Voyage à Berlin. Danielle Darrieux sous l'Occupation

Par : Jérôme Bimbenet

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  • Nombre de pages302
  • FormatPDF
  • ISBN979-10-210-5689-3
  • EAN9791021056893
  • Date de parution06/04/2023
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurTallandier

Résumé

DD ou Danielle Darrieux est la plus grande star française de cinéma de son époque. Elle débute sa carrière à 14 ans en 1931 et tourne plus de cent films jusqu'en 2010, avant de mourir centenaire en 2017. Le 18 mars 1942, la « fiancée de Paris » monte dans un train surnommé « le train de la honte », à destination de Berlin, afin de promouvoir son film Premier Rendez-vous à la demande de la Continental, une société de production française financée par l'Allemagne nazie.
Pourquoi accepter de participer à ce voyage en compagnie d'autres vedettes ? Parce qu'elle est follement amoureuse du plus grand séducteur de son temps, Porfirio Rubirosa. Ce playboy, escroc à ses heures perdues, est un diplomate dominicain proche du dictateur Trujillo. Mais son fiancé, pour des propos anti-allemands, est envoyé dans un camp surveillé à Bad Nauheim. Pour obtenir sa libération, Danielle accepte de rencontrer Joseph Goebbels, ministre de la Propagande du IIIe Reich. La paix revenue, Danielle prendra conscience que sa naïveté lui a fait traverser l'Occupation aveuglément : « Nous allions dîner chez Maxim's ou au Ritz.
Est-ce qu'il y avait des Allemands en uniforme ? Je ne sais pas et je n'y prêtais pas attention. [.] Les gens murmuraient des horreurs dans mon dos, m'accusant de collaboration. Mon Dieu ! Je n'étais qu'une femme amoureuse. » Avec précision et émotion, Jérôme Bimbenet revient sur cet épisode qui jettera une ombre sur cette icône qui a incarné à l'écran la Française idéale, raffinée, joyeuse et énigmatique.
DD ou Danielle Darrieux est la plus grande star française de cinéma de son époque. Elle débute sa carrière à 14 ans en 1931 et tourne plus de cent films jusqu'en 2010, avant de mourir centenaire en 2017. Le 18 mars 1942, la « fiancée de Paris » monte dans un train surnommé « le train de la honte », à destination de Berlin, afin de promouvoir son film Premier Rendez-vous à la demande de la Continental, une société de production française financée par l'Allemagne nazie.
Pourquoi accepter de participer à ce voyage en compagnie d'autres vedettes ? Parce qu'elle est follement amoureuse du plus grand séducteur de son temps, Porfirio Rubirosa. Ce playboy, escroc à ses heures perdues, est un diplomate dominicain proche du dictateur Trujillo. Mais son fiancé, pour des propos anti-allemands, est envoyé dans un camp surveillé à Bad Nauheim. Pour obtenir sa libération, Danielle accepte de rencontrer Joseph Goebbels, ministre de la Propagande du IIIe Reich. La paix revenue, Danielle prendra conscience que sa naïveté lui a fait traverser l'Occupation aveuglément : « Nous allions dîner chez Maxim's ou au Ritz.
Est-ce qu'il y avait des Allemands en uniforme ? Je ne sais pas et je n'y prêtais pas attention. [.] Les gens murmuraient des horreurs dans mon dos, m'accusant de collaboration. Mon Dieu ! Je n'étais qu'une femme amoureuse. » Avec précision et émotion, Jérôme Bimbenet revient sur cet épisode qui jettera une ombre sur cette icône qui a incarné à l'écran la Française idéale, raffinée, joyeuse et énigmatique.