Une calligraphie des ombres. Les manuscrits d'Alejandra Pizarnik

Par : Mariana Di Cio

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages368
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-84292-485-0
  • EAN9782842924850
  • Date de parution05/10/2014
  • Protection num.pas de protection
  • Taille8 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurPU Vincennes

Résumé

Premier ouvrage publié en français sur Alejandra Pizarnik (1936-1972), ce livre s'attache aux manuscrits de cette poète argentine, qui sont objets à voir autant qu'à lire. L'auteur les analyse comme le lieu où se révèlent les rapports particulièrement complexes que l'écrivain entretient avec le langage en tant que matériau, que ce soit dans le choix des instruments d'écriture, dans la matérialité des supports, dans l'agencement du texte sur la page blanche ou dans les pratiques de composition. Les « papiers de travail » de Pizarnik dessinent une « calligraphie des ombres », qui s'acorde à l'opacité d'une voix singulière, toujours fuyante, pour interroger la prétendue transparence des signes et des lettres.
« Toute la nuit je fais la nuit. Toute la nuit j'écris. Mot à mot j'écris la nuit. »
Premier ouvrage publié en français sur Alejandra Pizarnik (1936-1972), ce livre s'attache aux manuscrits de cette poète argentine, qui sont objets à voir autant qu'à lire. L'auteur les analyse comme le lieu où se révèlent les rapports particulièrement complexes que l'écrivain entretient avec le langage en tant que matériau, que ce soit dans le choix des instruments d'écriture, dans la matérialité des supports, dans l'agencement du texte sur la page blanche ou dans les pratiques de composition. Les « papiers de travail » de Pizarnik dessinent une « calligraphie des ombres », qui s'acorde à l'opacité d'une voix singulière, toujours fuyante, pour interroger la prétendue transparence des signes et des lettres.
« Toute la nuit je fais la nuit. Toute la nuit j'écris. Mot à mot j'écris la nuit. »