VERDUN ANNEES INFERNALES. Lettres d'un soldat au front (août 1914 - septembre 1916)
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages176
- FormatePub
- ISBN2-84952-510-3
- EAN9782849525104
- Date de parution01/11/1998
- Protection num.Adobe DRM
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurImago
Résumé
Le 21 février 1916, à Verdun, se livrait l'une des plus sanglantes batailles de l'Histoire, suivie de l'offensive du Chemin des Dames, un an plus tard.
La correspondance d'Anatole Castex - qui appartenait au même corps d'armée que le romancier Alain-Fournier -, écrite au front, permet de saisir sur le vif ce que furent au quotidien ces années terribles.
Témoignages émouvants, ces écrits du jeune capitaine Castex, adressés à son épouse et à sa sour, nous font mieux comprendre l'état d'esprit d'une génération : nous plongeons, au fil de mois d'espoir et de souffrance, au cour du drame de ces « poilus » épuisés par le froid, les veilles et l'angoisse de la mort.
Le 21 février 1916, à Verdun, se livrait l'une des plus sanglantes batailles de l'Histoire, suivie de l'offensive du Chemin des Dames, un an plus tard.
La correspondance d'Anatole Castex - qui appartenait au même corps d'armée que le romancier Alain-Fournier -, écrite au front, permet de saisir sur le vif ce que furent au quotidien ces années terribles.
Témoignages émouvants, ces écrits du jeune capitaine Castex, adressés à son épouse et à sa sour, nous font mieux comprendre l'état d'esprit d'une génération : nous plongeons, au fil de mois d'espoir et de souffrance, au cour du drame de ces « poilus » épuisés par le froid, les veilles et l'angoisse de la mort.








