Prix Emile Guimet de littérature asiatique - Roman
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- Nombre de pages272
- FormatePub
- ISBN978-2-234-08296-0
- EAN9782234082960
- Date de parution14/03/2018
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille600 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurStock
Résumé
« Un parfum de forêt, à l'automne, à la tombée de la nuit. Le vent qui berçait les arbres faisait bruisser les feuilles. Un parfum de forêt, à l'heure précise où le soleil se couche. À ceci près qu'il n'y avait pas la moindre forêt alentour. Devant mes yeux se dressait un grand piano noir. Pas de doute possible : c'était bien un piano, laqué et imposant, au couvercle ouvert. À côté se tenait un homme.
Il m'adressaun regard furtif, sans un mot, avant d'enfoncer une touche du clavier. De la forêt dissimulée dans les entrailles de l'instrument s'élevèrent une nouvelle fois ces effluves de vent dans les feuilles. La soirée s'assombrit un peu plus. J'avais dix-sept ans. »Traduit du japonais par Mathilde Tamae-Bouhon
Il m'adressaun regard furtif, sans un mot, avant d'enfoncer une touche du clavier. De la forêt dissimulée dans les entrailles de l'instrument s'élevèrent une nouvelle fois ces effluves de vent dans les feuilles. La soirée s'assombrit un peu plus. J'avais dix-sept ans. »Traduit du japonais par Mathilde Tamae-Bouhon
« Un parfum de forêt, à l'automne, à la tombée de la nuit. Le vent qui berçait les arbres faisait bruisser les feuilles. Un parfum de forêt, à l'heure précise où le soleil se couche. À ceci près qu'il n'y avait pas la moindre forêt alentour. Devant mes yeux se dressait un grand piano noir. Pas de doute possible : c'était bien un piano, laqué et imposant, au couvercle ouvert. À côté se tenait un homme.
Il m'adressaun regard furtif, sans un mot, avant d'enfoncer une touche du clavier. De la forêt dissimulée dans les entrailles de l'instrument s'élevèrent une nouvelle fois ces effluves de vent dans les feuilles. La soirée s'assombrit un peu plus. J'avais dix-sept ans. »Traduit du japonais par Mathilde Tamae-Bouhon
Il m'adressaun regard furtif, sans un mot, avant d'enfoncer une touche du clavier. De la forêt dissimulée dans les entrailles de l'instrument s'élevèrent une nouvelle fois ces effluves de vent dans les feuilles. La soirée s'assombrit un peu plus. J'avais dix-sept ans. »Traduit du japonais par Mathilde Tamae-Bouhon
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