Création de la valeur et compétitivité des entreprises algériennes. Compétitvité et développement des echanges éxterieurs

Par : Dounya Kerzabi, Mohammed Benbouziane

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  • Nombre de pages52
  • PrésentationBroché
  • Poids0.092 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-613-1-56770-4
  • EAN9786131567704
  • Date de parution06/07/2012
  • ÉditeurEd. Universitaires Européennes

Résumé

Avec la mondialisation des échanges et la globalisation des marchés, la compétitivité devient une nécessité pour toutes les entreprises. Depuit le retour des actionnaires et le pouvoir qu'ils éxercent dans les marchés financiers, la théorie financiére a developpé de nouveaux concepts qui tiennet compt de cette nouvelle situation. Ainsi la création de la valeur comme principe d'évaluation de la performance envisage la rentabilité de l'entreprise en rapport avec le cout du capital .
Une entreprise céée de la valeur si sa rentabilité couvre les couts des capitaux utilisés. Une telle Méthode appliquée aux entreprises algériennes nous éclaire un peu plus sur la difficulté de ces entreprises à trouver des partenaires étrangers. Notre travail consiste à montrer que les entreprises algériennes ne créent pas de valeur, par conséquent elles ne peuvent pas être compétitives même si le climat des affaires a été amélioré.
Avec la mondialisation des échanges et la globalisation des marchés, la compétitivité devient une nécessité pour toutes les entreprises. Depuit le retour des actionnaires et le pouvoir qu'ils éxercent dans les marchés financiers, la théorie financiére a developpé de nouveaux concepts qui tiennet compt de cette nouvelle situation. Ainsi la création de la valeur comme principe d'évaluation de la performance envisage la rentabilité de l'entreprise en rapport avec le cout du capital .
Une entreprise céée de la valeur si sa rentabilité couvre les couts des capitaux utilisés. Une telle Méthode appliquée aux entreprises algériennes nous éclaire un peu plus sur la difficulté de ces entreprises à trouver des partenaires étrangers. Notre travail consiste à montrer que les entreprises algériennes ne créent pas de valeur, par conséquent elles ne peuvent pas être compétitives même si le climat des affaires a été amélioré.
Dounya KERZABIDoctorante en sciences économiques, option Finance de la faculté de TlEMCEN, Algérie. Membre du laboratoire scientifique MIFMA à l'université de Tlemcen, continue sa recherche sur la valeur et particuliérement sur les determinants de la valeur actionnariale.