Vents du large. Hommage à Georges Boisvert

Par : Jacqueline Penjon, Anne-Marie Quint

Formats :

Disponible d'occasion :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages421
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-37906-007-6
  • EAN9782379060076
  • Date de parution01/02/2019
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses Sorbonne Nouvelle

Résumé

Les Vents du large ont soufflé sur les pays ibériques, et tout spécialement sur le Portugal et sa vaste façade océanique. À l'aube de la Renaissance, ces vents ont insufflé le goût de l'aventure, le désir de découvrir de nouvelles routes sur l'Océan, ils ont porté les caravelles aux confins de l'Ancien Monde, en Inde et en Extrême-Orient, et les ont menées jusqu'au Nouveau Monde. Il a fallu nommer les terres nouvelles, apprendre des langages inconnus, conquérants et missionnaires ont suivi de près les découvreurs.
La pensée et la littérature non seulement des pays ibériques, mais de notre occident européen se sont nourries de ces expériences inédites. Or bien après cette époque exaltante, après que le désenchantement eut succédé à l'enthousiasme et le repli sur soi à l'appel du large, d'autres vents ont soufflé. Au XIXe siècle, les idées de liberté et d'indépendance, de démocratie et de république, ont secoué en tous sens les anciens régimes monarchiques et le pacte colonial, agitant les esprits des écrivains et des hommes politiques, bouleversant en particulier le Portugal, et le Brésil qui avait été sa colonie la plus vaste.
Tels sont les deux axes autour desquels s'ordonnent la trentaine d'études contenues dans le présent recueil. Le livre est un hommage au Professeur Georges Boisvert, qui a formé des générations de lusitanistes. Ses collègues et anciens étudiants ont tenu à lui manifester ainsi leur gratitude et leur amitié, en explorant des thèmes auxquels lui-même a consacré une grande partie de ses propres travaux.
Les Vents du large ont soufflé sur les pays ibériques, et tout spécialement sur le Portugal et sa vaste façade océanique. À l'aube de la Renaissance, ces vents ont insufflé le goût de l'aventure, le désir de découvrir de nouvelles routes sur l'Océan, ils ont porté les caravelles aux confins de l'Ancien Monde, en Inde et en Extrême-Orient, et les ont menées jusqu'au Nouveau Monde. Il a fallu nommer les terres nouvelles, apprendre des langages inconnus, conquérants et missionnaires ont suivi de près les découvreurs.
La pensée et la littérature non seulement des pays ibériques, mais de notre occident européen se sont nourries de ces expériences inédites. Or bien après cette époque exaltante, après que le désenchantement eut succédé à l'enthousiasme et le repli sur soi à l'appel du large, d'autres vents ont soufflé. Au XIXe siècle, les idées de liberté et d'indépendance, de démocratie et de république, ont secoué en tous sens les anciens régimes monarchiques et le pacte colonial, agitant les esprits des écrivains et des hommes politiques, bouleversant en particulier le Portugal, et le Brésil qui avait été sa colonie la plus vaste.
Tels sont les deux axes autour desquels s'ordonnent la trentaine d'études contenues dans le présent recueil. Le livre est un hommage au Professeur Georges Boisvert, qui a formé des générations de lusitanistes. Ses collègues et anciens étudiants ont tenu à lui manifester ainsi leur gratitude et leur amitié, en explorant des thèmes auxquels lui-même a consacré une grande partie de ses propres travaux.