Prix Nobel de Littérature
Ce que je crois
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- Nombre de pages192
- Poids0.217 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-246-80599-6
- EAN9782246805991
- Date de parution15/09/1970
- CollectionCe que je crois
- ÉditeurGrasset
Résumé
" Ce livre, écrit François Mauriac, ne s'adresse ni aux savants, ni aux philosophes, ni aux théologiens. j'ai voulu répondre le plus simplement possible à la question : " Pourquoi êtes-vous demeuré fidèle à la religion dans laquelle vous êtes né ? " C'était m'exposer à faire le jeu de l'adversaire. Le risque est à la mesure de la simplicité et de la naïveté qui m'auront tenu à genoux, durant toute ma vie, mais qui, de l'enfance à la vieillesse, m'auront permis de sentir, de toucher, de posséder un amour que je ne voyais pas.
" Et il est vrai que la sincérité d'un tel ouvrage en fait un message bouleversant qui concerne tous les hommes. Si François Mauriac y retrace son itinéraire spirituel, sans omettre les objections contre l'Eglise qu'il eut le plus de mal à surmonter (à dix-huit ans il faisait déjà ses délices d'Anatole France), il nous passionne par les confidences sur lui-même, sur sa famille et sur son enfance, à laquelle on sait avec quel plaisir il revient toujours.
Mais, dépassant son cas personnel, il engage sa foi dans le siècle, et nous rappelle " qu'il n'est pas d'autre politique permise au chrétien que la recherche du royaume de Dieu et de sa justice. " Ouvrage pathétique, par la lutte qui se laisse voir à chaque page entre l'homme et le chrétien, l'homme qui avoue son " hédonisme inguérissable ", le chrétien qui se répète la parole de Saint Jean : " Et si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur ".
Le Ce que je crois de François Mauriac parle à l'oreille de chacun de nous, et l'oblige au tête-à-tête avec sa propre conscience. Un grand livre : l'un des plus grands dans l'oeuvre du grand écrivain.
" Et il est vrai que la sincérité d'un tel ouvrage en fait un message bouleversant qui concerne tous les hommes. Si François Mauriac y retrace son itinéraire spirituel, sans omettre les objections contre l'Eglise qu'il eut le plus de mal à surmonter (à dix-huit ans il faisait déjà ses délices d'Anatole France), il nous passionne par les confidences sur lui-même, sur sa famille et sur son enfance, à laquelle on sait avec quel plaisir il revient toujours.
Mais, dépassant son cas personnel, il engage sa foi dans le siècle, et nous rappelle " qu'il n'est pas d'autre politique permise au chrétien que la recherche du royaume de Dieu et de sa justice. " Ouvrage pathétique, par la lutte qui se laisse voir à chaque page entre l'homme et le chrétien, l'homme qui avoue son " hédonisme inguérissable ", le chrétien qui se répète la parole de Saint Jean : " Et si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur ".
Le Ce que je crois de François Mauriac parle à l'oreille de chacun de nous, et l'oblige au tête-à-tête avec sa propre conscience. Un grand livre : l'un des plus grands dans l'oeuvre du grand écrivain.
" Ce livre, écrit François Mauriac, ne s'adresse ni aux savants, ni aux philosophes, ni aux théologiens. j'ai voulu répondre le plus simplement possible à la question : " Pourquoi êtes-vous demeuré fidèle à la religion dans laquelle vous êtes né ? " C'était m'exposer à faire le jeu de l'adversaire. Le risque est à la mesure de la simplicité et de la naïveté qui m'auront tenu à genoux, durant toute ma vie, mais qui, de l'enfance à la vieillesse, m'auront permis de sentir, de toucher, de posséder un amour que je ne voyais pas.
" Et il est vrai que la sincérité d'un tel ouvrage en fait un message bouleversant qui concerne tous les hommes. Si François Mauriac y retrace son itinéraire spirituel, sans omettre les objections contre l'Eglise qu'il eut le plus de mal à surmonter (à dix-huit ans il faisait déjà ses délices d'Anatole France), il nous passionne par les confidences sur lui-même, sur sa famille et sur son enfance, à laquelle on sait avec quel plaisir il revient toujours.
Mais, dépassant son cas personnel, il engage sa foi dans le siècle, et nous rappelle " qu'il n'est pas d'autre politique permise au chrétien que la recherche du royaume de Dieu et de sa justice. " Ouvrage pathétique, par la lutte qui se laisse voir à chaque page entre l'homme et le chrétien, l'homme qui avoue son " hédonisme inguérissable ", le chrétien qui se répète la parole de Saint Jean : " Et si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur ".
Le Ce que je crois de François Mauriac parle à l'oreille de chacun de nous, et l'oblige au tête-à-tête avec sa propre conscience. Un grand livre : l'un des plus grands dans l'oeuvre du grand écrivain.
" Et il est vrai que la sincérité d'un tel ouvrage en fait un message bouleversant qui concerne tous les hommes. Si François Mauriac y retrace son itinéraire spirituel, sans omettre les objections contre l'Eglise qu'il eut le plus de mal à surmonter (à dix-huit ans il faisait déjà ses délices d'Anatole France), il nous passionne par les confidences sur lui-même, sur sa famille et sur son enfance, à laquelle on sait avec quel plaisir il revient toujours.
Mais, dépassant son cas personnel, il engage sa foi dans le siècle, et nous rappelle " qu'il n'est pas d'autre politique permise au chrétien que la recherche du royaume de Dieu et de sa justice. " Ouvrage pathétique, par la lutte qui se laisse voir à chaque page entre l'homme et le chrétien, l'homme qui avoue son " hédonisme inguérissable ", le chrétien qui se répète la parole de Saint Jean : " Et si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur ".
Le Ce que je crois de François Mauriac parle à l'oreille de chacun de nous, et l'oblige au tête-à-tête avec sa propre conscience. Un grand livre : l'un des plus grands dans l'oeuvre du grand écrivain.