Comprendre les fondements de la démocratie. Tome 2, Aristote et les jalons de la démocratie moderne
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- Nombre de pages276
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.469 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-342-35807-0
- EAN9782342358070
- Date de parution18/03/2022
- ÉditeurConnaissances & Savoirs
- PréfacierThomas de Koninck
Résumé
Dans ce tome, Aristote fait l'éloge de la démocratie au nom de la science. En critiquant la science platonicienne, Aristote pose les jalons de la démocratie participative. La définition aristotélicienne de l'homme comme animal politique et comme animal doué de raison, implique à la fois un devoir et un droit de participation de tous à la vie politique. Pour le Stagirite, " Un citoyen au sens plein, ne peut être défini que par la participation (...) " (Aristote, Politiques, III, 1, 1275a, 20-30.
Trad. Pierre Pellegrin). La bonne démocratie repose sur l'idée que toute opinion peut concourir au jaillissement de la vérité. Bref, selon Aristote, la vérité démocratique est le résultat d'un consensus rationnel ou d'une délibération populaire, sans distinction épistémologique.
Trad. Pierre Pellegrin). La bonne démocratie repose sur l'idée que toute opinion peut concourir au jaillissement de la vérité. Bref, selon Aristote, la vérité démocratique est le résultat d'un consensus rationnel ou d'une délibération populaire, sans distinction épistémologique.
Dans ce tome, Aristote fait l'éloge de la démocratie au nom de la science. En critiquant la science platonicienne, Aristote pose les jalons de la démocratie participative. La définition aristotélicienne de l'homme comme animal politique et comme animal doué de raison, implique à la fois un devoir et un droit de participation de tous à la vie politique. Pour le Stagirite, " Un citoyen au sens plein, ne peut être défini que par la participation (...) " (Aristote, Politiques, III, 1, 1275a, 20-30.
Trad. Pierre Pellegrin). La bonne démocratie repose sur l'idée que toute opinion peut concourir au jaillissement de la vérité. Bref, selon Aristote, la vérité démocratique est le résultat d'un consensus rationnel ou d'une délibération populaire, sans distinction épistémologique.
Trad. Pierre Pellegrin). La bonne démocratie repose sur l'idée que toute opinion peut concourir au jaillissement de la vérité. Bref, selon Aristote, la vérité démocratique est le résultat d'un consensus rationnel ou d'une délibération populaire, sans distinction épistémologique.