Bathilde d'Orléans (1750-1822)
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- Nombre de pages406
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.515 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-37480-539-9
- EAN9782374805399
- Date de parution01/07/2019
- Éditeur3 Colonnes (Les)
Résumé
Voici la "vraie" histoire de Bathilde d'Orléans, fille de Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans et de Louise-Henriette de Bourbon-Conti. Etrange destin. Mère du duc d'Enghien, elle est répudiée le 31 janvier 1781 par le duc de Bourbon-Condé, Louis-Henri-Joseph, appelé "Monsieur fouet en l'air" en raison de son amour pour les chevaux et les femmes. Abandonnée et seule, elle tient salon au Palais de l'Elysée qu'elle achète à Louis XVI en juillet 1787.
Refusant d'émigrer, cette aristocrate "républicaine" est, avec les Bourbon, exilée à Marseille en mai 1793 puis bannie à Barcelone en septembre 1797. Se résignant "à tout ce qu'ordonnera la Providence", elle y consacre son temps en oeuvres de charité et, fidèle à son éducation janséniste, franc-maçonne et mystique, rédige en 16 articles, sa "profession de foi républicaine". Elle y apprend l'assassinat de son fils, fusillé dans les fossés de Vincennes sur ordre de Bonaparte, le 21 mars 1804.
En 1814, l'abdication de Napoléon lui permet de revenir en France. Louis XVIII lui donne l'Hôtel Matignon où, en souvenir de son fils, elle fonde l'Hospice d'Enghien. Toujours amoureuse de son mari - après 35 années de séparation – elle lui offre de revenir "le plus tôt que vous pourrez". Echec. Elle meurt devant le Panthéon rendu au culte divin le 10 janvier 1822, au cours d'une procession en l'honneur de Sainte Geneviève.
Refusant d'émigrer, cette aristocrate "républicaine" est, avec les Bourbon, exilée à Marseille en mai 1793 puis bannie à Barcelone en septembre 1797. Se résignant "à tout ce qu'ordonnera la Providence", elle y consacre son temps en oeuvres de charité et, fidèle à son éducation janséniste, franc-maçonne et mystique, rédige en 16 articles, sa "profession de foi républicaine". Elle y apprend l'assassinat de son fils, fusillé dans les fossés de Vincennes sur ordre de Bonaparte, le 21 mars 1804.
En 1814, l'abdication de Napoléon lui permet de revenir en France. Louis XVIII lui donne l'Hôtel Matignon où, en souvenir de son fils, elle fonde l'Hospice d'Enghien. Toujours amoureuse de son mari - après 35 années de séparation – elle lui offre de revenir "le plus tôt que vous pourrez". Echec. Elle meurt devant le Panthéon rendu au culte divin le 10 janvier 1822, au cours d'une procession en l'honneur de Sainte Geneviève.
Voici la "vraie" histoire de Bathilde d'Orléans, fille de Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans et de Louise-Henriette de Bourbon-Conti. Etrange destin. Mère du duc d'Enghien, elle est répudiée le 31 janvier 1781 par le duc de Bourbon-Condé, Louis-Henri-Joseph, appelé "Monsieur fouet en l'air" en raison de son amour pour les chevaux et les femmes. Abandonnée et seule, elle tient salon au Palais de l'Elysée qu'elle achète à Louis XVI en juillet 1787.
Refusant d'émigrer, cette aristocrate "républicaine" est, avec les Bourbon, exilée à Marseille en mai 1793 puis bannie à Barcelone en septembre 1797. Se résignant "à tout ce qu'ordonnera la Providence", elle y consacre son temps en oeuvres de charité et, fidèle à son éducation janséniste, franc-maçonne et mystique, rédige en 16 articles, sa "profession de foi républicaine". Elle y apprend l'assassinat de son fils, fusillé dans les fossés de Vincennes sur ordre de Bonaparte, le 21 mars 1804.
En 1814, l'abdication de Napoléon lui permet de revenir en France. Louis XVIII lui donne l'Hôtel Matignon où, en souvenir de son fils, elle fonde l'Hospice d'Enghien. Toujours amoureuse de son mari - après 35 années de séparation – elle lui offre de revenir "le plus tôt que vous pourrez". Echec. Elle meurt devant le Panthéon rendu au culte divin le 10 janvier 1822, au cours d'une procession en l'honneur de Sainte Geneviève.
Refusant d'émigrer, cette aristocrate "républicaine" est, avec les Bourbon, exilée à Marseille en mai 1793 puis bannie à Barcelone en septembre 1797. Se résignant "à tout ce qu'ordonnera la Providence", elle y consacre son temps en oeuvres de charité et, fidèle à son éducation janséniste, franc-maçonne et mystique, rédige en 16 articles, sa "profession de foi républicaine". Elle y apprend l'assassinat de son fils, fusillé dans les fossés de Vincennes sur ordre de Bonaparte, le 21 mars 1804.
En 1814, l'abdication de Napoléon lui permet de revenir en France. Louis XVIII lui donne l'Hôtel Matignon où, en souvenir de son fils, elle fonde l'Hospice d'Enghien. Toujours amoureuse de son mari - après 35 années de séparation – elle lui offre de revenir "le plus tôt que vous pourrez". Echec. Elle meurt devant le Panthéon rendu au culte divin le 10 janvier 1822, au cours d'une procession en l'honneur de Sainte Geneviève.