Conscience contre violence

Par : Stefan Zweig
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  • Nombre de pages246
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.362 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-322-67482-4
  • EAN9782322674824
  • Date de parution30/08/2025
  • ÉditeurBooks on Demand

Résumé

Dans "Conscience contre violence" , Stefan Zweig explore le conflit idéologique entre Sébastien Castellion et Jean Calvin au coeur de la Réforme protestante du XVIe siècle. Genève, sous l'autorité de Calvin, devient le théâtre d'une théocratie rigide, imposant une austérité sévère et réprimant toute dissidence. L'exécution de Michel Servet pour hérésie incite Castellion à défendre la liberté de conscience et à s'opposer au fanatisme religieux.
Zweig retrace avec précision le parcours de Castellion, humaniste et théologien, qui, malgré les pressions, plaide pour la tolérance et la résistance intellectuelle face à l'intégrisme. L'auteur établit des parallèles entre la Genève de Calvin et les régimes totalitaires du XXe siècle, soulignant les dangers de la répression et de la suppression des libertés individuelles. Ce récit, ancré dans l'histoire des religions, offre une réflexion profonde sur les mécanismes de la dictature et l'importance de l'humanisme.
Zweig met en lumière la pertinence de ces enjeux dans le contexte contemporain, où les tensions entre autorité et liberté demeurent d'actualité.
Dans "Conscience contre violence" , Stefan Zweig explore le conflit idéologique entre Sébastien Castellion et Jean Calvin au coeur de la Réforme protestante du XVIe siècle. Genève, sous l'autorité de Calvin, devient le théâtre d'une théocratie rigide, imposant une austérité sévère et réprimant toute dissidence. L'exécution de Michel Servet pour hérésie incite Castellion à défendre la liberté de conscience et à s'opposer au fanatisme religieux.
Zweig retrace avec précision le parcours de Castellion, humaniste et théologien, qui, malgré les pressions, plaide pour la tolérance et la résistance intellectuelle face à l'intégrisme. L'auteur établit des parallèles entre la Genève de Calvin et les régimes totalitaires du XXe siècle, soulignant les dangers de la répression et de la suppression des libertés individuelles. Ce récit, ancré dans l'histoire des religions, offre une réflexion profonde sur les mécanismes de la dictature et l'importance de l'humanisme.
Zweig met en lumière la pertinence de ces enjeux dans le contexte contemporain, où les tensions entre autorité et liberté demeurent d'actualité.
Stefan Zweig
Stefan Zweig voit le jour le 28 novembre 1881 dans une famille juive à Vienne. Après des études de philosophie et de littérature, le jeune homme part à la découverte du monde, lors de voyages au cours desquels il se lie avec le milieu des artistes et des intellectuels. Il parcourt l'Europe, l'Amérique, l'Afrique et s'emploie dès cette période à des activités rédactionnelles très variées (poésies, théâtre, nouvelles, traductions et biographies) qui le rendent vite réputé parmi les écrivains. L'accession d'Hitler au pouvoir et la propagation de l'antisémitisme en Autriche forcent Zweig à l'exil en 1934, retrouvant sa vie d'errance et de voyages. Désespéré par la situation politique et morale en Europe, Zweig se suicide le 22 février 1942 au Brésil, laissant derrière lui une oeuvre prolifique et inestimable dont on retiendra notamment " Vingt-quatre heures de la vie d'une femme ", " La Confusion des sentiments " ou encore " Le Joueur d'échecs ".
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