Prix Nobel de Littérature
Voyage à Moscou (juin-juillet 1935). Cahier nº29
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- Nombre de pages355
- FormatePub
- ISBN2-226-22778-4
- EAN9782226227782
- Date de parution01/01/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
En 1935, au moment où, signant un pacte d'alliance, la France et l'U. R. S. S. se rapprochent, Romain Rolland se rend à Moscou, invité par Gorki. Il y séjourne un mois, rencontre les dignitaires du régime : Iagoda, Boukharine..., et passe plusieurs heures avec Staline. Il note ses impressions, ses rencontres, il résume ses conversations. Rentré à Villeneuve, il fait le point, dresse les portraits des uns et des autres, s'interroge sur les contradictions qu'il a perçues.
Malgré tout il reste fidèle à son engagement et défend l'U. R. S. S. Mais la mort de Gorki en 1936, puis les procès de Moscou commencent à ébranler sa foi. En 1938 il ajoute des « Notes complémentaires » au récit de son voyage. En 1939, après la signature du pacte germano-soviétique, il rompt nettement avec Moscou : « Cette magistrale scélératesse me dégoûte à jamais du Kremlin. »Bernard Duchatelet, professeur à l'université de Brest, spécialiste de l'oeuvre de Romain Rolland, retrace dans une présentation nourrie l'évolution politique du partisan de l'Indépendance de l'Esprit, depuis son enthousiasme, en 1895, pour le socialisme, jusqu'à l'aveu, en 1940, de ses erreurs rappelant quels furent entre ces deux dates ses refus, ses hésitations, ses doutes et son engagement.
Voyage à Moscou contribue à éclairer les ambiguïtés et les difficultés de l'engagement des intellectuels de l'entre-deux-guerres pris entre la nécessité de la lutte contre le fascisme et l'inévitable reconnaissance des dérives du régime stalinien.
Malgré tout il reste fidèle à son engagement et défend l'U. R. S. S. Mais la mort de Gorki en 1936, puis les procès de Moscou commencent à ébranler sa foi. En 1938 il ajoute des « Notes complémentaires » au récit de son voyage. En 1939, après la signature du pacte germano-soviétique, il rompt nettement avec Moscou : « Cette magistrale scélératesse me dégoûte à jamais du Kremlin. »Bernard Duchatelet, professeur à l'université de Brest, spécialiste de l'oeuvre de Romain Rolland, retrace dans une présentation nourrie l'évolution politique du partisan de l'Indépendance de l'Esprit, depuis son enthousiasme, en 1895, pour le socialisme, jusqu'à l'aveu, en 1940, de ses erreurs rappelant quels furent entre ces deux dates ses refus, ses hésitations, ses doutes et son engagement.
Voyage à Moscou contribue à éclairer les ambiguïtés et les difficultés de l'engagement des intellectuels de l'entre-deux-guerres pris entre la nécessité de la lutte contre le fascisme et l'inévitable reconnaissance des dérives du régime stalinien.
En 1935, au moment où, signant un pacte d'alliance, la France et l'U. R. S. S. se rapprochent, Romain Rolland se rend à Moscou, invité par Gorki. Il y séjourne un mois, rencontre les dignitaires du régime : Iagoda, Boukharine..., et passe plusieurs heures avec Staline. Il note ses impressions, ses rencontres, il résume ses conversations. Rentré à Villeneuve, il fait le point, dresse les portraits des uns et des autres, s'interroge sur les contradictions qu'il a perçues.
Malgré tout il reste fidèle à son engagement et défend l'U. R. S. S. Mais la mort de Gorki en 1936, puis les procès de Moscou commencent à ébranler sa foi. En 1938 il ajoute des « Notes complémentaires » au récit de son voyage. En 1939, après la signature du pacte germano-soviétique, il rompt nettement avec Moscou : « Cette magistrale scélératesse me dégoûte à jamais du Kremlin. »Bernard Duchatelet, professeur à l'université de Brest, spécialiste de l'oeuvre de Romain Rolland, retrace dans une présentation nourrie l'évolution politique du partisan de l'Indépendance de l'Esprit, depuis son enthousiasme, en 1895, pour le socialisme, jusqu'à l'aveu, en 1940, de ses erreurs rappelant quels furent entre ces deux dates ses refus, ses hésitations, ses doutes et son engagement.
Voyage à Moscou contribue à éclairer les ambiguïtés et les difficultés de l'engagement des intellectuels de l'entre-deux-guerres pris entre la nécessité de la lutte contre le fascisme et l'inévitable reconnaissance des dérives du régime stalinien.
Malgré tout il reste fidèle à son engagement et défend l'U. R. S. S. Mais la mort de Gorki en 1936, puis les procès de Moscou commencent à ébranler sa foi. En 1938 il ajoute des « Notes complémentaires » au récit de son voyage. En 1939, après la signature du pacte germano-soviétique, il rompt nettement avec Moscou : « Cette magistrale scélératesse me dégoûte à jamais du Kremlin. »Bernard Duchatelet, professeur à l'université de Brest, spécialiste de l'oeuvre de Romain Rolland, retrace dans une présentation nourrie l'évolution politique du partisan de l'Indépendance de l'Esprit, depuis son enthousiasme, en 1895, pour le socialisme, jusqu'à l'aveu, en 1940, de ses erreurs rappelant quels furent entre ces deux dates ses refus, ses hésitations, ses doutes et son engagement.
Voyage à Moscou contribue à éclairer les ambiguïtés et les difficultés de l'engagement des intellectuels de l'entre-deux-guerres pris entre la nécessité de la lutte contre le fascisme et l'inévitable reconnaissance des dérives du régime stalinien.