Rachel est une petite fille de 9 ans qui consulte une thérapeute, Mme Trebla, parce que"j'ai des mauvaises notes, mal à la tête et que je dors tout habillée avec mon cartable et mes affaires de gym pour pas être en retard à l'école".
Ce court roman est découpé en 10 chapitres, 10 séances durant lesquelles nous découvrons une petite fille pleine de vie, intelligente, malicieuse et imaginative. Elle décrit avec beaucoup de lucidité ces adultes qui l'entourent et qui ne prennent pas toujours les meilleures décisions.
Mais Rachel n'est pas seule, elle a pour meilleure amie Hortense, qui partage ses bêtises, ses fous rires, ses disputes...Leur amitié durera jusqu'au bout...
Le langage est fleuri, les bêtises innombrables pour le plus grand bonheur du lecteur, et puis il y a toutes ces questions qui affleurent sur la sexualité, la mort, l'identité ou la politique...Rachel nous renvoie alors à notre propre enfance et notre vision du monde des adultes.
Au bout du roman, de la dixième séance de thérapie, il y a la "guérison" de Rachel, la disparition de ses symptômes quand les mots ont été dits et que le deuil a été fait...
C'est un livre peut-être un peu trop court à mon goût, mais ce monde de l'enfance est irrésistible, je trouve, on ne peut que suivre Rachel avec nostalgie et plaisir, d'autant que l'humour n'est pas le plus petit charme de ce roman...
Rachel est une petite fille de 9 ans qui consulte une thérapeute, Mme Trebla, parce que"j'ai des mauvaises notes, mal à la tête et que je dors tout habillée avec mon cartable et mes affaires de gym pour pas être en retard à l'école".
Ce court roman est découpé en 10 chapitres, 10 séances durant lesquelles nous découvrons une petite fille pleine de vie, intelligente, malicieuse et imaginative. Elle décrit avec beaucoup de lucidité ces adultes qui l'entourent et qui ne prennent pas toujours les meilleures décisions.
Mais Rachel n'est pas seule, elle a pour meilleure amie Hortense, qui partage ses bêtises, ses fous rires, ses disputes...Leur amitié durera jusqu'au bout...
Le langage est fleuri, les bêtises innombrables pour le plus grand bonheur du lecteur, et puis il y a toutes ces questions qui affleurent sur la sexualité, la mort, l'identité ou la politique...Rachel nous renvoie alors à notre propre enfance et notre vision du monde des adultes.
Au bout du roman, de la dixième séance de thérapie, il y a la "guérison" de Rachel, la disparition de ses symptômes quand les mots ont été dits et que le deuil a été fait...
C'est un livre peut-être un peu trop court à mon goût, mais ce monde de l'enfance est irrésistible, je trouve, on ne peut que suivre Rachel avec nostalgie et plaisir, d'autant que l'humour n'est pas le plus petit charme de ce roman...