Villes, territoires, réversibilités
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- Nombre de pages304
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-0752-0
- EAN9791037007520
- Date de parution16/09/2013
- Protection num.Adobe DRM
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Un des fondements de la pensée moderne de l'action collective fut de produire de l'irréversibilité, comme condition historique du progrès. On sait aujourd'hui ce qu'a permis de produire cette posture immodeste, mais aussi ce qui en a coûté, et continue d'en coûter. La ville du XXe siècle, sa société, ses mondes d'action collective, ont été profondément structurés, mais aussi profondément marqués par ce goût démiurgique pour l'irréversible.
On fait ici l'hypothèse que le nouveau fondement de la pensée postmoderne de l'action collective est dans la promotion du principe inverse au précédent : la réversibilité, comme nouvelle posture de la relation à un futur désormais largement désigné comme incertain. La ville réversible ? Au sein de territoires et de réseaux qui le seraient tout autant ? Les uns comme les autres par leurs acteurs, leurs systèmes d'action, leurs mondes techniques, leurs univers de production matérielle et idéelle ? De quoi peut-il bien s'agir ?
On fait ici l'hypothèse que le nouveau fondement de la pensée postmoderne de l'action collective est dans la promotion du principe inverse au précédent : la réversibilité, comme nouvelle posture de la relation à un futur désormais largement désigné comme incertain. La ville réversible ? Au sein de territoires et de réseaux qui le seraient tout autant ? Les uns comme les autres par leurs acteurs, leurs systèmes d'action, leurs mondes techniques, leurs univers de production matérielle et idéelle ? De quoi peut-il bien s'agir ?
Un des fondements de la pensée moderne de l'action collective fut de produire de l'irréversibilité, comme condition historique du progrès. On sait aujourd'hui ce qu'a permis de produire cette posture immodeste, mais aussi ce qui en a coûté, et continue d'en coûter. La ville du XXe siècle, sa société, ses mondes d'action collective, ont été profondément structurés, mais aussi profondément marqués par ce goût démiurgique pour l'irréversible.
On fait ici l'hypothèse que le nouveau fondement de la pensée postmoderne de l'action collective est dans la promotion du principe inverse au précédent : la réversibilité, comme nouvelle posture de la relation à un futur désormais largement désigné comme incertain. La ville réversible ? Au sein de territoires et de réseaux qui le seraient tout autant ? Les uns comme les autres par leurs acteurs, leurs systèmes d'action, leurs mondes techniques, leurs univers de production matérielle et idéelle ? De quoi peut-il bien s'agir ?
On fait ici l'hypothèse que le nouveau fondement de la pensée postmoderne de l'action collective est dans la promotion du principe inverse au précédent : la réversibilité, comme nouvelle posture de la relation à un futur désormais largement désigné comme incertain. La ville réversible ? Au sein de territoires et de réseaux qui le seraient tout autant ? Les uns comme les autres par leurs acteurs, leurs systèmes d'action, leurs mondes techniques, leurs univers de production matérielle et idéelle ? De quoi peut-il bien s'agir ?