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Cinq hypotyposes précédées de la vie et l'oeuvre de Gabriel Ménandre
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.239 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-414-02191-8
- EAN9782414021918
- Date de parution15/02/2017
- CollectionClassique
- ÉditeurEdilivre
Résumé
Précédées par une biographie de son ami (de son double) Louis Ménard, sont rassemblées ici cinq nouvelles de Gabriel Ménandre, publiées à titre posthume par sa compagne, Juliette Desprit, sous le titre Cinq hypotyposes : Les Danseuses nues de Montréal, Un épisode peu connu de la vie de Jean-Paul Grinberg, La Ballade de Marble island, poème en vers libres sur la recherche du passage du Nord-Ouest, Laubardemont , La Rencontre de Monsieur Des Cartes avec Monteverdi.
A travers ces thèmes disparates, apparaît sous des formes variées une figure de femme obscure et désirable. On ne trouvera pas ici de grandes idées. Mais comme l'écrivait Casanova cité en exergue, il n'est pas besoin de génie pour faire de jolis portraits.
A travers ces thèmes disparates, apparaît sous des formes variées une figure de femme obscure et désirable. On ne trouvera pas ici de grandes idées. Mais comme l'écrivait Casanova cité en exergue, il n'est pas besoin de génie pour faire de jolis portraits.
Précédées par une biographie de son ami (de son double) Louis Ménard, sont rassemblées ici cinq nouvelles de Gabriel Ménandre, publiées à titre posthume par sa compagne, Juliette Desprit, sous le titre Cinq hypotyposes : Les Danseuses nues de Montréal, Un épisode peu connu de la vie de Jean-Paul Grinberg, La Ballade de Marble island, poème en vers libres sur la recherche du passage du Nord-Ouest, Laubardemont , La Rencontre de Monsieur Des Cartes avec Monteverdi.
A travers ces thèmes disparates, apparaît sous des formes variées une figure de femme obscure et désirable. On ne trouvera pas ici de grandes idées. Mais comme l'écrivait Casanova cité en exergue, il n'est pas besoin de génie pour faire de jolis portraits.
A travers ces thèmes disparates, apparaît sous des formes variées une figure de femme obscure et désirable. On ne trouvera pas ici de grandes idées. Mais comme l'écrivait Casanova cité en exergue, il n'est pas besoin de génie pour faire de jolis portraits.
