Vivre en réanimation. Lazare ou " le prix à payer "
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- Nombre de pages220
- FormatPDF
- ISBN2-296-27789-6
- EAN9782296277892
- Date de parution01/01/2002
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'auteur a réuni ici des écrits faits pour être dits. Il a préféré les laisser tels quels pour témoigner de façon plus prégnante de la violence de la réanimation où l'on meurt beaucoup et où l'on ressuscite parfois.
La pensée de S. Freud et de J. Lacan a subverti peu à peu sa pratique de neurologue, dit-il. Elle l'autorise à laisser courir ses associations d'idées d'une clinique médicale très stricte jusqu'aux textes psychanalytiques et littéraires.
Cette promenade nous permet de saisir la force des désirs inconscients mis en jeu chez les soignés et les soignants. De nombreux cas cliniques émaillent la réflexion de l'auteur : depuis les locked-in, ces emmurés vivants, jusqu'aux Münchaussen qui pervertissent l'usage de la médecine. Mais les jeunes traumatisés de la route constituent le noyau dur du livre : leurs corps nus et blessés, leurs comas, la longue régression dont il leur faut bien sortir...
Leur mort est omniprésente et le deuil de ces jeunes vies brisées est source de fantasmes de meurtre et de réparation imaginaires. La violence qu'ils ont subie appelle en retour violence et transgression. L'auteur est " passeur de mots " auprès des malades, de leurs familles, des réanimateurs qui décident de leur sort et des infirmiers plus attentifs à leur identité et à leur affectivité. Ses mots peuvent aussi subvenir la vision qu'a le lecteur du monde de la réanimation.
La vivacité du texte met en scène les désirs et les angoisses qui traversent cet univers tragique.
Cette promenade nous permet de saisir la force des désirs inconscients mis en jeu chez les soignés et les soignants. De nombreux cas cliniques émaillent la réflexion de l'auteur : depuis les locked-in, ces emmurés vivants, jusqu'aux Münchaussen qui pervertissent l'usage de la médecine. Mais les jeunes traumatisés de la route constituent le noyau dur du livre : leurs corps nus et blessés, leurs comas, la longue régression dont il leur faut bien sortir...
Leur mort est omniprésente et le deuil de ces jeunes vies brisées est source de fantasmes de meurtre et de réparation imaginaires. La violence qu'ils ont subie appelle en retour violence et transgression. L'auteur est " passeur de mots " auprès des malades, de leurs familles, des réanimateurs qui décident de leur sort et des infirmiers plus attentifs à leur identité et à leur affectivité. Ses mots peuvent aussi subvenir la vision qu'a le lecteur du monde de la réanimation.
La vivacité du texte met en scène les désirs et les angoisses qui traversent cet univers tragique.
L'auteur a réuni ici des écrits faits pour être dits. Il a préféré les laisser tels quels pour témoigner de façon plus prégnante de la violence de la réanimation où l'on meurt beaucoup et où l'on ressuscite parfois.
La pensée de S. Freud et de J. Lacan a subverti peu à peu sa pratique de neurologue, dit-il. Elle l'autorise à laisser courir ses associations d'idées d'une clinique médicale très stricte jusqu'aux textes psychanalytiques et littéraires.
Cette promenade nous permet de saisir la force des désirs inconscients mis en jeu chez les soignés et les soignants. De nombreux cas cliniques émaillent la réflexion de l'auteur : depuis les locked-in, ces emmurés vivants, jusqu'aux Münchaussen qui pervertissent l'usage de la médecine. Mais les jeunes traumatisés de la route constituent le noyau dur du livre : leurs corps nus et blessés, leurs comas, la longue régression dont il leur faut bien sortir...
Leur mort est omniprésente et le deuil de ces jeunes vies brisées est source de fantasmes de meurtre et de réparation imaginaires. La violence qu'ils ont subie appelle en retour violence et transgression. L'auteur est " passeur de mots " auprès des malades, de leurs familles, des réanimateurs qui décident de leur sort et des infirmiers plus attentifs à leur identité et à leur affectivité. Ses mots peuvent aussi subvenir la vision qu'a le lecteur du monde de la réanimation.
La vivacité du texte met en scène les désirs et les angoisses qui traversent cet univers tragique.
Cette promenade nous permet de saisir la force des désirs inconscients mis en jeu chez les soignés et les soignants. De nombreux cas cliniques émaillent la réflexion de l'auteur : depuis les locked-in, ces emmurés vivants, jusqu'aux Münchaussen qui pervertissent l'usage de la médecine. Mais les jeunes traumatisés de la route constituent le noyau dur du livre : leurs corps nus et blessés, leurs comas, la longue régression dont il leur faut bien sortir...
Leur mort est omniprésente et le deuil de ces jeunes vies brisées est source de fantasmes de meurtre et de réparation imaginaires. La violence qu'ils ont subie appelle en retour violence et transgression. L'auteur est " passeur de mots " auprès des malades, de leurs familles, des réanimateurs qui décident de leur sort et des infirmiers plus attentifs à leur identité et à leur affectivité. Ses mots peuvent aussi subvenir la vision qu'a le lecteur du monde de la réanimation.
La vivacité du texte met en scène les désirs et les angoisses qui traversent cet univers tragique.