Vie de Beaumarchais, le parcours d'une vie (1732 - 1799)
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages103
- FormatePub
- ISBN2-36946-075-X
- EAN9782369460756
- Date de parution08/07/1905
- Protection num.pas de protection
- Taille123 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurMyriel (Editions)
Résumé
Tour à tour féru d'histoire, de géographie, d'urbanisme, de littérature ; Edouard Fournier, auteur aux talents multiples, livre avec Vie de Beaumarchais un texte passionné. Tout a été dit de l'auteur du Barbier de Séville ; et pourtant, Fournier, pointilleux, homme exhaustif, fait tenir sa Vie de Beaumarchais par une somme de détails n'oubliant rien de son sujet. C'est que Beaumarchais, homme à la vie multiple, auteur adulé de son vivant, esprit ne se désintéressant de rien, riant de tout, homme qui s'était rêvé en plein de vies, méritait bien ça.
Vie joyeuse, existence profuse que celle de Beaumarchais. Lorsque le siècle entame sa dernière décennie, voilà qu'il ne reste plus que dix ans à vivre à Beaumarchais, mort en 1799 tout juste. Ces dix dernières années du siècle (1789-1799), décennie éminemment politique, double lustres des plus importants historiquement, ne pouvant être, pour lui, autre chose qu'une source d'intérêt fécond. C'est ce que nous montre Alphonse Aulard en annexe au texte de Fournier.
Il nous montre comment la Révolution, ses attentes, ses espoirs, ses étonnantes possibilités, comment tout ça fascina et anima le Beaumarchais finissant. Ainsi fut la dernière audace du « hardi moqueur », comme le nomme Aulard, celle de « vouloir gouverner ses concitoyens après les avoir fait rire. »
Vie joyeuse, existence profuse que celle de Beaumarchais. Lorsque le siècle entame sa dernière décennie, voilà qu'il ne reste plus que dix ans à vivre à Beaumarchais, mort en 1799 tout juste. Ces dix dernières années du siècle (1789-1799), décennie éminemment politique, double lustres des plus importants historiquement, ne pouvant être, pour lui, autre chose qu'une source d'intérêt fécond. C'est ce que nous montre Alphonse Aulard en annexe au texte de Fournier.
Il nous montre comment la Révolution, ses attentes, ses espoirs, ses étonnantes possibilités, comment tout ça fascina et anima le Beaumarchais finissant. Ainsi fut la dernière audace du « hardi moqueur », comme le nomme Aulard, celle de « vouloir gouverner ses concitoyens après les avoir fait rire. »
Tour à tour féru d'histoire, de géographie, d'urbanisme, de littérature ; Edouard Fournier, auteur aux talents multiples, livre avec Vie de Beaumarchais un texte passionné. Tout a été dit de l'auteur du Barbier de Séville ; et pourtant, Fournier, pointilleux, homme exhaustif, fait tenir sa Vie de Beaumarchais par une somme de détails n'oubliant rien de son sujet. C'est que Beaumarchais, homme à la vie multiple, auteur adulé de son vivant, esprit ne se désintéressant de rien, riant de tout, homme qui s'était rêvé en plein de vies, méritait bien ça.
Vie joyeuse, existence profuse que celle de Beaumarchais. Lorsque le siècle entame sa dernière décennie, voilà qu'il ne reste plus que dix ans à vivre à Beaumarchais, mort en 1799 tout juste. Ces dix dernières années du siècle (1789-1799), décennie éminemment politique, double lustres des plus importants historiquement, ne pouvant être, pour lui, autre chose qu'une source d'intérêt fécond. C'est ce que nous montre Alphonse Aulard en annexe au texte de Fournier.
Il nous montre comment la Révolution, ses attentes, ses espoirs, ses étonnantes possibilités, comment tout ça fascina et anima le Beaumarchais finissant. Ainsi fut la dernière audace du « hardi moqueur », comme le nomme Aulard, celle de « vouloir gouverner ses concitoyens après les avoir fait rire. »
Vie joyeuse, existence profuse que celle de Beaumarchais. Lorsque le siècle entame sa dernière décennie, voilà qu'il ne reste plus que dix ans à vivre à Beaumarchais, mort en 1799 tout juste. Ces dix dernières années du siècle (1789-1799), décennie éminemment politique, double lustres des plus importants historiquement, ne pouvant être, pour lui, autre chose qu'une source d'intérêt fécond. C'est ce que nous montre Alphonse Aulard en annexe au texte de Fournier.
Il nous montre comment la Révolution, ses attentes, ses espoirs, ses étonnantes possibilités, comment tout ça fascina et anima le Beaumarchais finissant. Ainsi fut la dernière audace du « hardi moqueur », comme le nomme Aulard, celle de « vouloir gouverner ses concitoyens après les avoir fait rire. »