Diogène le Chien. Suivi de Diogène, l'Homme debout
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- Nombre de pages70
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.115 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-322-46145-5
- EAN9782322461455
- Date de parution26/11/2022
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
Diogène de Sinope (ca 413-ca 327 avant JC), plus connu sous le sobriquet de Diogène le Cynique ou Diogène le Chien, ainsi qu'il s'appelait lui-même, fut le contemporain d'Aristote et Alexandre le Grand. Disciple d'Antisthène qui le roua de coups, il vécut une vie libre, donc scandaleuse, partageant son temps essentiellement entre Athènes et Corinthe, où il mourut. Il fut, avec Antisthène et Cratès de Thèbes, le fondateur de la secte cynique.
Cette école ainsi dénommée parce que ses adeptes tenaient du chien la vigilance hargneuse, et qu'ils se réunissaient au lieu-dit du "chien-agile" (comme les disciples de Platon à l'Académie). Il vécut, dit-on, à moitié nu dans un tonneau ou une jarre, se masturbait sur la place publique, apostrophait ironiquement le tout venant, y compris les plus grands. Souvent, il reprit Platon et ses idées, allant jusqu'à promener un poulet plumé en disant "Voilà l'Homme de Platon", que celui-ci caractérisait comme un bipède sans plumes.
Il parcourait inlassablement les rues d'Athènes, morigénant, insultant, demandant l'aumône aux statues "pour s'habituer au refus". Il écrivit quelques livres, dont une République, dont il ne reste plus rien aujourd'hui. Sa vie est un mythe : tissu d'anecdotes scandaleuses, provocatrices, rapportées par quelques doxographes comme son homonyme de Laërte, Sénèque, ou Plutarque.
Cette école ainsi dénommée parce que ses adeptes tenaient du chien la vigilance hargneuse, et qu'ils se réunissaient au lieu-dit du "chien-agile" (comme les disciples de Platon à l'Académie). Il vécut, dit-on, à moitié nu dans un tonneau ou une jarre, se masturbait sur la place publique, apostrophait ironiquement le tout venant, y compris les plus grands. Souvent, il reprit Platon et ses idées, allant jusqu'à promener un poulet plumé en disant "Voilà l'Homme de Platon", que celui-ci caractérisait comme un bipède sans plumes.
Il parcourait inlassablement les rues d'Athènes, morigénant, insultant, demandant l'aumône aux statues "pour s'habituer au refus". Il écrivit quelques livres, dont une République, dont il ne reste plus rien aujourd'hui. Sa vie est un mythe : tissu d'anecdotes scandaleuses, provocatrices, rapportées par quelques doxographes comme son homonyme de Laërte, Sénèque, ou Plutarque.
Diogène de Sinope (ca 413-ca 327 avant JC), plus connu sous le sobriquet de Diogène le Cynique ou Diogène le Chien, ainsi qu'il s'appelait lui-même, fut le contemporain d'Aristote et Alexandre le Grand. Disciple d'Antisthène qui le roua de coups, il vécut une vie libre, donc scandaleuse, partageant son temps essentiellement entre Athènes et Corinthe, où il mourut. Il fut, avec Antisthène et Cratès de Thèbes, le fondateur de la secte cynique.
Cette école ainsi dénommée parce que ses adeptes tenaient du chien la vigilance hargneuse, et qu'ils se réunissaient au lieu-dit du "chien-agile" (comme les disciples de Platon à l'Académie). Il vécut, dit-on, à moitié nu dans un tonneau ou une jarre, se masturbait sur la place publique, apostrophait ironiquement le tout venant, y compris les plus grands. Souvent, il reprit Platon et ses idées, allant jusqu'à promener un poulet plumé en disant "Voilà l'Homme de Platon", que celui-ci caractérisait comme un bipède sans plumes.
Il parcourait inlassablement les rues d'Athènes, morigénant, insultant, demandant l'aumône aux statues "pour s'habituer au refus". Il écrivit quelques livres, dont une République, dont il ne reste plus rien aujourd'hui. Sa vie est un mythe : tissu d'anecdotes scandaleuses, provocatrices, rapportées par quelques doxographes comme son homonyme de Laërte, Sénèque, ou Plutarque.
Cette école ainsi dénommée parce que ses adeptes tenaient du chien la vigilance hargneuse, et qu'ils se réunissaient au lieu-dit du "chien-agile" (comme les disciples de Platon à l'Académie). Il vécut, dit-on, à moitié nu dans un tonneau ou une jarre, se masturbait sur la place publique, apostrophait ironiquement le tout venant, y compris les plus grands. Souvent, il reprit Platon et ses idées, allant jusqu'à promener un poulet plumé en disant "Voilà l'Homme de Platon", que celui-ci caractérisait comme un bipède sans plumes.
Il parcourait inlassablement les rues d'Athènes, morigénant, insultant, demandant l'aumône aux statues "pour s'habituer au refus". Il écrivit quelques livres, dont une République, dont il ne reste plus rien aujourd'hui. Sa vie est un mythe : tissu d'anecdotes scandaleuses, provocatrices, rapportées par quelques doxographes comme son homonyme de Laërte, Sénèque, ou Plutarque.