Alternatives Sud Volume 20 - 2013/1
Economie verte : marchandiser la planète pour la sauver ?. Points de vue du Sud
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- Nombre de pages191
- PrésentationBroché
- Poids0.239 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-84950-377-5
- EAN9782849503775
- Date de parution14/03/2013
- ÉditeurCoédition Centre Tricontinental/...
Résumé
" Green Economy " ! Nouveau paradigme de développement à même de répondre aux crises que le monde traverse ? Modèle de prospérité écologique, alternatif au capitalisme globalisé ? Sortie par le haut des impasses environnementales du productivisme et du consumérisme ? Au mieux, la nouvelle panacée verte apparaît bien en deçà de cette perspective. Pire : dans les mesures préconisées - par le PNUE, l'OCDE, la Banque mondiale...- elle s'impose résolument à rebours de tout renversement de logique.
Le " développement durable " reste l'objectif annoncé, c'est l'" économie verte " qui va y mener. Par la mise sur le marché du " capital naturel ", la " valorisation " des " services écosystémiques ", la privatisation des ressources, le brevetage du vivant, le " libre-échange " des sols, de l'eau, de l'air, des forêts, de la biodiversité... et la prétendue " gestion efficace" induite, la démarche entend réguler durablement notre rapport à l'environnement, en dynamisant une " croissance créatrice d'emplois ", assurant ainsi " un avenir viable au capitalisme ".
Le simple greenwashing de l'économie de ces dernières années supplanté par la légitimation du capitalisme vert de demain ! Ou comment adouber pour les temps à venir les fondamentaux d'un modèle de production et de consommation à l'origine même de l'aggravation des déséquilibres sociaux et environnementaux. Pour autant, les réticences de grands pays du Nord et du Sud à adopter l'"économie verte" constituent-elles une alternative salvatrice ? Rien n'est moins sûr.
Le " développement durable " reste l'objectif annoncé, c'est l'" économie verte " qui va y mener. Par la mise sur le marché du " capital naturel ", la " valorisation " des " services écosystémiques ", la privatisation des ressources, le brevetage du vivant, le " libre-échange " des sols, de l'eau, de l'air, des forêts, de la biodiversité... et la prétendue " gestion efficace" induite, la démarche entend réguler durablement notre rapport à l'environnement, en dynamisant une " croissance créatrice d'emplois ", assurant ainsi " un avenir viable au capitalisme ".
Le simple greenwashing de l'économie de ces dernières années supplanté par la légitimation du capitalisme vert de demain ! Ou comment adouber pour les temps à venir les fondamentaux d'un modèle de production et de consommation à l'origine même de l'aggravation des déséquilibres sociaux et environnementaux. Pour autant, les réticences de grands pays du Nord et du Sud à adopter l'"économie verte" constituent-elles une alternative salvatrice ? Rien n'est moins sûr.
" Green Economy " ! Nouveau paradigme de développement à même de répondre aux crises que le monde traverse ? Modèle de prospérité écologique, alternatif au capitalisme globalisé ? Sortie par le haut des impasses environnementales du productivisme et du consumérisme ? Au mieux, la nouvelle panacée verte apparaît bien en deçà de cette perspective. Pire : dans les mesures préconisées - par le PNUE, l'OCDE, la Banque mondiale...- elle s'impose résolument à rebours de tout renversement de logique.
Le " développement durable " reste l'objectif annoncé, c'est l'" économie verte " qui va y mener. Par la mise sur le marché du " capital naturel ", la " valorisation " des " services écosystémiques ", la privatisation des ressources, le brevetage du vivant, le " libre-échange " des sols, de l'eau, de l'air, des forêts, de la biodiversité... et la prétendue " gestion efficace" induite, la démarche entend réguler durablement notre rapport à l'environnement, en dynamisant une " croissance créatrice d'emplois ", assurant ainsi " un avenir viable au capitalisme ".
Le simple greenwashing de l'économie de ces dernières années supplanté par la légitimation du capitalisme vert de demain ! Ou comment adouber pour les temps à venir les fondamentaux d'un modèle de production et de consommation à l'origine même de l'aggravation des déséquilibres sociaux et environnementaux. Pour autant, les réticences de grands pays du Nord et du Sud à adopter l'"économie verte" constituent-elles une alternative salvatrice ? Rien n'est moins sûr.
Le " développement durable " reste l'objectif annoncé, c'est l'" économie verte " qui va y mener. Par la mise sur le marché du " capital naturel ", la " valorisation " des " services écosystémiques ", la privatisation des ressources, le brevetage du vivant, le " libre-échange " des sols, de l'eau, de l'air, des forêts, de la biodiversité... et la prétendue " gestion efficace" induite, la démarche entend réguler durablement notre rapport à l'environnement, en dynamisant une " croissance créatrice d'emplois ", assurant ainsi " un avenir viable au capitalisme ".
Le simple greenwashing de l'économie de ces dernières années supplanté par la légitimation du capitalisme vert de demain ! Ou comment adouber pour les temps à venir les fondamentaux d'un modèle de production et de consommation à l'origine même de l'aggravation des déséquilibres sociaux et environnementaux. Pour autant, les réticences de grands pays du Nord et du Sud à adopter l'"économie verte" constituent-elles une alternative salvatrice ? Rien n'est moins sûr.



















