Variations sur la paradoxe 7. Paradoxes et peinture Volume 2, Monochromie, hyperréalisme, expressionnisme abstrait, Pop Art

Par : Edmundo Morim de Carvalho

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages380
  • FormatePub
  • ISBN978-2-336-75001-9
  • EAN9782336750019
  • Date de parution01/01/2016
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Cet ouvrage porte son regard sur certains mouvements d'outre-Atlantique : monochronisme, hyperréalisme, expressionnisme abstrait, pop art, sans omettre Malévitch et Yves Klein. Les paradoxes dominants sont ceux du "mouvement immobile", de l' « intérieur-extérieur », de la « surface-profondeur », du « cadre hors-cadre », de la « mort de l'art » soulevée par A. Danto. La « mort de l'art » est l'institution du communisme utopique en termes esthétiques, réalisée par un dernier paradoxe selon l'essor du capitalisme financier et industriel.
Cet ouvrage porte son regard sur certains mouvements d'outre-Atlantique : monochronisme, hyperréalisme, expressionnisme abstrait, pop art, sans omettre Malévitch et Yves Klein. Les paradoxes dominants sont ceux du "mouvement immobile", de l' « intérieur-extérieur », de la « surface-profondeur », du « cadre hors-cadre », de la « mort de l'art » soulevée par A. Danto. La « mort de l'art » est l'institution du communisme utopique en termes esthétiques, réalisée par un dernier paradoxe selon l'essor du capitalisme financier et industriel.