Ecueil de poèmes. Et autres récifs

Par : Isard de Ghiscain
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  • Nombre de pages176
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.264 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN979-10-377-4657-3
  • EAN9791037746573
  • Date de parution26/11/2021
  • ÉditeurLe Lys Bleu

Résumé

La poésie est l'oeuvre d'un artisan autant que d'un artiste. Elle creuse et puise aux tréfonds des émotions. Elle s'élance et flotte dans les éthers de l'esprit. Elle sert d'asile aux pensées égarées ; de passeport aux consciences étouffées ; d'observatoire du monde et des humains qui le malmènent, se malmènent ; de miroir à quiconque examine ses états d'âme. Elle ne sert à rien que nous dire vivants, provisoirement, et c'est ce qui l'érige au rang d'art.
Mais elle ne serait que jérémiades et roucoulades si elle n'était pas le fruit, parfois besogneux, d'un labeur d'artisan. Celui de l'introspection et de l'interrogation qui président longuement à la création. Celui du combat que livre le poète contre sa pudeur et ses doutes, loin de tout orgueil de la renommée. Celui surtout par lequel il se contraint, tels un joaillier, un potier, un menuisier, à manier avec révérence les techniques et conventions séculaires de la prosodie et des rimes.
Ou à s'en affranchir à dessein, pour y revenir à son gré, réinventant sans cesse la modernité esthétique. A tailler, modeler, ciseler ses vers jusqu'à la plus frêle perfection. A sertir, décorer, vernir ses compositions pour que les mots se muent miraculeusement en chant. La poésie est un prodigieux outil prodigieusement inutile.
La poésie est l'oeuvre d'un artisan autant que d'un artiste. Elle creuse et puise aux tréfonds des émotions. Elle s'élance et flotte dans les éthers de l'esprit. Elle sert d'asile aux pensées égarées ; de passeport aux consciences étouffées ; d'observatoire du monde et des humains qui le malmènent, se malmènent ; de miroir à quiconque examine ses états d'âme. Elle ne sert à rien que nous dire vivants, provisoirement, et c'est ce qui l'érige au rang d'art.
Mais elle ne serait que jérémiades et roucoulades si elle n'était pas le fruit, parfois besogneux, d'un labeur d'artisan. Celui de l'introspection et de l'interrogation qui président longuement à la création. Celui du combat que livre le poète contre sa pudeur et ses doutes, loin de tout orgueil de la renommée. Celui surtout par lequel il se contraint, tels un joaillier, un potier, un menuisier, à manier avec révérence les techniques et conventions séculaires de la prosodie et des rimes.
Ou à s'en affranchir à dessein, pour y revenir à son gré, réinventant sans cesse la modernité esthétique. A tailler, modeler, ciseler ses vers jusqu'à la plus frêle perfection. A sertir, décorer, vernir ses compositions pour que les mots se muent miraculeusement en chant. La poésie est un prodigieux outil prodigieusement inutile.

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Un voyage intérieur en partage
L'auteur livre ses angoisses, ses espoirs, ses émerveillements au rythme des grands chamboulements de sa vie et nous nous projetons avec lui dans cette vie qui fait écho à la nôtre, attentifs aux facetieux jeux de mots dont le recueil regorge.
L'auteur livre ses angoisses, ses espoirs, ses émerveillements au rythme des grands chamboulements de sa vie et nous nous projetons avec lui dans cette vie qui fait écho à la nôtre, attentifs aux facetieux jeux de mots dont le recueil regorge.