Apparence et réalité. Essai de métaphysique

Par : Francis Herbert Bradley
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages650
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.97 kg
  • Dimensions15,2 cm × 22,9 cm × 3,7 cm
  • ISBN979-10-370-0513-7
  • EAN9791037005137
  • Date de parution28/09/2020
  • CollectionPhilosophie
  • ÉditeurHermann
  • TraducteurJean-Pierre Rosaye
  • PréfacierGuillaume Lejeune

Résumé

Longtemps négligée dans un siècle qui fut oublieux, la philosophie de Francis Herbert Bradley, qui a pourtant eu une influence notable dans la gestation du pragmatisme américain, l'émergence du néo-réalisme anglais et suscité quelques réflexions notables dans la philosophie réflexive française du XXe siècle, a été redécouverte dans les pays anglo-saxons depuis une trentaine d'années. Publié initialement en 1893, puis réédité avec des notes substantielles en 1897, Apparence et réalité, ouvrage phare du mouvement idéaliste britannique de la fin du XIXe siècle, est le livre le plus connu du philosophe, et l'ouvrage de métaphysique sur lequel toute une génération de philosophes s'est interrogée.
Cet essai, devenu un classique indispensable de la philosophie britannique, n'avait jamais été traduit en français.
Longtemps négligée dans un siècle qui fut oublieux, la philosophie de Francis Herbert Bradley, qui a pourtant eu une influence notable dans la gestation du pragmatisme américain, l'émergence du néo-réalisme anglais et suscité quelques réflexions notables dans la philosophie réflexive française du XXe siècle, a été redécouverte dans les pays anglo-saxons depuis une trentaine d'années. Publié initialement en 1893, puis réédité avec des notes substantielles en 1897, Apparence et réalité, ouvrage phare du mouvement idéaliste britannique de la fin du XIXe siècle, est le livre le plus connu du philosophe, et l'ouvrage de métaphysique sur lequel toute une génération de philosophes s'est interrogée.
Cet essai, devenu un classique indispensable de la philosophie britannique, n'avait jamais été traduit en français.