Une vie de prof ...

Par : Fanch Babel

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  • Nombre de pages310
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-20372-3
  • EAN9782296203723
  • Date de parution01/09/2008
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille12 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Jacques Quintin, professeur certifié, après vingt ans d'enseignement, commence à ressentir un certain désenchantement : son engagement, ses efforts ne sont guère reconnus et il se prend d'ailleurs à douter de ce qu'il apporte à ses élèves. A court d'imagination, il fait ce qu'on lui dit : pour " progresser dans la carrière ", il passe l'agrégation et, bingo, a la chance d'être admis. Mais ce concours sans aucun rapport avec l'enseignement ne change rien d'essentiel à la monotonie de sa situation, sinon qu'il est un peu moins mal rémunéré.
La routine des cours, le carcan administratif, l'aberrance de certaines réformes, l'ennui, la solitude de l'enseignant, la langue de bois du ministère, l'hypocrisie des résultats et des programmes, les formations inutiles le minent. Il se rend compte qu'il n'a jamais quitté l'école et que sa hiérarchie n'a jamais cessé de le considérer comme un élève docile qu'on peut rabrouer de temps en temps histoire de lui rappeler qu'il n'est qu'un Petit Chose, toujours et encore.
Alors, il rêve d'espaces et " profite " de sa nouvelle promotion pour explorer les territoires de l'Education nationale qui semblent permettre des " échappées " transversales : les grandes classes des lycées, les " missions ", l'enseignement à l'étranger, la direction d'établissement, les IUFM, l'université, les " territoires français du Pacifique "... Nouveau Candide - Bardamu des blouses grises - il tombe de Charybde en Scylla mais ne décidera pas forcément de cultiver son jardin. Fanch Babel donne avec un humour parfois grinçant le tableau d'une administration et d'un service public en pleine dégringolade.
Il n'a eu ni la prétention de fournir un essai ni de vouloir indiquer des perspectives car il pense tout simplement que l'école actuelle, qui fonctionne encore - en dépit de tous les cosmétiques possibles - sur un modèle hérité de la IIIe République n'a pas besoin de réformes mais d'une métamorphose totale. La transmission des savoirs et des valeurs doit être imaginée hors des systèmes scolaires tels qu'ils sont.
Il faudrait sans doute déscolariser l'école, désadministrer son administration et déprofériser ses enseignants pour enfin " décroisser la lune " ! Ce sera pour une autre vie.
Jacques Quintin, professeur certifié, après vingt ans d'enseignement, commence à ressentir un certain désenchantement : son engagement, ses efforts ne sont guère reconnus et il se prend d'ailleurs à douter de ce qu'il apporte à ses élèves. A court d'imagination, il fait ce qu'on lui dit : pour " progresser dans la carrière ", il passe l'agrégation et, bingo, a la chance d'être admis. Mais ce concours sans aucun rapport avec l'enseignement ne change rien d'essentiel à la monotonie de sa situation, sinon qu'il est un peu moins mal rémunéré.
La routine des cours, le carcan administratif, l'aberrance de certaines réformes, l'ennui, la solitude de l'enseignant, la langue de bois du ministère, l'hypocrisie des résultats et des programmes, les formations inutiles le minent. Il se rend compte qu'il n'a jamais quitté l'école et que sa hiérarchie n'a jamais cessé de le considérer comme un élève docile qu'on peut rabrouer de temps en temps histoire de lui rappeler qu'il n'est qu'un Petit Chose, toujours et encore.
Alors, il rêve d'espaces et " profite " de sa nouvelle promotion pour explorer les territoires de l'Education nationale qui semblent permettre des " échappées " transversales : les grandes classes des lycées, les " missions ", l'enseignement à l'étranger, la direction d'établissement, les IUFM, l'université, les " territoires français du Pacifique "... Nouveau Candide - Bardamu des blouses grises - il tombe de Charybde en Scylla mais ne décidera pas forcément de cultiver son jardin. Fanch Babel donne avec un humour parfois grinçant le tableau d'une administration et d'un service public en pleine dégringolade.
Il n'a eu ni la prétention de fournir un essai ni de vouloir indiquer des perspectives car il pense tout simplement que l'école actuelle, qui fonctionne encore - en dépit de tous les cosmétiques possibles - sur un modèle hérité de la IIIe République n'a pas besoin de réformes mais d'une métamorphose totale. La transmission des savoirs et des valeurs doit être imaginée hors des systèmes scolaires tels qu'ils sont.
Il faudrait sans doute déscolariser l'école, désadministrer son administration et déprofériser ses enseignants pour enfin " décroisser la lune " ! Ce sera pour une autre vie.
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