Violence(s)
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- Nombre de pages192
- FormatePub
- ISBN978-2-86231-320-7
- EAN9782862313207
- Date de parution10/09/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille584 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurMAURICE NADEAU
Résumé
Violence(s) est roman construit sur sur une douzaine de récits de femmes évoquant les violences ordinaires ou extraordinaires qu'elles ont subies dans leur vie. Elles n'ont pas de nom. Mises bout à bout, les bribes de leur destin surgissent à travers ces paroles de femmes jamais dites, car elles se taisent, en devenant invisibles aux autres. Elles passent leur vie à attendre : leurs hommes, leurs enfants, leur vie même.
Ce sont les vies de femmes rabaissées, humiliées, frappées, violées, torturées avant d'être tuées, juste parce qu'elles « sont femmes », celles dont on parle dans nos journaux et qu'on oublie. À travers ces paroles, ces cris interdits par toutes les conventions, elles témoignent de la violence qu'appelle partout cet « état de femme ». Toutes, même celles dont on dit qu'elles « ont réussi », malgré le « genre » auquel elles appartiennent.
Ce roman les fait entrer dans la littérature pour ce qu'elles sont : des héroïnes du quotidien que sauvent leur courage et leur force de résilience, au bout du chemin. Agrégée de lettres classiques et professeur de chaire supérieure, Paule Andrau a longtemps enseigné la littérature. Elle a écrit jusqu'ici des monographies consacrées à Voltaire, Rabelais, Diderot, Stendhal, Barbusse, Gide ou Queneau.
Elle est venue au roman en saisissant des bribes de destins sur les tickets de caisse des grandes surfaces. Elle a ensuite orchestré cette "partition" en imaginant ces histoires morcelées et inaudibles. Paule Andrau habite la région de Nice.
Ce sont les vies de femmes rabaissées, humiliées, frappées, violées, torturées avant d'être tuées, juste parce qu'elles « sont femmes », celles dont on parle dans nos journaux et qu'on oublie. À travers ces paroles, ces cris interdits par toutes les conventions, elles témoignent de la violence qu'appelle partout cet « état de femme ». Toutes, même celles dont on dit qu'elles « ont réussi », malgré le « genre » auquel elles appartiennent.
Ce roman les fait entrer dans la littérature pour ce qu'elles sont : des héroïnes du quotidien que sauvent leur courage et leur force de résilience, au bout du chemin. Agrégée de lettres classiques et professeur de chaire supérieure, Paule Andrau a longtemps enseigné la littérature. Elle a écrit jusqu'ici des monographies consacrées à Voltaire, Rabelais, Diderot, Stendhal, Barbusse, Gide ou Queneau.
Elle est venue au roman en saisissant des bribes de destins sur les tickets de caisse des grandes surfaces. Elle a ensuite orchestré cette "partition" en imaginant ces histoires morcelées et inaudibles. Paule Andrau habite la région de Nice.
Violence(s) est roman construit sur sur une douzaine de récits de femmes évoquant les violences ordinaires ou extraordinaires qu'elles ont subies dans leur vie. Elles n'ont pas de nom. Mises bout à bout, les bribes de leur destin surgissent à travers ces paroles de femmes jamais dites, car elles se taisent, en devenant invisibles aux autres. Elles passent leur vie à attendre : leurs hommes, leurs enfants, leur vie même.
Ce sont les vies de femmes rabaissées, humiliées, frappées, violées, torturées avant d'être tuées, juste parce qu'elles « sont femmes », celles dont on parle dans nos journaux et qu'on oublie. À travers ces paroles, ces cris interdits par toutes les conventions, elles témoignent de la violence qu'appelle partout cet « état de femme ». Toutes, même celles dont on dit qu'elles « ont réussi », malgré le « genre » auquel elles appartiennent.
Ce roman les fait entrer dans la littérature pour ce qu'elles sont : des héroïnes du quotidien que sauvent leur courage et leur force de résilience, au bout du chemin. Agrégée de lettres classiques et professeur de chaire supérieure, Paule Andrau a longtemps enseigné la littérature. Elle a écrit jusqu'ici des monographies consacrées à Voltaire, Rabelais, Diderot, Stendhal, Barbusse, Gide ou Queneau.
Elle est venue au roman en saisissant des bribes de destins sur les tickets de caisse des grandes surfaces. Elle a ensuite orchestré cette "partition" en imaginant ces histoires morcelées et inaudibles. Paule Andrau habite la région de Nice.
Ce sont les vies de femmes rabaissées, humiliées, frappées, violées, torturées avant d'être tuées, juste parce qu'elles « sont femmes », celles dont on parle dans nos journaux et qu'on oublie. À travers ces paroles, ces cris interdits par toutes les conventions, elles témoignent de la violence qu'appelle partout cet « état de femme ». Toutes, même celles dont on dit qu'elles « ont réussi », malgré le « genre » auquel elles appartiennent.
Ce roman les fait entrer dans la littérature pour ce qu'elles sont : des héroïnes du quotidien que sauvent leur courage et leur force de résilience, au bout du chemin. Agrégée de lettres classiques et professeur de chaire supérieure, Paule Andrau a longtemps enseigné la littérature. Elle a écrit jusqu'ici des monographies consacrées à Voltaire, Rabelais, Diderot, Stendhal, Barbusse, Gide ou Queneau.
Elle est venue au roman en saisissant des bribes de destins sur les tickets de caisse des grandes surfaces. Elle a ensuite orchestré cette "partition" en imaginant ces histoires morcelées et inaudibles. Paule Andrau habite la région de Nice.