Vous voulez voter ? Devenez français !
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- Nombre de pages22
- FormatePub
- ISBN978-2-918414-64-3
- EAN9782918414643
- Date de parution24/01/2013
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- ÉditeurMordicus (Editions)
- PréfacierElisabeth Lévy
Résumé
La gauche en parle depuis plus de 30 ans, elle promet maintenant de le faire : François Hollande l'a confirmé, il accordera le droit de vote aux étrangers. Et plus précisément aux étrangers n'appartenant pas à la communauté européenne - ceux-là en disposent déjà- et pour les seules élections locales. Par souci d'égalité, nous assène-t-on. Mais sans aucune condition de réciprocité : que l'on sache, ni l'Algérie ni le Mali n'accordent ce même droit aux Français qui résident sur leur sol...
Cyril Bennasar plaide contre ce projet.
Le droit de vote doit être réservé aux Français, défend-t-il. C'est l'un des avantages, des rares avantages de la citoyenneté. Il doit le rester. Si l'on veut voter en France, rien de plus simple : devenir Français. Comme environ 100 000 personnes chaque année. Quant à l'argument qui consiste à dire que si l'on paie ses impôts en France, on doit pouvoir y voter, c'est un drôle de raisonnement : une apologie du suffrage censitaire qui faisait qu'en France, au XIXe siècle, ne votaient que ceux qui payaient des impôts.
Etonnant de la part de la gauche ! Et puis, s'interroge Cyril Benassar, veut-on vraiment favoriser ainsi le vote communautaire, voir des listes regroupant des citoyens de tel ou tel pays briguer les suffrages de leurs concitoyens ? Faut-il donner le droit de vote aux étrangers ? Pour Cyril Bennasar, la réponse est simple, claire et précise : c'est non !
Le droit de vote doit être réservé aux Français, défend-t-il. C'est l'un des avantages, des rares avantages de la citoyenneté. Il doit le rester. Si l'on veut voter en France, rien de plus simple : devenir Français. Comme environ 100 000 personnes chaque année. Quant à l'argument qui consiste à dire que si l'on paie ses impôts en France, on doit pouvoir y voter, c'est un drôle de raisonnement : une apologie du suffrage censitaire qui faisait qu'en France, au XIXe siècle, ne votaient que ceux qui payaient des impôts.
Etonnant de la part de la gauche ! Et puis, s'interroge Cyril Benassar, veut-on vraiment favoriser ainsi le vote communautaire, voir des listes regroupant des citoyens de tel ou tel pays briguer les suffrages de leurs concitoyens ? Faut-il donner le droit de vote aux étrangers ? Pour Cyril Bennasar, la réponse est simple, claire et précise : c'est non !
La gauche en parle depuis plus de 30 ans, elle promet maintenant de le faire : François Hollande l'a confirmé, il accordera le droit de vote aux étrangers. Et plus précisément aux étrangers n'appartenant pas à la communauté européenne - ceux-là en disposent déjà- et pour les seules élections locales. Par souci d'égalité, nous assène-t-on. Mais sans aucune condition de réciprocité : que l'on sache, ni l'Algérie ni le Mali n'accordent ce même droit aux Français qui résident sur leur sol...
Cyril Bennasar plaide contre ce projet.
Le droit de vote doit être réservé aux Français, défend-t-il. C'est l'un des avantages, des rares avantages de la citoyenneté. Il doit le rester. Si l'on veut voter en France, rien de plus simple : devenir Français. Comme environ 100 000 personnes chaque année. Quant à l'argument qui consiste à dire que si l'on paie ses impôts en France, on doit pouvoir y voter, c'est un drôle de raisonnement : une apologie du suffrage censitaire qui faisait qu'en France, au XIXe siècle, ne votaient que ceux qui payaient des impôts.
Etonnant de la part de la gauche ! Et puis, s'interroge Cyril Benassar, veut-on vraiment favoriser ainsi le vote communautaire, voir des listes regroupant des citoyens de tel ou tel pays briguer les suffrages de leurs concitoyens ? Faut-il donner le droit de vote aux étrangers ? Pour Cyril Bennasar, la réponse est simple, claire et précise : c'est non !
Le droit de vote doit être réservé aux Français, défend-t-il. C'est l'un des avantages, des rares avantages de la citoyenneté. Il doit le rester. Si l'on veut voter en France, rien de plus simple : devenir Français. Comme environ 100 000 personnes chaque année. Quant à l'argument qui consiste à dire que si l'on paie ses impôts en France, on doit pouvoir y voter, c'est un drôle de raisonnement : une apologie du suffrage censitaire qui faisait qu'en France, au XIXe siècle, ne votaient que ceux qui payaient des impôts.
Etonnant de la part de la gauche ! Et puis, s'interroge Cyril Benassar, veut-on vraiment favoriser ainsi le vote communautaire, voir des listes regroupant des citoyens de tel ou tel pays briguer les suffrages de leurs concitoyens ? Faut-il donner le droit de vote aux étrangers ? Pour Cyril Bennasar, la réponse est simple, claire et précise : c'est non !
