1825 jours en Ehpad. Tome 1, Quand l’épilepsie fait sa crise !
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- Nombre de pages300
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.425 kg
- Dimensions15,6 cm × 23,4 cm × 0,0 cm
- ISBN979-10-424-0652-3
- EAN9791042406523
- Date de parution03/02/2025
- ÉditeurBookelis
Résumé
Au décès de mon père, je n'ai pas d'autre choix que de placer Françoise, ma mère, atteinte de la maladie d'Alzheimer à un stade très avancé, dans un Ehpad public. L'établissement affiche un label " bientraitance ", pourtant la prise en charge est inadaptée à la grande dépendance et la chimie compense souvent le manque de moyens. Habitée par une culpabilité omniprésente, je vais y naviguer entre impuissance, colère et tristesse.
Au fil des mois, la situation se dégrade, ma mère fait une crise d'épilepsie. On lui prescrit des antiépileptiques. Françoise somnole et ne s'alimente plus. Face à son anorexie, et à moins d'un miracle, on ne lui donne plus qu'un mois à vivre. Pendant que je recherche désespérément une solution, de drôles de dates, telles des comptines oubliées, se rappellent à ma mémoire, tandis que celle de ma mère s'est définitivement éteinte.
Quelles histoires vont-elles me révéler, alors que son pronostic vital est engagé ? Ont-elles un lien avec sa maladie de l'oubli ?
Au fil des mois, la situation se dégrade, ma mère fait une crise d'épilepsie. On lui prescrit des antiépileptiques. Françoise somnole et ne s'alimente plus. Face à son anorexie, et à moins d'un miracle, on ne lui donne plus qu'un mois à vivre. Pendant que je recherche désespérément une solution, de drôles de dates, telles des comptines oubliées, se rappellent à ma mémoire, tandis que celle de ma mère s'est définitivement éteinte.
Quelles histoires vont-elles me révéler, alors que son pronostic vital est engagé ? Ont-elles un lien avec sa maladie de l'oubli ?
Au décès de mon père, je n'ai pas d'autre choix que de placer Françoise, ma mère, atteinte de la maladie d'Alzheimer à un stade très avancé, dans un Ehpad public. L'établissement affiche un label " bientraitance ", pourtant la prise en charge est inadaptée à la grande dépendance et la chimie compense souvent le manque de moyens. Habitée par une culpabilité omniprésente, je vais y naviguer entre impuissance, colère et tristesse.
Au fil des mois, la situation se dégrade, ma mère fait une crise d'épilepsie. On lui prescrit des antiépileptiques. Françoise somnole et ne s'alimente plus. Face à son anorexie, et à moins d'un miracle, on ne lui donne plus qu'un mois à vivre. Pendant que je recherche désespérément une solution, de drôles de dates, telles des comptines oubliées, se rappellent à ma mémoire, tandis que celle de ma mère s'est définitivement éteinte.
Quelles histoires vont-elles me révéler, alors que son pronostic vital est engagé ? Ont-elles un lien avec sa maladie de l'oubli ?
Au fil des mois, la situation se dégrade, ma mère fait une crise d'épilepsie. On lui prescrit des antiépileptiques. Françoise somnole et ne s'alimente plus. Face à son anorexie, et à moins d'un miracle, on ne lui donne plus qu'un mois à vivre. Pendant que je recherche désespérément une solution, de drôles de dates, telles des comptines oubliées, se rappellent à ma mémoire, tandis que celle de ma mère s'est définitivement éteinte.
Quelles histoires vont-elles me révéler, alors que son pronostic vital est engagé ? Ont-elles un lien avec sa maladie de l'oubli ?