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  • Nombre de pages535
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.62 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 3,7 cm
  • ISBN978-2-7096-3563-9
  • EAN9782709635639
  • Date de parution22/08/2012
  • ÉditeurJC Lattès
  • TraducteurMartine Desbureaux

Résumé

Nos récits s'entrelacent telles les bandes de lirette dans la trame d'un tapis. Et chacun y reste pris. Jusqu'à l'usure. En devient partie intégrante. L'idée de départ était peut-être autre que le résultat, ou alors nous sommes parfaits - un récit parfait, sur tout, sur rien. Sur la vie telle qu'elle a été. Mais jamais sur ce qu'elle aurait pu être. Je suis tissée dans ton récit. Inextricablement.Cinq frères et sours grandissent dans une petite communauté suédoise au pied du mont Kungsberg : deux frères, Edwin et Otto, et trois sours, Karin et Sofia, qui restent inséparables jusqu'à ce que l'amour puis la mort les sépare, tandis qu'Emilia sillonne les rues à bicyclette en rêvant d'évasion. Tout commence en 1938, lorsqu'une maison prend feu, celle de Mlle Filipsson, femme singulière venue d'on ne sait où.
Edwin est le seul à la pleurer. Un an plus tard, c'est l'Europe entière qui s'embrase. Le jour même de l'invasion de la Pologne, une petite fille naît, et Karin, sa mère, agonise. Chacun des membres de la fratrie poursuit sa vie, entre rêves et désillusions. Au long de deux décennies, Anna Jorgensdötter nous livre un roman choral semé d'amour et de drames, marqué par les disparités entre hommes et femmes dans une société en mutation.
Nos récits s'entrelacent telles les bandes de lirette dans la trame d'un tapis. Et chacun y reste pris. Jusqu'à l'usure. En devient partie intégrante. L'idée de départ était peut-être autre que le résultat, ou alors nous sommes parfaits - un récit parfait, sur tout, sur rien. Sur la vie telle qu'elle a été. Mais jamais sur ce qu'elle aurait pu être. Je suis tissée dans ton récit. Inextricablement.Cinq frères et sours grandissent dans une petite communauté suédoise au pied du mont Kungsberg : deux frères, Edwin et Otto, et trois sours, Karin et Sofia, qui restent inséparables jusqu'à ce que l'amour puis la mort les sépare, tandis qu'Emilia sillonne les rues à bicyclette en rêvant d'évasion. Tout commence en 1938, lorsqu'une maison prend feu, celle de Mlle Filipsson, femme singulière venue d'on ne sait où.
Edwin est le seul à la pleurer. Un an plus tard, c'est l'Europe entière qui s'embrase. Le jour même de l'invasion de la Pologne, une petite fille naît, et Karin, sa mère, agonise. Chacun des membres de la fratrie poursuit sa vie, entre rêves et désillusions. Au long de deux décennies, Anna Jorgensdötter nous livre un roman choral semé d'amour et de drames, marqué par les disparités entre hommes et femmes dans une société en mutation.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.3/5
sur 4 notes dont 3 avis lecteurs
Déçue!
Dur dur de rentrer dans le récit! L'auteur a une manière d'écrire très particulière et assez déconcertante... qui ne m'a pas vraiment permis d'apprécier l'histoire, qui promettait pourtant d'être assez passionnante... Les Steen vivent à Norbby. C'est une famille de cinq enfants, tous différents et très soudés. Karin et Sofia sont très complices, Edwin est un solitaire taciturne, Emilia est éprise de liberté, quant à Otto, il est est plutôt discret. Nous les suivons petit à petit dans leur vie, au fil des années. Une vie de bonheur puis très vite arrive la guerre et avec elle la désillusion. Les cinq enfants grandissent et vivent des périodes troublent qui les mèneront vers l'âge adulte. Voilà... Je n'ai pas spécialement aimé ce livre. L'écriture est trop hachée, trop digressive à mon goût, on en perd le fil! Quant àl'intérêt de l'histoire je suis passée à côté semble-t-il... Il faut dire que le rythme est très lent, et les réflexions parfois sans intérêt… Le récit sert tantôt une critique sur le mariage, tantôt une critique sur la vie en générale à cette époque... J’ai trouvé les thèmes vus et revus et me suis grandement ennuyée. Dommage car ce roman semblait prometteur…
Dur dur de rentrer dans le récit! L'auteur a une manière d'écrire très particulière et assez déconcertante... qui ne m'a pas vraiment permis d'apprécier l'histoire, qui promettait pourtant d'être assez passionnante... Les Steen vivent à Norbby. C'est une famille de cinq enfants, tous différents et très soudés. Karin et Sofia sont très complices, Edwin est un solitaire taciturne, Emilia est éprise de liberté, quant à Otto, il est est plutôt discret. Nous les suivons petit à petit dans leur vie, au fil des années. Une vie de bonheur puis très vite arrive la guerre et avec elle la désillusion. Les cinq enfants grandissent et vivent des périodes troublent qui les mèneront vers l'âge adulte. Voilà... Je n'ai pas spécialement aimé ce livre. L'écriture est trop hachée, trop digressive à mon goût, on en perd le fil! Quant àl'intérêt de l'histoire je suis passée à côté semble-t-il... Il faut dire que le rythme est très lent, et les réflexions parfois sans intérêt… Le récit sert tantôt une critique sur le mariage, tantôt une critique sur la vie en générale à cette époque... J’ai trouvé les thèmes vus et revus et me suis grandement ennuyée. Dommage car ce roman semblait prometteur…
Décevant
Norrby, un petit village suédois dominé par le mont Kungsberg. C'est là que les Steen vivent dans la ferme familiale. Ils sont cinq, deux garçons, trois filles, tous différents mais toujours unis : Edwin, travailleur et taiseux, Otto, l'aventurier, Karin, gironde et rieuse, fiancée à Max, Sofia, l'imaginative et Emilia, la rêveuse petite dernière. L'année 1938 marque la fin de leur enfance commune. Edwin part s'installer seul à quelques pas de la ferme, Otto se fait engager dans un cirque, Karin tombe enceinte et épouse Max, Sofia épouse Arvid et Emilia trouve un travail de couturière. Vingt ans plus tard, que sont-ils devenus? Ils ont traversé une guerre, ont vieilli, emménagé à la ville, fait des enfants, abandonné certains de leurs rêves, en ont concrétisé d'autres... D'habitude j'aime les sagas familiales, et quand elles sont scandinaves, c'est encore mieux. Mais cette fois-ci je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture. D'abord c'est le style qui m'a perturbée, une écriture décousue, l'emploi du présent, quelque chose de froid qui m'a gênée tout au long du roman. Difficile dans ces conditions de s'attacher aux personnages, trop de déceptions, de désillusions, de noirceur dans leurs destins. Ils subissent sans jamais se rebeller, que ce soit les coups durs ou les diktats de la société. Tout cela manque de vie, de sentiments, de personnalités fortes. Sombre et glacial comme un hiver suédois, Discordance laisse peu de place à l'espoir ou à l'optimisme. Des vies de labeur, de soumission, des vies toutes tracées, sans fantaisie, sans amour, des rêves contrariés par manque de conviction, de pugnacité....Les dernières pages sont sans doute les plus belles, un train prend le départ vers le vaste monde et c'est comme un rayon de soleil, une lueur d'espoir, une petite rébellion...Une lecture trop âpre qui ne m'a pas convaincue.
Norrby, un petit village suédois dominé par le mont Kungsberg. C'est là que les Steen vivent dans la ferme familiale. Ils sont cinq, deux garçons, trois filles, tous différents mais toujours unis : Edwin, travailleur et taiseux, Otto, l'aventurier, Karin, gironde et rieuse, fiancée à Max, Sofia, l'imaginative et Emilia, la rêveuse petite dernière. L'année 1938 marque la fin de leur enfance commune. Edwin part s'installer seul à quelques pas de la ferme, Otto se fait engager dans un cirque, Karin tombe enceinte et épouse Max, Sofia épouse Arvid et Emilia trouve un travail de couturière. Vingt ans plus tard, que sont-ils devenus? Ils ont traversé une guerre, ont vieilli, emménagé à la ville, fait des enfants, abandonné certains de leurs rêves, en ont concrétisé d'autres... D'habitude j'aime les sagas familiales, et quand elles sont scandinaves, c'est encore mieux. Mais cette fois-ci je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture. D'abord c'est le style qui m'a perturbée, une écriture décousue, l'emploi du présent, quelque chose de froid qui m'a gênée tout au long du roman. Difficile dans ces conditions de s'attacher aux personnages, trop de déceptions, de désillusions, de noirceur dans leurs destins. Ils subissent sans jamais se rebeller, que ce soit les coups durs ou les diktats de la société. Tout cela manque de vie, de sentiments, de personnalités fortes. Sombre et glacial comme un hiver suédois, Discordance laisse peu de place à l'espoir ou à l'optimisme. Des vies de labeur, de soumission, des vies toutes tracées, sans fantaisie, sans amour, des rêves contrariés par manque de conviction, de pugnacité....Les dernières pages sont sans doute les plus belles, un train prend le départ vers le vaste monde et c'est comme un rayon de soleil, une lueur d'espoir, une petite rébellion...Une lecture trop âpre qui ne m'a pas convaincue.
Une déception
Alors au tout début ce livre me plaisait assez, cependant au bout de quelques dizaines de pages, il a fini par vite me déplaire par son manque de peps. Déjà pour commencer, j’ai trouvé les personnages inintéressants. Enfin au début je les aimais bien malgré le côté fade de chacun, mais au final et pour diverses raisons, ils ont tous fini par m’ennuyer ou alors m’exaspérer, y compris le seul personnage qui avait un brin d’intérêt pour moi, à savoir Emilia. Au début je l’appréciais par son côté rêveuse, solitaire… mais par la suite qu’est-ce qu’elle a pu me fatiguer par son côté « coincé » sans raison. Je vous jure que ces passages étaient justes saoulant à lire, et encore plus les passages où elle se sent étrangère à son corps quand on lui parle ou lui pose des questions. Sincèrement, j’ai trouvé cela sérieusement exagéré en plus d’être prodigieusement soporifique ; et comme noël n’était pas fini pendant ma lecture, je peux vous affirmer qu’Emilia n’était pas le pire des personnages ! La vie des autres protagonistes est loin d’être aussi passionnante, je vous assure ! Surtout qu’elle reste assez superficielle... Bref. Quoi qu’il soit niveau personnage, je n’ai rien ressenti de sensationnel. Ensuite l’autre vrai point négatif du livre est l’écriture. Déjà elle est plutôt plate, tout comme l’histoire elle manque de piment, d’un côté attractif, mais en plus elle possède des choses… bizarres. On se demande ce qu’elles font là… Exemple d’un passage page 174 : « Elle prend une microscopique bouchée de gâteau ; c’est à peine si on la voit mâcher – l’a-t-elle avalée tout rond ? Oui, des bouchées aussi minuscules peuvent s’avaler tout rond. » Sérieusement, dites-moi où est l’intérêt de cette « réflexion » ? Pourquoi vouloir savoir si elle a avalé les bouchées de gâteau tout rond ? Ça ne sert à rien, et qu’est-ce qu’on s’en fout en prime ! Sans compter que ça ne mène nulle part, alors… (?) Et le pire, c’est qu’ j’ai trouvé que le texte était truffé de chose comme ça. Alors si pour certain ça a du charme, en ce qui me concerne j’avoue que non, ça m’a juste ennuyée un petit peu plus. Toutefois tout n’est pas à jeter dans ce livre non plus, la dernière partie est la moins la mauvaise et la moins lente à mon goût, ce qui n’est déjà pas si mal, car j’en n’aurais pas mis mes mains à couper. Elle casse la routine de l’histoire, elle développe la vie de Lillemor, et on n’a quelques toutes petites surprises pas désagréables. En clair c’est la meilleur, dommage quand même qu’il faille lire toutes les pages précédentes… En résume et même si l’ambiance d’une époque est assez bien rendue, ce n’est pas un livre que je conseille. Maintenant il se peut aussi que je n’étais pas dans une bonne période pour le lire, donc le mieux c’est de voir par vous-même.
Alors au tout début ce livre me plaisait assez, cependant au bout de quelques dizaines de pages, il a fini par vite me déplaire par son manque de peps. Déjà pour commencer, j’ai trouvé les personnages inintéressants. Enfin au début je les aimais bien malgré le côté fade de chacun, mais au final et pour diverses raisons, ils ont tous fini par m’ennuyer ou alors m’exaspérer, y compris le seul personnage qui avait un brin d’intérêt pour moi, à savoir Emilia. Au début je l’appréciais par son côté rêveuse, solitaire… mais par la suite qu’est-ce qu’elle a pu me fatiguer par son côté « coincé » sans raison. Je vous jure que ces passages étaient justes saoulant à lire, et encore plus les passages où elle se sent étrangère à son corps quand on lui parle ou lui pose des questions. Sincèrement, j’ai trouvé cela sérieusement exagéré en plus d’être prodigieusement soporifique ; et comme noël n’était pas fini pendant ma lecture, je peux vous affirmer qu’Emilia n’était pas le pire des personnages ! La vie des autres protagonistes est loin d’être aussi passionnante, je vous assure ! Surtout qu’elle reste assez superficielle... Bref. Quoi qu’il soit niveau personnage, je n’ai rien ressenti de sensationnel. Ensuite l’autre vrai point négatif du livre est l’écriture. Déjà elle est plutôt plate, tout comme l’histoire elle manque de piment, d’un côté attractif, mais en plus elle possède des choses… bizarres. On se demande ce qu’elles font là… Exemple d’un passage page 174 : « Elle prend une microscopique bouchée de gâteau ; c’est à peine si on la voit mâcher – l’a-t-elle avalée tout rond ? Oui, des bouchées aussi minuscules peuvent s’avaler tout rond. » Sérieusement, dites-moi où est l’intérêt de cette « réflexion » ? Pourquoi vouloir savoir si elle a avalé les bouchées de gâteau tout rond ? Ça ne sert à rien, et qu’est-ce qu’on s’en fout en prime ! Sans compter que ça ne mène nulle part, alors… (?) Et le pire, c’est qu’ j’ai trouvé que le texte était truffé de chose comme ça. Alors si pour certain ça a du charme, en ce qui me concerne j’avoue que non, ça m’a juste ennuyée un petit peu plus. Toutefois tout n’est pas à jeter dans ce livre non plus, la dernière partie est la moins la mauvaise et la moins lente à mon goût, ce qui n’est déjà pas si mal, car j’en n’aurais pas mis mes mains à couper. Elle casse la routine de l’histoire, elle développe la vie de Lillemor, et on n’a quelques toutes petites surprises pas désagréables. En clair c’est la meilleur, dommage quand même qu’il faille lire toutes les pages précédentes… En résume et même si l’ambiance d’une époque est assez bien rendue, ce n’est pas un livre que je conseille. Maintenant il se peut aussi que je n’étais pas dans une bonne période pour le lire, donc le mieux c’est de voir par vous-même.
  • XXe siècle
Discordances
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Anna Jörgensdotter
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