Vers l'empreinte incréée
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- Nombre de pages54
- FormatePub
- ISBN978-2-14-028602-5
- EAN9782140286025
- Date de parution31/08/2023
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Si l'on définit le terme « représenter » par rendre présent quelque chose d'absent en l'évoquant, alors on sous-entend que tout peut être représentable. Mais jusqu'où peut-on représenter le réel ? Dans ce livre, nous verrons en quoi le regard du peintre ne se réduit pas à une relation « physique-optique » avec le monde ; il naît dans les choses comme par concentration et venue à soi du visible. Aussi le tableau n'est-il lui-même spectacle de quelque chose qu'en tant qu'il n'est spectacle de rien.
L'art moderne, et les toiles de Mark Rothko en particulier, nous confrontent à ce qui déborde des contours, à l'irreprésentable. Dès lors, l'Être ne s'oppose plus à l'apparence, mais c'est l'Être qui se dissimule dans son apparition même.
L'art moderne, et les toiles de Mark Rothko en particulier, nous confrontent à ce qui déborde des contours, à l'irreprésentable. Dès lors, l'Être ne s'oppose plus à l'apparence, mais c'est l'Être qui se dissimule dans son apparition même.
Si l'on définit le terme « représenter » par rendre présent quelque chose d'absent en l'évoquant, alors on sous-entend que tout peut être représentable. Mais jusqu'où peut-on représenter le réel ? Dans ce livre, nous verrons en quoi le regard du peintre ne se réduit pas à une relation « physique-optique » avec le monde ; il naît dans les choses comme par concentration et venue à soi du visible. Aussi le tableau n'est-il lui-même spectacle de quelque chose qu'en tant qu'il n'est spectacle de rien.
L'art moderne, et les toiles de Mark Rothko en particulier, nous confrontent à ce qui déborde des contours, à l'irreprésentable. Dès lors, l'Être ne s'oppose plus à l'apparence, mais c'est l'Être qui se dissimule dans son apparition même.
L'art moderne, et les toiles de Mark Rothko en particulier, nous confrontent à ce qui déborde des contours, à l'irreprésentable. Dès lors, l'Être ne s'oppose plus à l'apparence, mais c'est l'Être qui se dissimule dans son apparition même.