Gilles Godlovitz est le pseudonyme d'un avocat lyonnais qui fait ses premières armes dans le genre romanesque.
Cité céleste. Guérir au moyen-âge
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- Nombre de pages378
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.001 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-322-25739-3
- EAN9782322257393
- Date de parution06/11/2020
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
A la fin du XIe siècle, l'arrivée aventureuse autant que mythique au royaume de Bourgogne des reliques de Saint Antoine le Grand, ermite qui vécu en Egypte au IVe siècle, sert de trame à ce roman. La postérité de cet anachorète, authentique et extraordinaire puis tombée dans l'oubli, sera le premier ordre monastique hospitalier, celui des Antonins, voué à soigner et soulager les souffrances. En contrepoint, l'aventure suit le destin d'un homme à l'enfance sans amour, peinant à s'en affranchir adulte.
L'auteur a voulu faire coïncider l'intrigue avec des faits scrupuleusement historiques, attestés par les sources littéraires médiévales. Ainsi les personnages, papes, comtes, chevaliers, prélats, nones ou riches bourgeois, ont effectivement coexisté aux dates et lieux cités. La part d'imaginaire ajoutée à l'Histoire permet d'évoquer un Moyen Age central vivant, sans invraisemblances patentes, y compris anthropologiques.
Cette réécriture d'une légende de terroir vise à distraire le lecteur tout tout autant qu'à rendre compte de comportements culturels qui ne sont plus ceux d'aujourd'hui, comme les rapports entre femmes et hommes, vassaux et seigneur, laïcs et clercs, justice et morale, pour mieux souligner les continuités ontologiques qui font l'humanité universelle, notamment la bienveillance, la perversion narcissique, la duplicité, le doute existentiel, l'errance vers un lieu sûr, la force du destin.
L'auteur a voulu faire coïncider l'intrigue avec des faits scrupuleusement historiques, attestés par les sources littéraires médiévales. Ainsi les personnages, papes, comtes, chevaliers, prélats, nones ou riches bourgeois, ont effectivement coexisté aux dates et lieux cités. La part d'imaginaire ajoutée à l'Histoire permet d'évoquer un Moyen Age central vivant, sans invraisemblances patentes, y compris anthropologiques.
Cette réécriture d'une légende de terroir vise à distraire le lecteur tout tout autant qu'à rendre compte de comportements culturels qui ne sont plus ceux d'aujourd'hui, comme les rapports entre femmes et hommes, vassaux et seigneur, laïcs et clercs, justice et morale, pour mieux souligner les continuités ontologiques qui font l'humanité universelle, notamment la bienveillance, la perversion narcissique, la duplicité, le doute existentiel, l'errance vers un lieu sûr, la force du destin.
A la fin du XIe siècle, l'arrivée aventureuse autant que mythique au royaume de Bourgogne des reliques de Saint Antoine le Grand, ermite qui vécu en Egypte au IVe siècle, sert de trame à ce roman. La postérité de cet anachorète, authentique et extraordinaire puis tombée dans l'oubli, sera le premier ordre monastique hospitalier, celui des Antonins, voué à soigner et soulager les souffrances. En contrepoint, l'aventure suit le destin d'un homme à l'enfance sans amour, peinant à s'en affranchir adulte.
L'auteur a voulu faire coïncider l'intrigue avec des faits scrupuleusement historiques, attestés par les sources littéraires médiévales. Ainsi les personnages, papes, comtes, chevaliers, prélats, nones ou riches bourgeois, ont effectivement coexisté aux dates et lieux cités. La part d'imaginaire ajoutée à l'Histoire permet d'évoquer un Moyen Age central vivant, sans invraisemblances patentes, y compris anthropologiques.
Cette réécriture d'une légende de terroir vise à distraire le lecteur tout tout autant qu'à rendre compte de comportements culturels qui ne sont plus ceux d'aujourd'hui, comme les rapports entre femmes et hommes, vassaux et seigneur, laïcs et clercs, justice et morale, pour mieux souligner les continuités ontologiques qui font l'humanité universelle, notamment la bienveillance, la perversion narcissique, la duplicité, le doute existentiel, l'errance vers un lieu sûr, la force du destin.
L'auteur a voulu faire coïncider l'intrigue avec des faits scrupuleusement historiques, attestés par les sources littéraires médiévales. Ainsi les personnages, papes, comtes, chevaliers, prélats, nones ou riches bourgeois, ont effectivement coexisté aux dates et lieux cités. La part d'imaginaire ajoutée à l'Histoire permet d'évoquer un Moyen Age central vivant, sans invraisemblances patentes, y compris anthropologiques.
Cette réécriture d'une légende de terroir vise à distraire le lecteur tout tout autant qu'à rendre compte de comportements culturels qui ne sont plus ceux d'aujourd'hui, comme les rapports entre femmes et hommes, vassaux et seigneur, laïcs et clercs, justice et morale, pour mieux souligner les continuités ontologiques qui font l'humanité universelle, notamment la bienveillance, la perversion narcissique, la duplicité, le doute existentiel, l'errance vers un lieu sûr, la force du destin.