Bernard Minier est un auteur que je suis depuis la sortie de son premier titre Glacé (en poche je confesse). N'éteins pas la lumière est son 3ème ouvrage, on y retrouve encore une fois Martin Servaz. Le lecteur peut commencer par cet opus et en retirer énormément de plaisir mais je conseille de lire Glacé puis Le cercle pour en profiter au maximum et comprendre au mieux le fil rouge de l'histoire.
Cela est très compliqué pour moi de vous parler de l'intrigue du titre, de la substance de l'œuvre puisqu'elle est tout bonnement ÉNORME. En même temps c'est du Minier, un auteur qui gagne ses lettres de noblesse au fil de ses sorties. Je suis un gros consommateur de thriller, il faut faire fort pour me surprendre, me mettre sur le cul, je peux vous dire sans surprise que N'éteins pas la lumière m'a entièrement comblé.
Christine Steinmeyer se retrouve au cœur d'une machination à son encontre, pourquoi? Est-t-elle paranoïaque ou juste trop méfiante? Tandis que notre Martin Servaz reçoit un clé d'une chambre d'hôtel l'incitant à enquêter sur un suicide. Ces deux histoires ont-elles un lien ou est-ce simplement une coïncidence?
L'intrigue semble des plus classiques vu ainsi mais rien n'est aussi simple qu'on pourrait le croire. En effet, au fil des pages, on perçoit une complexité grandissante, on se perd dans les méandres psychologiques des protagonistes du livre tant l'auteur maîtrise son art, on en devient schizophrène. On ne peut jamais énoncer d'hypothèses car elles seraient toujours erronées. Le lecteur est pris par un sentiment de malaise, on est horrifié par la tournure des événements. Outre l'intrigue juste exceptionnelle du titre il faut souligner l'écriture de l'auteur qui est délicieuse pour le lecteur que je suis. Bernard Minier nous plonge en seulement quelques mots dans son monde, un univers où l'homme peut à la fois faire le bien comme le mal, un monde où l'on ne peut se fier à personne.
N'éteins pas la lumière n'est pas qu'un simple thriller, c'est un titre puissant, en émotion, en frayeur mais surtout en psychologie. La plume de l'auteur est une des meilleures que j'ai lu tout genre confondu. Ma lecture fut un pur moment de bonheur, j'attends déjà avec impatience la suite des aventures de Martin Servaz.
Bernard Minier est un auteur que je suis depuis la sortie de son premier titre Glacé (en poche je confesse). N'éteins pas la lumière est son 3ème ouvrage, on y retrouve encore une fois Martin Servaz. Le lecteur peut commencer par cet opus et en retirer énormément de plaisir mais je conseille de lire Glacé puis Le cercle pour en profiter au maximum et comprendre au mieux le fil rouge de l'histoire.
Cela est très compliqué pour moi de vous parler de l'intrigue du titre, de la substance de l'œuvre puisqu'elle est tout bonnement ÉNORME. En même temps c'est du Minier, un auteur qui gagne ses lettres de noblesse au fil de ses sorties. Je suis un gros consommateur de thriller, il faut faire fort pour me surprendre, me mettre sur le cul, je peux vous dire sans surprise que N'éteins pas la lumière m'a entièrement comblé.
Christine Steinmeyer se retrouve au cœur d'une machination à son encontre, pourquoi? Est-t-elle paranoïaque ou juste trop méfiante? Tandis que notre Martin Servaz reçoit un clé d'une chambre d'hôtel l'incitant à enquêter sur un suicide. Ces deux histoires ont-elles un lien ou est-ce simplement une coïncidence?
L'intrigue semble des plus classiques vu ainsi mais rien n'est aussi simple qu'on pourrait le croire. En effet, au fil des pages, on perçoit une complexité grandissante, on se perd dans les méandres psychologiques des protagonistes du livre tant l'auteur maîtrise son art, on en devient schizophrène. On ne peut jamais énoncer d'hypothèses car elles seraient toujours erronées. Le lecteur est pris par un sentiment de malaise, on est horrifié par la tournure des événements. Outre l'intrigue juste exceptionnelle du titre il faut souligner l'écriture de l'auteur qui est délicieuse pour le lecteur que je suis. Bernard Minier nous plonge en seulement quelques mots dans son monde, un univers où l'homme peut à la fois faire le bien comme le mal, un monde où l'on ne peut se fier à personne.
N'éteins pas la lumière n'est pas qu'un simple thriller, c'est un titre puissant, en émotion, en frayeur mais surtout en psychologie. La plume de l'auteur est une des meilleures que j'ai lu tout genre confondu. Ma lecture fut un pur moment de bonheur, j'attends déjà avec impatience la suite des aventures de Martin Servaz.