UNE INTERPRETATION ATHEE DE L'IDEALISME HEGELIEN.. Raison absolue théologique ou Raison absolue philosophique finie
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages240
- FormatPDF
- ISBN2-296-36681-3
- EAN9782296366817
- Date de parution01/09/1998
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans un livre précédemment paru, Raison absolue et finitude (Vrin), l'auteur avait essayé de montrer que l'idéalisme hégélien réalisait effectivement les exigences fondamentales de la pensée philosophique radicale, et qu'il fournissait aujourd'hui encore une base pour comprendre les problèmes de notre temps.
Le présent travail développe une thèse qui demeurait implicite dans ce livre : si l'idée absolue est bien l'accomplissement du savoir absolu de soi de la Raison philosophique, il n'est ni nécessaire ni possible pour autant de conclure à la réalité d'une Idée divine éternitaire qui se serait aliénée dans l'existence finie, naturelle et spirituelle, et qui reviendrait à elle-même à travers la dialectique par laquelle l'esprit fini s'élève jusqu'à la conscience de son infinité.
Cette thèse rencontre évidemment le problème crucial de la contradiction apparente entre le sens nécessaire que la conscience et la pensée entretiennent avec la nature, et la facilité réelle de cette nature en elle-même sans fondement et qui n'en réclame aucun.
L'auteur montre que cette contradiction doit être assumée par la pensée, dans la mesure où elle est constitutive de la liberté qui est l'expression la plus haute du sens de l'esprit.
L'auteur montre que cette contradiction doit être assumée par la pensée, dans la mesure où elle est constitutive de la liberté qui est l'expression la plus haute du sens de l'esprit.
Dans un livre précédemment paru, Raison absolue et finitude (Vrin), l'auteur avait essayé de montrer que l'idéalisme hégélien réalisait effectivement les exigences fondamentales de la pensée philosophique radicale, et qu'il fournissait aujourd'hui encore une base pour comprendre les problèmes de notre temps.
Le présent travail développe une thèse qui demeurait implicite dans ce livre : si l'idée absolue est bien l'accomplissement du savoir absolu de soi de la Raison philosophique, il n'est ni nécessaire ni possible pour autant de conclure à la réalité d'une Idée divine éternitaire qui se serait aliénée dans l'existence finie, naturelle et spirituelle, et qui reviendrait à elle-même à travers la dialectique par laquelle l'esprit fini s'élève jusqu'à la conscience de son infinité.
Cette thèse rencontre évidemment le problème crucial de la contradiction apparente entre le sens nécessaire que la conscience et la pensée entretiennent avec la nature, et la facilité réelle de cette nature en elle-même sans fondement et qui n'en réclame aucun.
L'auteur montre que cette contradiction doit être assumée par la pensée, dans la mesure où elle est constitutive de la liberté qui est l'expression la plus haute du sens de l'esprit.
L'auteur montre que cette contradiction doit être assumée par la pensée, dans la mesure où elle est constitutive de la liberté qui est l'expression la plus haute du sens de l'esprit.