Une écriture psychotique : Louis-Ferdinand Céline
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- Nombre de pages134
- FormatePub
- ISBN2-402-03960-4
- EAN9782402039604
- Date de parution01/01/1984
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille461 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (A.G....
Résumé
La folie occupe dans la vie et l'ouvre de Céline une situation privilégiée, celle d'un noud, mais aussi d'un noyau résistant. Cette rencontre de l'écriture et de la folie, « descente aux enfers de la nomination, c'est-à-dire de l'identité signifiable » (Kristeva), reflète, bien davantage qu'un drame personnel, une sensibilité littéraire toute contemporaine. Elle s'illustre de Lautréamont à Edmond Jabès, en passant par Joyce, Kafka, Beckett, Artaud et Georges Bataille.
C'est à la façon dont Céline négocie avec la folie pour construire son écriture que s'attache l'analyse de l'auteur. Isabelle Blondiaux montre comment cette écriture, au-delà d'un certain mode romanesque de représentation du monde et des hommes, est indissociable de la psychose et de son langage par la mise en ouvre même de ce que Gilles Deleuze a appelé le « procédé linguistique ».
C'est à la façon dont Céline négocie avec la folie pour construire son écriture que s'attache l'analyse de l'auteur. Isabelle Blondiaux montre comment cette écriture, au-delà d'un certain mode romanesque de représentation du monde et des hommes, est indissociable de la psychose et de son langage par la mise en ouvre même de ce que Gilles Deleuze a appelé le « procédé linguistique ».
La folie occupe dans la vie et l'ouvre de Céline une situation privilégiée, celle d'un noud, mais aussi d'un noyau résistant. Cette rencontre de l'écriture et de la folie, « descente aux enfers de la nomination, c'est-à-dire de l'identité signifiable » (Kristeva), reflète, bien davantage qu'un drame personnel, une sensibilité littéraire toute contemporaine. Elle s'illustre de Lautréamont à Edmond Jabès, en passant par Joyce, Kafka, Beckett, Artaud et Georges Bataille.
C'est à la façon dont Céline négocie avec la folie pour construire son écriture que s'attache l'analyse de l'auteur. Isabelle Blondiaux montre comment cette écriture, au-delà d'un certain mode romanesque de représentation du monde et des hommes, est indissociable de la psychose et de son langage par la mise en ouvre même de ce que Gilles Deleuze a appelé le « procédé linguistique ».
C'est à la façon dont Céline négocie avec la folie pour construire son écriture que s'attache l'analyse de l'auteur. Isabelle Blondiaux montre comment cette écriture, au-delà d'un certain mode romanesque de représentation du monde et des hommes, est indissociable de la psychose et de son langage par la mise en ouvre même de ce que Gilles Deleuze a appelé le « procédé linguistique ».