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Vivien de Monbranc forme le trait d'union entre Maugis d'Aigremont et Renaut de Montauban. C'est dire que cette chanson de geste peu connue - elle ne fut publiée qu'en 1886-1887, édition depuis longtemps introuvable - mérite d'être remise en lumière. Le manuscrit de Montpellier, qui en conserve seul le texte, est en très mauvais état, si bien que Castet, en 1886, n'a pas pu tout lire. Grâce à la technique moderne des rayons ultraviolets, le professeur Van Emdem a pu compléter le texte en de nombreux passages.
