Une Parisienne à Bruxelles
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- FormatMulti-format
- ISBN978-2-87560-031-8
- EAN9782875600318
- Date de parution05/03/2013
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans ...
- ÉditeurONLIT ÉDITIONS
Résumé
Lydie, jeune Parisienne, se marie à un industriel belge, Alphonse Van Zee. Après une lune de miel idyllique dans les Ardennes belges, le jeune couple emménage provisoirement rue du Palais à Bruxelles, chez Mme Van Zee et ses trois filles.
Dans la maison règne une atmosphère hostile, la mère et les filles sont à la chasse au mari et Lydie, belle et cultivée, trop éduquée, fait se détourner des sours Van Zee, moins bien loties physiquement et intellectuellement, tout mari potentiel.
Jusqu'au jour où une lettre annonce la venue d'un lointain cousin, jeune papa, veuf et riche. Lydie, dans une longue lettre à sa mère restée à Paris, croque avec férocité l'esprit de province qui règne dans la capitale, les promenades hebdomadaires au Parc de Bruxelles, les gens qui y déambulent, l'architecture et les mours de l'époque. À travers ce roman réaliste (1875), elle porte surtout des revendications féministes, comme le droit à l'éducation, issues du courant laïque et progressiste de la fin du XIXe siècle.
Elle dénonce aussi les préjugés sociaux et l'esprit obtus de la petite bourgeoisie. La présence de ce point de vue radical n'entrave en rien le récit, qui demeure un roman léger et un beau divertissement.
Jusqu'au jour où une lettre annonce la venue d'un lointain cousin, jeune papa, veuf et riche. Lydie, dans une longue lettre à sa mère restée à Paris, croque avec férocité l'esprit de province qui règne dans la capitale, les promenades hebdomadaires au Parc de Bruxelles, les gens qui y déambulent, l'architecture et les mours de l'époque. À travers ce roman réaliste (1875), elle porte surtout des revendications féministes, comme le droit à l'éducation, issues du courant laïque et progressiste de la fin du XIXe siècle.
Elle dénonce aussi les préjugés sociaux et l'esprit obtus de la petite bourgeoisie. La présence de ce point de vue radical n'entrave en rien le récit, qui demeure un roman léger et un beau divertissement.
Lydie, jeune Parisienne, se marie à un industriel belge, Alphonse Van Zee. Après une lune de miel idyllique dans les Ardennes belges, le jeune couple emménage provisoirement rue du Palais à Bruxelles, chez Mme Van Zee et ses trois filles.
Dans la maison règne une atmosphère hostile, la mère et les filles sont à la chasse au mari et Lydie, belle et cultivée, trop éduquée, fait se détourner des sours Van Zee, moins bien loties physiquement et intellectuellement, tout mari potentiel.
Jusqu'au jour où une lettre annonce la venue d'un lointain cousin, jeune papa, veuf et riche. Lydie, dans une longue lettre à sa mère restée à Paris, croque avec férocité l'esprit de province qui règne dans la capitale, les promenades hebdomadaires au Parc de Bruxelles, les gens qui y déambulent, l'architecture et les mours de l'époque. À travers ce roman réaliste (1875), elle porte surtout des revendications féministes, comme le droit à l'éducation, issues du courant laïque et progressiste de la fin du XIXe siècle.
Elle dénonce aussi les préjugés sociaux et l'esprit obtus de la petite bourgeoisie. La présence de ce point de vue radical n'entrave en rien le récit, qui demeure un roman léger et un beau divertissement.
Jusqu'au jour où une lettre annonce la venue d'un lointain cousin, jeune papa, veuf et riche. Lydie, dans une longue lettre à sa mère restée à Paris, croque avec férocité l'esprit de province qui règne dans la capitale, les promenades hebdomadaires au Parc de Bruxelles, les gens qui y déambulent, l'architecture et les mours de l'époque. À travers ce roman réaliste (1875), elle porte surtout des revendications féministes, comme le droit à l'éducation, issues du courant laïque et progressiste de la fin du XIXe siècle.
Elle dénonce aussi les préjugés sociaux et l'esprit obtus de la petite bourgeoisie. La présence de ce point de vue radical n'entrave en rien le récit, qui demeure un roman léger et un beau divertissement.