moi-même.
Je restais attachée à mon fils que je refusais de perdre. Après tout, ma fibre maternelle s'activait sur lui. Je le sentais toujours présent dans mon existence. D'autant plus que c'était mon seul garçon. Jason Antoine remplaçait mon mari. Il veillait sur ses soeurs. Sauf que dans la circonstance qu'il nous imposait, il nous abandonnait".
Pourtant, au sein de la famille, les croyances appelaient au respect des enfants envers leurs parents. En dehors de la maison, la même pratique de la foi exhortait à la considération des uns et des autres. Sans distinction de couleur de peau, d'horizons, d'ethnies. Je paraissais étrangère à mon fils. Inversement, Jason Antoine me traitait comme une vulgaire personne. J'expirais grandement pour ne pas perdre le contrôle de moi-même.
Je restais attachée à mon fils que je refusais de perdre. Après tout, ma fibre maternelle s'activait sur lui. Je le sentais toujours présent dans mon existence. D'autant plus que c'était mon seul garçon. Jason Antoine remplaçait mon mari. Il veillait sur ses soeurs. Sauf que dans la circonstance qu'il nous imposait, il nous abandonnait".
"S'identifier à une robe faisait flipper. A part, s'engager dans les ordres. En l'espèce, Jason Antoine nageait en plein délire. Il empruntait le chemin de la morale sans défendre les valeurs vertueuses pour tous. Jason Antoine donnait raison à ses choix. Il se réduisait sous sa djellaba. Alors que l'esprit couvrait la vie de manière plus large qu'un textile. Il cochait mes options éducatives pour les enfants de la famille dans la mauvaise case.
Pourtant, au sein de la famille, les croyances appelaient au respect des enfants envers leurs parents. En dehors de la maison, la même pratique de la foi exhortait à la considération des uns et des autres. Sans distinction de couleur de peau, d'horizons, d'ethnies. Je paraissais étrangère à mon fils. Inversement, Jason Antoine me traitait comme une vulgaire personne. J'expirais grandement pour ne pas perdre le contrôle de moi-même.
Je restais attachée à mon fils que je refusais de perdre. Après tout, ma fibre maternelle s'activait sur lui. Je le sentais toujours présent dans mon existence. D'autant plus que c'était mon seul garçon. Jason Antoine remplaçait mon mari. Il veillait sur ses soeurs. Sauf que dans la circonstance qu'il nous imposait, il nous abandonnait".
Pourtant, au sein de la famille, les croyances appelaient au respect des enfants envers leurs parents. En dehors de la maison, la même pratique de la foi exhortait à la considération des uns et des autres. Sans distinction de couleur de peau, d'horizons, d'ethnies. Je paraissais étrangère à mon fils. Inversement, Jason Antoine me traitait comme une vulgaire personne. J'expirais grandement pour ne pas perdre le contrôle de moi-même.
Je restais attachée à mon fils que je refusais de perdre. Après tout, ma fibre maternelle s'activait sur lui. Je le sentais toujours présent dans mon existence. D'autant plus que c'était mon seul garçon. Jason Antoine remplaçait mon mari. Il veillait sur ses soeurs. Sauf que dans la circonstance qu'il nous imposait, il nous abandonnait".