Comment font les avions pour voler ou... l'importance de la portance. Notions théoriques et expérimentales de base sur l'aérodynamique des avions
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- Nombre de pages254
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.295 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-7539-0356-2
- EAN9782753903562
- Date de parution05/08/2016
- CollectionSciences
- ÉditeurConnaissances et Savoirs
Résumé
Ce livre est consacré à l'étude de la portance, cette force a priori un peu mystérieuse qui permet à un avion de voler, et à son inséparable acolyte, la traînée. En fait, tout objet en déplacement dans un fluide est soumis à l'action de ces deux forces. Ces deux forces sont à la base des propriétés aérodynamiques des avions ; on leur associe par commodité deux coefficients sans dimension : le coefficient de portance, Cz, et le coefficient de traînée, Cx.
Elles font l'objet de nombreuses recherches tant dans le domaine aéronautique que dans d'autres domaines comme celui de la construction automobile (le Cx d'une voiture, d'un camion), la fabrication d'éoliennes, ou la construction de voiliers, afin d'obtenir les meilleures qualités aérodynamiques. Il s'agit aussi d'économiser l'énergie, en l'air sur terre et en mer, donc de limiter la traînée, et, pour un avion, d'augmenter la portance au moindre coût.
Ces recherches de pointe nécessitent des ordinateurs de plus en plus puissants et des logiciels de plus en plus sophistiqués. Elles sont abondamment développées chez Airbus, Boeing, la NASA, l'ONERA,..., mais aussi chez tous les constructeurs automobiles et navals. Alors qu'au moins trois gros ouvrages américains sont consacrés à ce sujet, il n'y a pas à ce jour d'ouvrage français équivalent. Sans avoir aucune prétention d'égaler ces ouvrages, celui-ci, volontairement à mi-chemin entre un niveau universitaire bac+1 et un niveau avancé de vulgarisation, et concis tout en étant suffisamment complet, est susceptible d'intéresser à des degrés divers toute personne touchant de près ou de loin à ce sujet, c'est-à-dire en fin de compte un nombre assez important de lecteurs.
Elles font l'objet de nombreuses recherches tant dans le domaine aéronautique que dans d'autres domaines comme celui de la construction automobile (le Cx d'une voiture, d'un camion), la fabrication d'éoliennes, ou la construction de voiliers, afin d'obtenir les meilleures qualités aérodynamiques. Il s'agit aussi d'économiser l'énergie, en l'air sur terre et en mer, donc de limiter la traînée, et, pour un avion, d'augmenter la portance au moindre coût.
Ces recherches de pointe nécessitent des ordinateurs de plus en plus puissants et des logiciels de plus en plus sophistiqués. Elles sont abondamment développées chez Airbus, Boeing, la NASA, l'ONERA,..., mais aussi chez tous les constructeurs automobiles et navals. Alors qu'au moins trois gros ouvrages américains sont consacrés à ce sujet, il n'y a pas à ce jour d'ouvrage français équivalent. Sans avoir aucune prétention d'égaler ces ouvrages, celui-ci, volontairement à mi-chemin entre un niveau universitaire bac+1 et un niveau avancé de vulgarisation, et concis tout en étant suffisamment complet, est susceptible d'intéresser à des degrés divers toute personne touchant de près ou de loin à ce sujet, c'est-à-dire en fin de compte un nombre assez important de lecteurs.
Ce livre est consacré à l'étude de la portance, cette force a priori un peu mystérieuse qui permet à un avion de voler, et à son inséparable acolyte, la traînée. En fait, tout objet en déplacement dans un fluide est soumis à l'action de ces deux forces. Ces deux forces sont à la base des propriétés aérodynamiques des avions ; on leur associe par commodité deux coefficients sans dimension : le coefficient de portance, Cz, et le coefficient de traînée, Cx.
Elles font l'objet de nombreuses recherches tant dans le domaine aéronautique que dans d'autres domaines comme celui de la construction automobile (le Cx d'une voiture, d'un camion), la fabrication d'éoliennes, ou la construction de voiliers, afin d'obtenir les meilleures qualités aérodynamiques. Il s'agit aussi d'économiser l'énergie, en l'air sur terre et en mer, donc de limiter la traînée, et, pour un avion, d'augmenter la portance au moindre coût.
Ces recherches de pointe nécessitent des ordinateurs de plus en plus puissants et des logiciels de plus en plus sophistiqués. Elles sont abondamment développées chez Airbus, Boeing, la NASA, l'ONERA,..., mais aussi chez tous les constructeurs automobiles et navals. Alors qu'au moins trois gros ouvrages américains sont consacrés à ce sujet, il n'y a pas à ce jour d'ouvrage français équivalent. Sans avoir aucune prétention d'égaler ces ouvrages, celui-ci, volontairement à mi-chemin entre un niveau universitaire bac+1 et un niveau avancé de vulgarisation, et concis tout en étant suffisamment complet, est susceptible d'intéresser à des degrés divers toute personne touchant de près ou de loin à ce sujet, c'est-à-dire en fin de compte un nombre assez important de lecteurs.
Elles font l'objet de nombreuses recherches tant dans le domaine aéronautique que dans d'autres domaines comme celui de la construction automobile (le Cx d'une voiture, d'un camion), la fabrication d'éoliennes, ou la construction de voiliers, afin d'obtenir les meilleures qualités aérodynamiques. Il s'agit aussi d'économiser l'énergie, en l'air sur terre et en mer, donc de limiter la traînée, et, pour un avion, d'augmenter la portance au moindre coût.
Ces recherches de pointe nécessitent des ordinateurs de plus en plus puissants et des logiciels de plus en plus sophistiqués. Elles sont abondamment développées chez Airbus, Boeing, la NASA, l'ONERA,..., mais aussi chez tous les constructeurs automobiles et navals. Alors qu'au moins trois gros ouvrages américains sont consacrés à ce sujet, il n'y a pas à ce jour d'ouvrage français équivalent. Sans avoir aucune prétention d'égaler ces ouvrages, celui-ci, volontairement à mi-chemin entre un niveau universitaire bac+1 et un niveau avancé de vulgarisation, et concis tout en étant suffisamment complet, est susceptible d'intéresser à des degrés divers toute personne touchant de près ou de loin à ce sujet, c'est-à-dire en fin de compte un nombre assez important de lecteurs.
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