Vasari et la France. Primauté culturelle et réception des Vite aux XVIe et XVIIe siècles
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- Nombre de pages536
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-600-36481-2
- EAN9782600364812
- Date de parution10/06/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurLibrairie Droz
- PréfacierCorinne Lucas Fiorato
Résumé
Les Vite, texte italien fondateur de l'histoire de l'art en Europe, constituèrent en France, aux XVIe et XVIIe siècles, une référence incontournable pour tous les auteurs de récits historico-artistiques, par le genre littéraire dont elles relèvent, leur structure narrative, les modalités de leur récit et leur paradigme historique. L'auteure démontre que les relations complexes, et souvent contradictoires, avec cette source s'articulent en trois temps bien distincts, dont la succession s'explique par les bouleversements culturels et politiques que connut la France du Grand Siècle.
Le « monument éternel » des Vite, selon l'heureuse définition de Roger de Piles (1699), fut traduit et imité avec admiration, lu et cité avec méfiance ou âprement contesté. En arrière-plan, se profilent des enjeux sociétaux et identitaires majeurs, avec l'affirmation progressive d'une identité culturelle tout à fait autonome par rapport au modèle italien.
Le « monument éternel » des Vite, selon l'heureuse définition de Roger de Piles (1699), fut traduit et imité avec admiration, lu et cité avec méfiance ou âprement contesté. En arrière-plan, se profilent des enjeux sociétaux et identitaires majeurs, avec l'affirmation progressive d'une identité culturelle tout à fait autonome par rapport au modèle italien.
Les Vite, texte italien fondateur de l'histoire de l'art en Europe, constituèrent en France, aux XVIe et XVIIe siècles, une référence incontournable pour tous les auteurs de récits historico-artistiques, par le genre littéraire dont elles relèvent, leur structure narrative, les modalités de leur récit et leur paradigme historique. L'auteure démontre que les relations complexes, et souvent contradictoires, avec cette source s'articulent en trois temps bien distincts, dont la succession s'explique par les bouleversements culturels et politiques que connut la France du Grand Siècle.
Le « monument éternel » des Vite, selon l'heureuse définition de Roger de Piles (1699), fut traduit et imité avec admiration, lu et cité avec méfiance ou âprement contesté. En arrière-plan, se profilent des enjeux sociétaux et identitaires majeurs, avec l'affirmation progressive d'une identité culturelle tout à fait autonome par rapport au modèle italien.
Le « monument éternel » des Vite, selon l'heureuse définition de Roger de Piles (1699), fut traduit et imité avec admiration, lu et cité avec méfiance ou âprement contesté. En arrière-plan, se profilent des enjeux sociétaux et identitaires majeurs, avec l'affirmation progressive d'une identité culturelle tout à fait autonome par rapport au modèle italien.