Jean-Charles de Saint Supplix, Très Respectable Frère et Révérend Chevalier, a parcouru un chemin initiatique fulgurant et intense au sein de diverses traditions maçonniques. De ses premiers pas du 13eme jours du 11eme mois de l'année de vraie lumière 6009, comme Apprenti Franc-Maçon, jusqu'à la charge de Grand Maître Provincial de Paris et Grand Chancelier d'un Prieuré du Régime Rectifié, il a exploré les rites et les symboles, du Rite Écossais Ancien et Accepté, au Rite Français dit "Moderne", puis au Rite Écossais Rectifié.
Didyme, l'Apôtre de la Gnose
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- Nombre de pages396
- PrésentationBroché
- Poids0.42 kg
- Dimensions12,0 cm × 19,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-322-63575-7
- EAN9782322635757
- Date de parution11/07/2025
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
Dans Didyme, l'Apôtre de la Gnose, Jean-Charles de Saint Supplix propose une traversée initiatique à la croisée de la mystique gnostique et des sagesses orientales. S'inspirant de l'Evangile selon Thomas et du Bardo Thödol (Livre tibétain des morts), l'auteur explore la figure du "jumeau intérieur", Didyme, miroir spirituel de l'être profond, mémoire vivante de notre unité originelle. L'ouvrage s'organise en trois mouvements : la redécouverte de Didyme comme symbole de la dualité sacrée en soi ; la navigation à travers les bardos, ces états de transition entre vie, mort, rêves et éveil ; et enfin l'unification finale, où l'âme, purifiée de ses illusions, renaît à sa propre lumière.
Ce livre ne commente pas, il initie. Chaque passage, chaque loggion médité devient un seuil vibratoire vers la reconnaissance intérieure. La gnose y est présentée non comme une doctrine, mais comme une mémoire de l'être : une connaissance silencieuse, préexistante, qui ne s'apprend pas mais se révèle. Jean-Charles y décrit avec finesse le cheminement du chercheur : de l'appel du jumeau à la dissolution du faux soi, jusqu'à la traversée des illusions spirituelles.
Le lecteur est invité à "mourir vivant" à ses conditionnements pour renaître dans la lumière nue, espace de clarté absolue, au-delà des dualités. Didyme, à la fin du voyage, n'est plus un double extérieur : il est la part de soi transfigurée, la conscience libre, ressuscitée dans la lumière de l'Un. La quête devient alors une incarnation : celle d'un être réconcilié avec le tout, rayonnant depuis le silence intérieur.
Ce livre ne commente pas, il initie. Chaque passage, chaque loggion médité devient un seuil vibratoire vers la reconnaissance intérieure. La gnose y est présentée non comme une doctrine, mais comme une mémoire de l'être : une connaissance silencieuse, préexistante, qui ne s'apprend pas mais se révèle. Jean-Charles y décrit avec finesse le cheminement du chercheur : de l'appel du jumeau à la dissolution du faux soi, jusqu'à la traversée des illusions spirituelles.
Le lecteur est invité à "mourir vivant" à ses conditionnements pour renaître dans la lumière nue, espace de clarté absolue, au-delà des dualités. Didyme, à la fin du voyage, n'est plus un double extérieur : il est la part de soi transfigurée, la conscience libre, ressuscitée dans la lumière de l'Un. La quête devient alors une incarnation : celle d'un être réconcilié avec le tout, rayonnant depuis le silence intérieur.
Dans Didyme, l'Apôtre de la Gnose, Jean-Charles de Saint Supplix propose une traversée initiatique à la croisée de la mystique gnostique et des sagesses orientales. S'inspirant de l'Evangile selon Thomas et du Bardo Thödol (Livre tibétain des morts), l'auteur explore la figure du "jumeau intérieur", Didyme, miroir spirituel de l'être profond, mémoire vivante de notre unité originelle. L'ouvrage s'organise en trois mouvements : la redécouverte de Didyme comme symbole de la dualité sacrée en soi ; la navigation à travers les bardos, ces états de transition entre vie, mort, rêves et éveil ; et enfin l'unification finale, où l'âme, purifiée de ses illusions, renaît à sa propre lumière.
Ce livre ne commente pas, il initie. Chaque passage, chaque loggion médité devient un seuil vibratoire vers la reconnaissance intérieure. La gnose y est présentée non comme une doctrine, mais comme une mémoire de l'être : une connaissance silencieuse, préexistante, qui ne s'apprend pas mais se révèle. Jean-Charles y décrit avec finesse le cheminement du chercheur : de l'appel du jumeau à la dissolution du faux soi, jusqu'à la traversée des illusions spirituelles.
Le lecteur est invité à "mourir vivant" à ses conditionnements pour renaître dans la lumière nue, espace de clarté absolue, au-delà des dualités. Didyme, à la fin du voyage, n'est plus un double extérieur : il est la part de soi transfigurée, la conscience libre, ressuscitée dans la lumière de l'Un. La quête devient alors une incarnation : celle d'un être réconcilié avec le tout, rayonnant depuis le silence intérieur.
Ce livre ne commente pas, il initie. Chaque passage, chaque loggion médité devient un seuil vibratoire vers la reconnaissance intérieure. La gnose y est présentée non comme une doctrine, mais comme une mémoire de l'être : une connaissance silencieuse, préexistante, qui ne s'apprend pas mais se révèle. Jean-Charles y décrit avec finesse le cheminement du chercheur : de l'appel du jumeau à la dissolution du faux soi, jusqu'à la traversée des illusions spirituelles.
Le lecteur est invité à "mourir vivant" à ses conditionnements pour renaître dans la lumière nue, espace de clarté absolue, au-delà des dualités. Didyme, à la fin du voyage, n'est plus un double extérieur : il est la part de soi transfigurée, la conscience libre, ressuscitée dans la lumière de l'Un. La quête devient alors une incarnation : celle d'un être réconcilié avec le tout, rayonnant depuis le silence intérieur.