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  • Nombre de pages503
  • FormatePub
  • ISBN978-2-84563-719-1
  • EAN9782845637191
  • Date de parution27/02/2014
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille3 Mo
  • ÉditeurXo

Résumé

" Tu l'as laissée mourir... " Christine Steinmeyer croyait que la missive trouvée le soir de Noël dans sa boîte aux lettres ne lui était pas destinée. Mais l'homme qui l'interpelle en direct à la radio, dans son émission, semble persuadé du contraire... Bientôt, les incidents se multiplient, comme si quelqu'un avait pris le contrôle de son existence. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s'effondre.
Avant que l'horreur fasse irruption. Martin Servaz, de son côté, a reçu par la poste la clé d'une chambre d'hôtel. Une chambre où une artiste plasticienne s'est donné la mort un an plus tôt. Quelqu'un veut le voir reprendre du service... ce qu'il va faire, à l'insu de sa hiérarchie et de ses collègues. Et si nos proches n'étaient pas ce que nous croyons?? Et si dans l'obscurité certains secrets refusaient de mourir?? Non, n'éteignez pas la lumière, ou alors préparez-vous au pire...
Après les grands succès de Glacé et du Cercle , Bernard Minier revient avec un thriller sur la manipulation et l'emprise, en explorant nos cauchemars les plus intimes, nos phobies et nos obsessions...
" Tu l'as laissée mourir... " Christine Steinmeyer croyait que la missive trouvée le soir de Noël dans sa boîte aux lettres ne lui était pas destinée. Mais l'homme qui l'interpelle en direct à la radio, dans son émission, semble persuadé du contraire... Bientôt, les incidents se multiplient, comme si quelqu'un avait pris le contrôle de son existence. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s'effondre.
Avant que l'horreur fasse irruption. Martin Servaz, de son côté, a reçu par la poste la clé d'une chambre d'hôtel. Une chambre où une artiste plasticienne s'est donné la mort un an plus tôt. Quelqu'un veut le voir reprendre du service... ce qu'il va faire, à l'insu de sa hiérarchie et de ses collègues. Et si nos proches n'étaient pas ce que nous croyons?? Et si dans l'obscurité certains secrets refusaient de mourir?? Non, n'éteignez pas la lumière, ou alors préparez-vous au pire...
Après les grands succès de Glacé et du Cercle , Bernard Minier revient avec un thriller sur la manipulation et l'emprise, en explorant nos cauchemars les plus intimes, nos phobies et nos obsessions...

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Ingrid B. - 1Decitre Bellecour
4/5
Un thriller qui vous prendra aux tripes
Un incident infime, une lettre, sans doute glissée par erreur dans sa boite aux lettres la veille de Noël, va faire basculer l'existence jusque-là sans histoire de Christine Steinmeyer. Car quelqu'un cherche manifestement à nuire à sa réputation, pire, à la détruire. Sa vie devient un véritable cauchemar!!! Est-elle victime d'une machination ou paranoïaque? On retrouve le commandant Servaz, héros charismatique quoique très amoché psychologiquement après ses mésaventures dans « Le Cercle » , et qui semble hanté par l'ombre de Julian Hirtman. Cette étrange affaire va le sortir de sa torpeur et l'obliger à reprendre, en douce, du service... Menée brillamment, l'intrigue de « N'éteins pas la lumière » nous scotche littéralement et nous rend quasiment aussi dingue que son héroïne. Minier sait vraiment parfaitement faire monter la pression et égarer son lecteur. Comme toujours, un roman très difficile à lâcher... On en redemande...
Un incident infime, une lettre, sans doute glissée par erreur dans sa boite aux lettres la veille de Noël, va faire basculer l'existence jusque-là sans histoire de Christine Steinmeyer. Car quelqu'un cherche manifestement à nuire à sa réputation, pire, à la détruire. Sa vie devient un véritable cauchemar!!! Est-elle victime d'une machination ou paranoïaque? On retrouve le commandant Servaz, héros charismatique quoique très amoché psychologiquement après ses mésaventures dans « Le Cercle » , et qui semble hanté par l'ombre de Julian Hirtman. Cette étrange affaire va le sortir de sa torpeur et l'obliger à reprendre, en douce, du service... Menée brillamment, l'intrigue de « N'éteins pas la lumière » nous scotche littéralement et nous rend quasiment aussi dingue que son héroïne. Minier sait vraiment parfaitement faire monter la pression et égarer son lecteur. Comme toujours, un roman très difficile à lâcher... On en redemande...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.3/5
sur 4 notes dont 4 avis lecteurs
policier
Je retrouve avec plaisir Servaz et son enquête sous le manteau cette fois-ci, qui nous emmène de la cité de l'espace de Toulouse à la cité des étoiles en Russie. L'écheveau est difficile à démêler et la victime pas forcément celle que l'on croit. La tension monte, l'étau se resserre autour des personnages et on attend la confrontation. L'auteur nous offre de beaux personnages de femmes combatives et décidées. Et il utilise un vocabulaire peu usité, comme cette la présence du mot « consomption », plus vue depuis mes lectures de roman du 19e siècle. Des passages intéressants, notamment celui sur la conquête spatiale et l'étrange absence des femmes dans celle-ci. Mais M. Minier sait que son lectorat est féminin, n'est-ce pas. Ou celui sur les femmes dans l'opéra, « personnages toujours malheureux, connaissant une fin tragique, l'opéra était le lieu de leur défaite inéluctable ». p.450 Toutefois, une fin un peu trop « rose » à mon goût. L'image que je retiendrai : Celle du chien Darkan, molosse qui fait peur à Servaz, mais affectueux avec les enfants. Des citations : "L'enfance, elle ne dure pas longtemps, mais on n'en guérit jamais." (p.34) Une phrase d'Audiard : « Heureux les fêlés car ils laisseront passer la lumière. » (p. 51) http://motamots.canalblog.com/archives/2014/09/04/30357948.html
Je retrouve avec plaisir Servaz et son enquête sous le manteau cette fois-ci, qui nous emmène de la cité de l'espace de Toulouse à la cité des étoiles en Russie. L'écheveau est difficile à démêler et la victime pas forcément celle que l'on croit. La tension monte, l'étau se resserre autour des personnages et on attend la confrontation. L'auteur nous offre de beaux personnages de femmes combatives et décidées. Et il utilise un vocabulaire peu usité, comme cette la présence du mot « consomption », plus vue depuis mes lectures de roman du 19e siècle. Des passages intéressants, notamment celui sur la conquête spatiale et l'étrange absence des femmes dans celle-ci. Mais M. Minier sait que son lectorat est féminin, n'est-ce pas. Ou celui sur les femmes dans l'opéra, « personnages toujours malheureux, connaissant une fin tragique, l'opéra était le lieu de leur défaite inéluctable ». p.450 Toutefois, une fin un peu trop « rose » à mon goût. L'image que je retiendrai : Celle du chien Darkan, molosse qui fait peur à Servaz, mais affectueux avec les enfants. Des citations : "L'enfance, elle ne dure pas longtemps, mais on n'en guérit jamais." (p.34) Une phrase d'Audiard : « Heureux les fêlés car ils laisseront passer la lumière. » (p. 51) http://motamots.canalblog.com/archives/2014/09/04/30357948.html
n'éteins pas la lumière
Le troisième opus de cet auteur qui nous amène à suivre de nouveau SErvaz au coeur d'une de ces enquêtes. Un livre à la hauteur des deux premiers, une histoire très bien instruite mais avec beaucoup de longueurs.
Le troisième opus de cet auteur qui nous amène à suivre de nouveau SErvaz au coeur d'une de ces enquêtes. Un livre à la hauteur des deux premiers, une histoire très bien instruite mais avec beaucoup de longueurs.
5/5
ÉNORME
Bernard Minier est un auteur que je suis depuis la sortie de son premier titre Glacé (en poche je confesse). N'éteins pas la lumière est son 3ème ouvrage, on y retrouve encore une fois Martin Servaz. Le lecteur peut commencer par cet opus et en retirer énormément de plaisir mais je conseille de lire Glacé puis Le cercle pour en profiter au maximum et comprendre au mieux le fil rouge de l'histoire. Cela est très compliqué pour moi de vous parler de l'intrigue du titre, de la substance de l'œuvre puisqu'elle est tout bonnement ÉNORME. En même temps c'est du Minier, un auteur qui gagne ses lettres de noblesse au fil de ses sorties. Je suis un gros consommateur de thriller, il faut faire fort pour me surprendre, me mettre sur le cul, je peux vous dire sans surprise que N'éteins pas la lumière m'a entièrement comblé. Christine Steinmeyer se retrouve au cœur d'une machination à son encontre, pourquoi? Est-t-elle paranoïaque ou juste trop méfiante? Tandis que notre Martin Servaz reçoit un clé d'une chambre d'hôtel l'incitant à enquêter sur un suicide. Ces deux histoires ont-elles un lien ou est-ce simplement une coïncidence? L'intrigue semble des plus classiques vu ainsi mais rien n'est aussi simple qu'on pourrait le croire. En effet, au fil des pages, on perçoit une complexité grandissante, on se perd dans les méandres psychologiques des protagonistes du livre tant l'auteur maîtrise son art, on en devient schizophrène. On ne peut jamais énoncer d'hypothèses car elles seraient toujours erronées. Le lecteur est pris par un sentiment de malaise, on est horrifié par la tournure des événements. Outre l'intrigue juste exceptionnelle du titre il faut souligner l'écriture de l'auteur qui est délicieuse pour le lecteur que je suis. Bernard Minier nous plonge en seulement quelques mots dans son monde, un univers où l'homme peut à la fois faire le bien comme le mal, un monde où l'on ne peut se fier à personne. N'éteins pas la lumière n'est pas qu'un simple thriller, c'est un titre puissant, en émotion, en frayeur mais surtout en psychologie. La plume de l'auteur est une des meilleures que j'ai lu tout genre confondu. Ma lecture fut un pur moment de bonheur, j'attends déjà avec impatience la suite des aventures de Martin Servaz.
Bernard Minier est un auteur que je suis depuis la sortie de son premier titre Glacé (en poche je confesse). N'éteins pas la lumière est son 3ème ouvrage, on y retrouve encore une fois Martin Servaz. Le lecteur peut commencer par cet opus et en retirer énormément de plaisir mais je conseille de lire Glacé puis Le cercle pour en profiter au maximum et comprendre au mieux le fil rouge de l'histoire. Cela est très compliqué pour moi de vous parler de l'intrigue du titre, de la substance de l'œuvre puisqu'elle est tout bonnement ÉNORME. En même temps c'est du Minier, un auteur qui gagne ses lettres de noblesse au fil de ses sorties. Je suis un gros consommateur de thriller, il faut faire fort pour me surprendre, me mettre sur le cul, je peux vous dire sans surprise que N'éteins pas la lumière m'a entièrement comblé. Christine Steinmeyer se retrouve au cœur d'une machination à son encontre, pourquoi? Est-t-elle paranoïaque ou juste trop méfiante? Tandis que notre Martin Servaz reçoit un clé d'une chambre d'hôtel l'incitant à enquêter sur un suicide. Ces deux histoires ont-elles un lien ou est-ce simplement une coïncidence? L'intrigue semble des plus classiques vu ainsi mais rien n'est aussi simple qu'on pourrait le croire. En effet, au fil des pages, on perçoit une complexité grandissante, on se perd dans les méandres psychologiques des protagonistes du livre tant l'auteur maîtrise son art, on en devient schizophrène. On ne peut jamais énoncer d'hypothèses car elles seraient toujours erronées. Le lecteur est pris par un sentiment de malaise, on est horrifié par la tournure des événements. Outre l'intrigue juste exceptionnelle du titre il faut souligner l'écriture de l'auteur qui est délicieuse pour le lecteur que je suis. Bernard Minier nous plonge en seulement quelques mots dans son monde, un univers où l'homme peut à la fois faire le bien comme le mal, un monde où l'on ne peut se fier à personne. N'éteins pas la lumière n'est pas qu'un simple thriller, c'est un titre puissant, en émotion, en frayeur mais surtout en psychologie. La plume de l'auteur est une des meilleures que j'ai lu tout genre confondu. Ma lecture fut un pur moment de bonheur, j'attends déjà avec impatience la suite des aventures de Martin Servaz.
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