Yann - Je t'avais donné la vie terrestre tu m'insufles la vie cosmique
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- Nombre de pages217
- FormatePub
- ISBN2-402-13151-9
- EAN9782402131513
- Date de parution01/01/1988
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille502 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (F. L...
Résumé
Yann, enfant de l'amour, né le 16 juin 1962, ravi à notre tendresse, le 18 avril 1980, après une longue agonie. Au retour d'un après-midi passé avec ses camarades de collège, ce fut l'accident de voiture... De ta tendre enfance, nous gardons le souvenir d'un regard azur, qui scrutait les visages et les comportements avant de livrer sa confiance... Le défaut, que tu méprisais le plus, l'injustice. Tu as grandi, dans un merveilleux environnement à la lisière de la ville et de la campagne, frangée de bois.
Avec tes bons amis et ton berger allemand, tu y as vécu des moments joyeux... Comme tu l'aimais cette belle nature léhonnaise. Yann, enfant heureux, tu donnais tant d'espoirs ! Partout, ton passage apportait un rayonnement composé de gentillesse, d'humour, de détente, d'optimisme. Ta délicatesse, ton bon sens, ta discrétion te permettaient de donner l'impression de ne jamais t'imposer. Ta passion du karaté, toi le jeune homme modèle de pacifisme, intègre parfaitement le paradoxe apparent, force et bonté.
Ton départ nous rend humainement inconsolables, mais tu sais, nous vivons peut-être plus avec toi que si tu étais resté sur terre. Je ne sais plus qui chantait ? L'enfant qui, entre nous, a grandi, N'a pas eu son compte de vie, Le petit gars qui est parti ce matin, Pour un voyage lointain, vers le Divin. Annick Aziris
Avec tes bons amis et ton berger allemand, tu y as vécu des moments joyeux... Comme tu l'aimais cette belle nature léhonnaise. Yann, enfant heureux, tu donnais tant d'espoirs ! Partout, ton passage apportait un rayonnement composé de gentillesse, d'humour, de détente, d'optimisme. Ta délicatesse, ton bon sens, ta discrétion te permettaient de donner l'impression de ne jamais t'imposer. Ta passion du karaté, toi le jeune homme modèle de pacifisme, intègre parfaitement le paradoxe apparent, force et bonté.
Ton départ nous rend humainement inconsolables, mais tu sais, nous vivons peut-être plus avec toi que si tu étais resté sur terre. Je ne sais plus qui chantait ? L'enfant qui, entre nous, a grandi, N'a pas eu son compte de vie, Le petit gars qui est parti ce matin, Pour un voyage lointain, vers le Divin. Annick Aziris
Yann, enfant de l'amour, né le 16 juin 1962, ravi à notre tendresse, le 18 avril 1980, après une longue agonie. Au retour d'un après-midi passé avec ses camarades de collège, ce fut l'accident de voiture... De ta tendre enfance, nous gardons le souvenir d'un regard azur, qui scrutait les visages et les comportements avant de livrer sa confiance... Le défaut, que tu méprisais le plus, l'injustice. Tu as grandi, dans un merveilleux environnement à la lisière de la ville et de la campagne, frangée de bois.
Avec tes bons amis et ton berger allemand, tu y as vécu des moments joyeux... Comme tu l'aimais cette belle nature léhonnaise. Yann, enfant heureux, tu donnais tant d'espoirs ! Partout, ton passage apportait un rayonnement composé de gentillesse, d'humour, de détente, d'optimisme. Ta délicatesse, ton bon sens, ta discrétion te permettaient de donner l'impression de ne jamais t'imposer. Ta passion du karaté, toi le jeune homme modèle de pacifisme, intègre parfaitement le paradoxe apparent, force et bonté.
Ton départ nous rend humainement inconsolables, mais tu sais, nous vivons peut-être plus avec toi que si tu étais resté sur terre. Je ne sais plus qui chantait ? L'enfant qui, entre nous, a grandi, N'a pas eu son compte de vie, Le petit gars qui est parti ce matin, Pour un voyage lointain, vers le Divin. Annick Aziris
Avec tes bons amis et ton berger allemand, tu y as vécu des moments joyeux... Comme tu l'aimais cette belle nature léhonnaise. Yann, enfant heureux, tu donnais tant d'espoirs ! Partout, ton passage apportait un rayonnement composé de gentillesse, d'humour, de détente, d'optimisme. Ta délicatesse, ton bon sens, ta discrétion te permettaient de donner l'impression de ne jamais t'imposer. Ta passion du karaté, toi le jeune homme modèle de pacifisme, intègre parfaitement le paradoxe apparent, force et bonté.
Ton départ nous rend humainement inconsolables, mais tu sais, nous vivons peut-être plus avec toi que si tu étais resté sur terre. Je ne sais plus qui chantait ? L'enfant qui, entre nous, a grandi, N'a pas eu son compte de vie, Le petit gars qui est parti ce matin, Pour un voyage lointain, vers le Divin. Annick Aziris