Ecrire le cinéma. Le ciné-roman selon Alain Robbe-Grillet : analyse de L'Immortelle
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- Nombre de pages94
- PrésentationBroché
- Poids0.14 kg
- Dimensions14,9 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-7056-8431-0
- EAN9782705684310
- Date de parution23/04/2013
- CollectionVertige de la langue
- ÉditeurHermann
Résumé
Film trop écrit et ciné-roman trop filmique, L’Immortelle apparaît comme une œuvre pivot mais somme toute méconnue dans la bibliographie d’Alain Robbe-Grillet. Ce rôle est certainement lié au travail intersémiotique qui la caractérise, mais il est surtout déterminé par le travail de transformation de la fonction et de la forme de la narration qui s’opère dans l’ouvrage de l’écrivain-cinéaste : de la mise en valeur de la crise du sujet on passe à un projet narratif construit à partir de quelques thèmes générateurs qui construisent et détruisent en même temps la logique narrative du récit.
Cette condition intermédiaire permettra finalement à l’écrivain de relire le texte à la lumière d’une conscience individuelle hantée par ses obsessions personnelles. Le présent ouvrage circonscrit donc l’analyse à un genre liminaire et à un texte spécifique afin de relire leur centralité dans l’esthétique de l’écrivain breton. L’analyse détaillée ne se limite pas à édifier le récit dans son organicité, mais permet de s’interroger sur sa forme labyrinthique et sur l’idéologie narrative qui la soutient.
Cette condition intermédiaire permettra finalement à l’écrivain de relire le texte à la lumière d’une conscience individuelle hantée par ses obsessions personnelles. Le présent ouvrage circonscrit donc l’analyse à un genre liminaire et à un texte spécifique afin de relire leur centralité dans l’esthétique de l’écrivain breton. L’analyse détaillée ne se limite pas à édifier le récit dans son organicité, mais permet de s’interroger sur sa forme labyrinthique et sur l’idéologie narrative qui la soutient.
Film trop écrit et ciné-roman trop filmique, L’Immortelle apparaît comme une œuvre pivot mais somme toute méconnue dans la bibliographie d’Alain Robbe-Grillet. Ce rôle est certainement lié au travail intersémiotique qui la caractérise, mais il est surtout déterminé par le travail de transformation de la fonction et de la forme de la narration qui s’opère dans l’ouvrage de l’écrivain-cinéaste : de la mise en valeur de la crise du sujet on passe à un projet narratif construit à partir de quelques thèmes générateurs qui construisent et détruisent en même temps la logique narrative du récit.
Cette condition intermédiaire permettra finalement à l’écrivain de relire le texte à la lumière d’une conscience individuelle hantée par ses obsessions personnelles. Le présent ouvrage circonscrit donc l’analyse à un genre liminaire et à un texte spécifique afin de relire leur centralité dans l’esthétique de l’écrivain breton. L’analyse détaillée ne se limite pas à édifier le récit dans son organicité, mais permet de s’interroger sur sa forme labyrinthique et sur l’idéologie narrative qui la soutient.
Cette condition intermédiaire permettra finalement à l’écrivain de relire le texte à la lumière d’une conscience individuelle hantée par ses obsessions personnelles. Le présent ouvrage circonscrit donc l’analyse à un genre liminaire et à un texte spécifique afin de relire leur centralité dans l’esthétique de l’écrivain breton. L’analyse détaillée ne se limite pas à édifier le récit dans son organicité, mais permet de s’interroger sur sa forme labyrinthique et sur l’idéologie narrative qui la soutient.