Vêture et pouvoir, XIIIe-XXe siècle : actes du colloque d'Albi
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- Nombre de pages178
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-8107-0959-5
- EAN9782810709595
- Date de parution13/10/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses Universitaires Mirail
Résumé
Le vêtement civil ou ecclésiastique, peut être considère comme un « fait social total ». Il exprime état, honneur, et distingue celui qui le porte du reste du commun. Les questions de préséances sont primordiales, qu'elles se manifestent par le choix des couleurs, la qualité des tissus, la place occupée dans les assemblées consulaires ou les cérémonies religieuses. Ainsi revêtu, l'individu n'est plus anonyme, il est le corps visible du pouvoir qu'il représente.
Les atteintes portées à ces symboles révèlent également l'importance du statut politique du costume. Le soin porté aux vêtements liturgiques et civils, le souci du détail vestimentaire, le sort réservé aux tissus usagés, permettent de cerner, de la théorie à la pratique, l'importance de la vêture comme représentation, mais aussi comme instrument et enjeu de pouvoir. L'intérêt de la longue durée (XIIIe-XXe siècle) réside dans l'analyse des permanences et des évolutions, à partir de l'étude des textes normatifs et des pratiques observées sur le terrain, grâce à l'abondance des sources.
Toutes ces questions ont été l'objet de la réflexion des chercheurs lors du colloque organisé à Albi, les 19 et 20 octobre 2001. Loin de représenter une étude exhaustive d'un sujet trop vaste pour être circonscrit en quelques pages, les actes qui paraissent aujourd'hui sont autant d'imitations à pousser les portes entrouvertes et poursuivre le questionnement dans une recherche pluridisciplinaire particulièrement enrichissante.
Les atteintes portées à ces symboles révèlent également l'importance du statut politique du costume. Le soin porté aux vêtements liturgiques et civils, le souci du détail vestimentaire, le sort réservé aux tissus usagés, permettent de cerner, de la théorie à la pratique, l'importance de la vêture comme représentation, mais aussi comme instrument et enjeu de pouvoir. L'intérêt de la longue durée (XIIIe-XXe siècle) réside dans l'analyse des permanences et des évolutions, à partir de l'étude des textes normatifs et des pratiques observées sur le terrain, grâce à l'abondance des sources.
Toutes ces questions ont été l'objet de la réflexion des chercheurs lors du colloque organisé à Albi, les 19 et 20 octobre 2001. Loin de représenter une étude exhaustive d'un sujet trop vaste pour être circonscrit en quelques pages, les actes qui paraissent aujourd'hui sont autant d'imitations à pousser les portes entrouvertes et poursuivre le questionnement dans une recherche pluridisciplinaire particulièrement enrichissante.
Le vêtement civil ou ecclésiastique, peut être considère comme un « fait social total ». Il exprime état, honneur, et distingue celui qui le porte du reste du commun. Les questions de préséances sont primordiales, qu'elles se manifestent par le choix des couleurs, la qualité des tissus, la place occupée dans les assemblées consulaires ou les cérémonies religieuses. Ainsi revêtu, l'individu n'est plus anonyme, il est le corps visible du pouvoir qu'il représente.
Les atteintes portées à ces symboles révèlent également l'importance du statut politique du costume. Le soin porté aux vêtements liturgiques et civils, le souci du détail vestimentaire, le sort réservé aux tissus usagés, permettent de cerner, de la théorie à la pratique, l'importance de la vêture comme représentation, mais aussi comme instrument et enjeu de pouvoir. L'intérêt de la longue durée (XIIIe-XXe siècle) réside dans l'analyse des permanences et des évolutions, à partir de l'étude des textes normatifs et des pratiques observées sur le terrain, grâce à l'abondance des sources.
Toutes ces questions ont été l'objet de la réflexion des chercheurs lors du colloque organisé à Albi, les 19 et 20 octobre 2001. Loin de représenter une étude exhaustive d'un sujet trop vaste pour être circonscrit en quelques pages, les actes qui paraissent aujourd'hui sont autant d'imitations à pousser les portes entrouvertes et poursuivre le questionnement dans une recherche pluridisciplinaire particulièrement enrichissante.
Les atteintes portées à ces symboles révèlent également l'importance du statut politique du costume. Le soin porté aux vêtements liturgiques et civils, le souci du détail vestimentaire, le sort réservé aux tissus usagés, permettent de cerner, de la théorie à la pratique, l'importance de la vêture comme représentation, mais aussi comme instrument et enjeu de pouvoir. L'intérêt de la longue durée (XIIIe-XXe siècle) réside dans l'analyse des permanences et des évolutions, à partir de l'étude des textes normatifs et des pratiques observées sur le terrain, grâce à l'abondance des sources.
Toutes ces questions ont été l'objet de la réflexion des chercheurs lors du colloque organisé à Albi, les 19 et 20 octobre 2001. Loin de représenter une étude exhaustive d'un sujet trop vaste pour être circonscrit en quelques pages, les actes qui paraissent aujourd'hui sont autant d'imitations à pousser les portes entrouvertes et poursuivre le questionnement dans une recherche pluridisciplinaire particulièrement enrichissante.