Voyage en outre-gauche. Paroles de francs-tireurs des années 68
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- Nombre de pages288
- FormatePub
- ISBN978-2-37729-025-3
- EAN9782377290253
- Date de parution22/03/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille471 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLibertalia
Résumé
« Je me trouve dans cette mouvance que j'appelle l'outre-gauche depuis 1967 et aujourd'hui mes jeunes camarades me considèrent comme une de leurs ancêtres politiques. C'est un peu vexant certes, parce qu'on ne se voit pas vieillir, mais cela ne me semblait pas bien grave jusqu'à ce que je sois sommée de dévoiler tous ces événements des années 68 que nous leur aurions cachés, et d'éclairer ou contrer ainsi le récit dominant de cette période avant qu'il ne soit trop tard.
Il est vrai que notre histoire risque bel et bien de sombrer dans l'oubli. Ce n'est pas en solo que j'avais envie de rendre compte de cette aventure collective [.]. Ils sont trente à avoir accepté ma démarche ; en mai 68 ils étaient à Paris, à Marseille, à Toulouse, à Bordeaux, à Lyon, à Nantes, à Angers ou à Strasbourg. » Née en 1947 à Marseille, de parents émigrés russes. Ayant grandi dans un milieu libertaire, Lola Miesseroff avait 19 ans lorsqu'elle a lu De la misère en milieu étudiant.
À la suite de sa rencontre avec les idées de l'Internationale situationniste, elle quitte rapidement l'université, « lieu d'ennui et d'abrutissement », pour opter pour la lutte et la critique sociales. Depuis, elle n'a cessé de participer aux divers mouvements et à nombre de collectifs de discussion, d'édition.
Il est vrai que notre histoire risque bel et bien de sombrer dans l'oubli. Ce n'est pas en solo que j'avais envie de rendre compte de cette aventure collective [.]. Ils sont trente à avoir accepté ma démarche ; en mai 68 ils étaient à Paris, à Marseille, à Toulouse, à Bordeaux, à Lyon, à Nantes, à Angers ou à Strasbourg. » Née en 1947 à Marseille, de parents émigrés russes. Ayant grandi dans un milieu libertaire, Lola Miesseroff avait 19 ans lorsqu'elle a lu De la misère en milieu étudiant.
À la suite de sa rencontre avec les idées de l'Internationale situationniste, elle quitte rapidement l'université, « lieu d'ennui et d'abrutissement », pour opter pour la lutte et la critique sociales. Depuis, elle n'a cessé de participer aux divers mouvements et à nombre de collectifs de discussion, d'édition.
« Je me trouve dans cette mouvance que j'appelle l'outre-gauche depuis 1967 et aujourd'hui mes jeunes camarades me considèrent comme une de leurs ancêtres politiques. C'est un peu vexant certes, parce qu'on ne se voit pas vieillir, mais cela ne me semblait pas bien grave jusqu'à ce que je sois sommée de dévoiler tous ces événements des années 68 que nous leur aurions cachés, et d'éclairer ou contrer ainsi le récit dominant de cette période avant qu'il ne soit trop tard.
Il est vrai que notre histoire risque bel et bien de sombrer dans l'oubli. Ce n'est pas en solo que j'avais envie de rendre compte de cette aventure collective [.]. Ils sont trente à avoir accepté ma démarche ; en mai 68 ils étaient à Paris, à Marseille, à Toulouse, à Bordeaux, à Lyon, à Nantes, à Angers ou à Strasbourg. » Née en 1947 à Marseille, de parents émigrés russes. Ayant grandi dans un milieu libertaire, Lola Miesseroff avait 19 ans lorsqu'elle a lu De la misère en milieu étudiant.
À la suite de sa rencontre avec les idées de l'Internationale situationniste, elle quitte rapidement l'université, « lieu d'ennui et d'abrutissement », pour opter pour la lutte et la critique sociales. Depuis, elle n'a cessé de participer aux divers mouvements et à nombre de collectifs de discussion, d'édition.
Il est vrai que notre histoire risque bel et bien de sombrer dans l'oubli. Ce n'est pas en solo que j'avais envie de rendre compte de cette aventure collective [.]. Ils sont trente à avoir accepté ma démarche ; en mai 68 ils étaient à Paris, à Marseille, à Toulouse, à Bordeaux, à Lyon, à Nantes, à Angers ou à Strasbourg. » Née en 1947 à Marseille, de parents émigrés russes. Ayant grandi dans un milieu libertaire, Lola Miesseroff avait 19 ans lorsqu'elle a lu De la misère en milieu étudiant.
À la suite de sa rencontre avec les idées de l'Internationale situationniste, elle quitte rapidement l'université, « lieu d'ennui et d'abrutissement », pour opter pour la lutte et la critique sociales. Depuis, elle n'a cessé de participer aux divers mouvements et à nombre de collectifs de discussion, d'édition.