Vouloir sa ville
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- Nombre de pages352
- FormatePub
- ISBN978-2-7491-2988-4
- EAN9782749129884
- Date de parution29/11/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- ÉditeurLe Cherche Midi
- Directeur de publicationNoël Guetny
- PréfacierJean-Marc Ayrault
Résumé
Saint-Nazaire n'est pas une ville ordinaire. Destinée à n'être que l'avant-port de Nantes au milieu du XIXe siècle, elle a connu une croissance vertigineuse comme tête de pont des lignes transatlantiques vers l'Amérique centrale et site de construction des plus beaux paquebots du monde (spécialité toujours en vigueur). Malheureusement, la Seconde Guerre mondiale lui a porté un coup fatal en la détruisant à 85 %, elle si jeune, si moderne, si prometteuse.
Il en fallait plus pour renoncer. On a bâti une nouvelle cité aérée, fonctionnelle, confortable, à l'avant-garde du progrès technologique et social, taillée pour accueillir 100 000 habitants. Mais Saint-Nazaire, ville industrielle et portuaire, a subi de plein fouet les crises économiques successives à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Il lui a fallu, une nouvelle fois, se relever et se donner un nouveau destin. Des villes de cette trempe, soumises aux aléas de l'Histoire autant qu'à ceux de la mondialisation, réclament à leur tête des hommes de tempérament.
C'est le cas de Joël Batteux, maire de Saint-Nazaire depuis 30 ans, ingénieur de formation épris de culture, républicain intransigeant, bâtisseur-né, comme tout Nazairien qui se respecte, c'est un homme en perpétuel mouvement, qui fait corps et esprit avec sa ville. Il déteste la pensée unique, la langue de bois, le jargon technocratique, les offres-promotions, le défaut de bon sens. Il aime l'inédit, l'authentique, l'universel, l'épuré, la ligne claire, les ambiances jeunes, Pierre Dac et les Tontons flingueurs, Barcelone et La Havane, les régates et le rugby. Dans Vouloir sa ville, un livre à la fois biographique, travail de mémoire et profession de foi, Joël Batteux s'interroge sur ce qu'est une ville, comment on la pense, comment on la fabrique. Moteur du développement, lieu d'échanges et de représentation, la ville forme un tout indissociable où se croisent les logiques économique, urbaine, sociale, environnementale, culturelle.
Très connue et reconnue pour sa capacitéà innover, à sortir des sentiers battus, Saint-Nazaire a inventé, il y a plus de deux décennies, le concept de « projet global de développement » aujourd'hui largement répandu. Est évoqué aussi le lien intime entre un homme et sa ville, cette sorte de corps à corps amoureux.
Il en fallait plus pour renoncer. On a bâti une nouvelle cité aérée, fonctionnelle, confortable, à l'avant-garde du progrès technologique et social, taillée pour accueillir 100 000 habitants. Mais Saint-Nazaire, ville industrielle et portuaire, a subi de plein fouet les crises économiques successives à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Il lui a fallu, une nouvelle fois, se relever et se donner un nouveau destin. Des villes de cette trempe, soumises aux aléas de l'Histoire autant qu'à ceux de la mondialisation, réclament à leur tête des hommes de tempérament.
C'est le cas de Joël Batteux, maire de Saint-Nazaire depuis 30 ans, ingénieur de formation épris de culture, républicain intransigeant, bâtisseur-né, comme tout Nazairien qui se respecte, c'est un homme en perpétuel mouvement, qui fait corps et esprit avec sa ville. Il déteste la pensée unique, la langue de bois, le jargon technocratique, les offres-promotions, le défaut de bon sens. Il aime l'inédit, l'authentique, l'universel, l'épuré, la ligne claire, les ambiances jeunes, Pierre Dac et les Tontons flingueurs, Barcelone et La Havane, les régates et le rugby. Dans Vouloir sa ville, un livre à la fois biographique, travail de mémoire et profession de foi, Joël Batteux s'interroge sur ce qu'est une ville, comment on la pense, comment on la fabrique. Moteur du développement, lieu d'échanges et de représentation, la ville forme un tout indissociable où se croisent les logiques économique, urbaine, sociale, environnementale, culturelle.
Très connue et reconnue pour sa capacitéà innover, à sortir des sentiers battus, Saint-Nazaire a inventé, il y a plus de deux décennies, le concept de « projet global de développement » aujourd'hui largement répandu. Est évoqué aussi le lien intime entre un homme et sa ville, cette sorte de corps à corps amoureux.
Saint-Nazaire n'est pas une ville ordinaire. Destinée à n'être que l'avant-port de Nantes au milieu du XIXe siècle, elle a connu une croissance vertigineuse comme tête de pont des lignes transatlantiques vers l'Amérique centrale et site de construction des plus beaux paquebots du monde (spécialité toujours en vigueur). Malheureusement, la Seconde Guerre mondiale lui a porté un coup fatal en la détruisant à 85 %, elle si jeune, si moderne, si prometteuse.
Il en fallait plus pour renoncer. On a bâti une nouvelle cité aérée, fonctionnelle, confortable, à l'avant-garde du progrès technologique et social, taillée pour accueillir 100 000 habitants. Mais Saint-Nazaire, ville industrielle et portuaire, a subi de plein fouet les crises économiques successives à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Il lui a fallu, une nouvelle fois, se relever et se donner un nouveau destin. Des villes de cette trempe, soumises aux aléas de l'Histoire autant qu'à ceux de la mondialisation, réclament à leur tête des hommes de tempérament.
C'est le cas de Joël Batteux, maire de Saint-Nazaire depuis 30 ans, ingénieur de formation épris de culture, républicain intransigeant, bâtisseur-né, comme tout Nazairien qui se respecte, c'est un homme en perpétuel mouvement, qui fait corps et esprit avec sa ville. Il déteste la pensée unique, la langue de bois, le jargon technocratique, les offres-promotions, le défaut de bon sens. Il aime l'inédit, l'authentique, l'universel, l'épuré, la ligne claire, les ambiances jeunes, Pierre Dac et les Tontons flingueurs, Barcelone et La Havane, les régates et le rugby. Dans Vouloir sa ville, un livre à la fois biographique, travail de mémoire et profession de foi, Joël Batteux s'interroge sur ce qu'est une ville, comment on la pense, comment on la fabrique. Moteur du développement, lieu d'échanges et de représentation, la ville forme un tout indissociable où se croisent les logiques économique, urbaine, sociale, environnementale, culturelle.
Très connue et reconnue pour sa capacitéà innover, à sortir des sentiers battus, Saint-Nazaire a inventé, il y a plus de deux décennies, le concept de « projet global de développement » aujourd'hui largement répandu. Est évoqué aussi le lien intime entre un homme et sa ville, cette sorte de corps à corps amoureux.
Il en fallait plus pour renoncer. On a bâti une nouvelle cité aérée, fonctionnelle, confortable, à l'avant-garde du progrès technologique et social, taillée pour accueillir 100 000 habitants. Mais Saint-Nazaire, ville industrielle et portuaire, a subi de plein fouet les crises économiques successives à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Il lui a fallu, une nouvelle fois, se relever et se donner un nouveau destin. Des villes de cette trempe, soumises aux aléas de l'Histoire autant qu'à ceux de la mondialisation, réclament à leur tête des hommes de tempérament.
C'est le cas de Joël Batteux, maire de Saint-Nazaire depuis 30 ans, ingénieur de formation épris de culture, républicain intransigeant, bâtisseur-né, comme tout Nazairien qui se respecte, c'est un homme en perpétuel mouvement, qui fait corps et esprit avec sa ville. Il déteste la pensée unique, la langue de bois, le jargon technocratique, les offres-promotions, le défaut de bon sens. Il aime l'inédit, l'authentique, l'universel, l'épuré, la ligne claire, les ambiances jeunes, Pierre Dac et les Tontons flingueurs, Barcelone et La Havane, les régates et le rugby. Dans Vouloir sa ville, un livre à la fois biographique, travail de mémoire et profession de foi, Joël Batteux s'interroge sur ce qu'est une ville, comment on la pense, comment on la fabrique. Moteur du développement, lieu d'échanges et de représentation, la ville forme un tout indissociable où se croisent les logiques économique, urbaine, sociale, environnementale, culturelle.
Très connue et reconnue pour sa capacitéà innover, à sortir des sentiers battus, Saint-Nazaire a inventé, il y a plus de deux décennies, le concept de « projet global de développement » aujourd'hui largement répandu. Est évoqué aussi le lien intime entre un homme et sa ville, cette sorte de corps à corps amoureux.