Benedetto, roi d'Italie. Chroniques d'un pays à l'ombre du Vatican

Par : Martine Nouaille

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  • Nombre de pages230
  • PrésentationBroché
  • Poids0.324 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-234-06514-7
  • EAN9782234065147
  • Date de parution09/03/2011
  • CollectionUn ordre d'idées
  • ÉditeurStock

Résumé

Pendant quatre ans, de février 2005 à mai 2009, Martine Nouaille a suivi à la fois la politique italienne et l’activité du Vatican. Elle a pu observer de près les liens entre le pouvoir de Benoît XVI et celui de Silvio Berlusconi, la proximité entre les puissances de l’autel et celles de l’argent.Elle raconte les coulisses et le « règne » pontifical : la mise en scène soigneusement réglée des audiences hebdomadaires, les visites de chefs d’État étrangers, les voyages en province dans des décors à la Potemkine, les réseaux politiques, les secrets d’argent, les intrigues et les conflits violents avec une partie de la société sur les questions de moeurs ou de bioéthique.
Elle montre comment le pape a relancé l’affaire Galilée quatre siècles après la condamnation de ce dernier, suscitant l’ire des scientifiques italiens, et révèle ce qu’il en coûte encore de contester l’autorité de l’Église.On découvre ainsi, avec surprise et parfois effroi, les effets conjoints d’une démocratie en crise et d’une théocratie qui considère l’Italie, selon l’expression consacrée, comme « le jardin du pape ».
Histoire strictement transalpine ? Évidemment pas. L’écriture élégante et la verve caustique de ces nouvelles chroniques italiennes nous renvoient aussi à notre pays et à l’instrumentalisation de la religion sur fond de faiblesse démocratique.
Pendant quatre ans, de février 2005 à mai 2009, Martine Nouaille a suivi à la fois la politique italienne et l’activité du Vatican. Elle a pu observer de près les liens entre le pouvoir de Benoît XVI et celui de Silvio Berlusconi, la proximité entre les puissances de l’autel et celles de l’argent.Elle raconte les coulisses et le « règne » pontifical : la mise en scène soigneusement réglée des audiences hebdomadaires, les visites de chefs d’État étrangers, les voyages en province dans des décors à la Potemkine, les réseaux politiques, les secrets d’argent, les intrigues et les conflits violents avec une partie de la société sur les questions de moeurs ou de bioéthique.
Elle montre comment le pape a relancé l’affaire Galilée quatre siècles après la condamnation de ce dernier, suscitant l’ire des scientifiques italiens, et révèle ce qu’il en coûte encore de contester l’autorité de l’Église.On découvre ainsi, avec surprise et parfois effroi, les effets conjoints d’une démocratie en crise et d’une théocratie qui considère l’Italie, selon l’expression consacrée, comme « le jardin du pape ».
Histoire strictement transalpine ? Évidemment pas. L’écriture élégante et la verve caustique de ces nouvelles chroniques italiennes nous renvoient aussi à notre pays et à l’instrumentalisation de la religion sur fond de faiblesse démocratique.