Autour du "Malaise dans la culture" de Freud

Par : Michel Plon, Gérard Raulet, Jacques Le Rider, Henri Rey-Flaud

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  • Nombre de pages154
  • PrésentationBroché
  • Poids0.23 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,7 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-13-049405-6
  • EAN9782130494058
  • Date de parution01/04/1998
  • CollectionPerspectives germaniques
  • ÉditeurPUF

Résumé

Jacques Le Rider, Michel Plon, Gérard Raulet, Henri Rey-Flaud interrogent Das Unbehagen in der Kultur, que l'on traduisait naguère par Malaise dans la civilisation, et que la nouvelle traduction des Œuvres complètes de Freud intitule Le Malaise dans la culture. Il est vrai que l'hésitation entre "culture" et "civilisation" cache bien plus qu'un problème de traduction... Freud montre la pulsion de mort à l'oeuvre dans le processus de civilisation et, ce faisant, n'exclut pas l'hypothèse de l'autodestruction de la culture.
Mais le pire n'est jamais le plus sûr... Après la disparition de l'homme barbare et l'effacement de l'homme civilisé, le monde sera-t-il un jour peuplé par une troisième espèce composée d'individus pacifiés ? Freud nous enseigne plutôt que l'homme est condamné à la guerre et à l'errance au prix du désir et de la mort. Il met à nu le malaise de la politique, l'impossibilité de conduire les hommes sur la voie du "bonheur de vivre ensemble" et les risques qui résultent de cet impossible.
Jacques Le Rider, Michel Plon, Gérard Raulet, Henri Rey-Flaud interrogent Das Unbehagen in der Kultur, que l'on traduisait naguère par Malaise dans la civilisation, et que la nouvelle traduction des Œuvres complètes de Freud intitule Le Malaise dans la culture. Il est vrai que l'hésitation entre "culture" et "civilisation" cache bien plus qu'un problème de traduction... Freud montre la pulsion de mort à l'oeuvre dans le processus de civilisation et, ce faisant, n'exclut pas l'hypothèse de l'autodestruction de la culture.
Mais le pire n'est jamais le plus sûr... Après la disparition de l'homme barbare et l'effacement de l'homme civilisé, le monde sera-t-il un jour peuplé par une troisième espèce composée d'individus pacifiés ? Freud nous enseigne plutôt que l'homme est condamné à la guerre et à l'errance au prix du désir et de la mort. Il met à nu le malaise de la politique, l'impossibilité de conduire les hommes sur la voie du "bonheur de vivre ensemble" et les risques qui résultent de cet impossible.
Manifeste pour la psychanalyse
Sophie Aouillé, Pierre Bruno, Franck Chaumon, Michel Plon
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