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  • Nombre de pages429
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8238-4349-1
  • EAN9782823843491
  • Date de parution14/04/2016
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Éditeur12-21

Résumé

" Un souffle, une ombre, un rien, tout lui donnait la fièvre. " Il faisait particulièrement doux ce soir-là. Nous étions en été, un samedi soir, la fête annuelle de la base nautique des Crozes avait battu son plein toute la journée. Justine avait demandé à ses parents, également présents, de pouvoir passer la nuit avec sa cousine et deux copains de classe sur l'îlot des Bois-Obscurs, au centre du lac.
Un camping entre pré-adultes. Une récompense pour le bon travail fourni toute l'année. Promis, ils seraient de retour le lendemain, à 10 heures au plus tard. Le dimanche matin, les adolescents se font attendre. L'un des parents, de rage, parcourt la distance à la nage. Il découvre alors l'étendue du massacre : les corps meurtris, outragés, dénudés. Les familles des victimes, des accusés, la région, tous vont connaître le chaos et le déclin. Ma vie d'enfant a basculé ce jour-là.
Quelqu'un - quelque chose -, au visage indéfini, malveillant, a pris possession de mon imaginaire, de mon âme. Vingt ans après le drame, l'occasion de dépasser ce traumatisme collectif s'offre à moi. Je vais enfin pouvoir donner un visage à mes peurs.
" Un souffle, une ombre, un rien, tout lui donnait la fièvre. " Il faisait particulièrement doux ce soir-là. Nous étions en été, un samedi soir, la fête annuelle de la base nautique des Crozes avait battu son plein toute la journée. Justine avait demandé à ses parents, également présents, de pouvoir passer la nuit avec sa cousine et deux copains de classe sur l'îlot des Bois-Obscurs, au centre du lac.
Un camping entre pré-adultes. Une récompense pour le bon travail fourni toute l'année. Promis, ils seraient de retour le lendemain, à 10 heures au plus tard. Le dimanche matin, les adolescents se font attendre. L'un des parents, de rage, parcourt la distance à la nage. Il découvre alors l'étendue du massacre : les corps meurtris, outragés, dénudés. Les familles des victimes, des accusés, la région, tous vont connaître le chaos et le déclin. Ma vie d'enfant a basculé ce jour-là.
Quelqu'un - quelque chose -, au visage indéfini, malveillant, a pris possession de mon imaginaire, de mon âme. Vingt ans après le drame, l'occasion de dépasser ce traumatisme collectif s'offre à moi. Je vais enfin pouvoir donner un visage à mes peurs.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Un roman qui vaut la peine qu'on s'y attarde
Au départ, j'ai eu du mal a entrer dans le roman ne comprenant pas où l'auteur voulait nous emmener. Assez vite on se laisse emporter par l'enquête qui nous ramène dans le passé. Le narrateur, professeur d'université en histoire, a grandi dans une ville où un drame a eu lieu lorsqu'il était enfant. Il en a gardé des séquelles psychologique l'empêchant d'avancer dans sa vie d'adulte. Il va tenter d'exorciser ses peurs en enquêtant sur ce drame qui a causé petit à petit à la ville et ses habitants un choc dont ils ne se sont jamais remis. L'intrigue bien que sordide est superbement menée. Vous allez dormir avec la lumière allumée!
Au départ, j'ai eu du mal a entrer dans le roman ne comprenant pas où l'auteur voulait nous emmener. Assez vite on se laisse emporter par l'enquête qui nous ramène dans le passé. Le narrateur, professeur d'université en histoire, a grandi dans une ville où un drame a eu lieu lorsqu'il était enfant. Il en a gardé des séquelles psychologique l'empêchant d'avancer dans sa vie d'adulte. Il va tenter d'exorciser ses peurs en enquêtant sur ce drame qui a causé petit à petit à la ville et ses habitants un choc dont ils ne se sont jamais remis. L'intrigue bien que sordide est superbement menée. Vous allez dormir avec la lumière allumée!

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.4/5
sur 5 notes dont 5 avis lecteurs
Un voyage dans le temps...
C’est un roman policier pas comme les autres. J’avoue, j’ai eu un peu de mal à démarrer. Mais j’ai persisté et je ne le regrette pas du tout !!! C’est une belle histoire bien sombre que nous conte Christian Carayon. L’intrigue, on la découvre au fil des pages, vécue par un enfant de 10 ans qui, 35 ans plus tard, la raconte pour se libérer de ses peurs d’enfant et de ses angoisses d’adulte. Au départ, je me suis demandée où il voulait nous emmener. Je ne voyais pas comment il pouvait retrouver l’auteur des crimes, 35 ans plus tard, sans preuve. Il a réussi à me tenir en haleine et je n’ai pas été déçue du voyage (oui, il s’agit bien d’un voyage en quelque sorte). Il y a eu des moments où mon cœur s’est emballé, tellement le suspense est bien maintenu. J’ai eu peur. J’ai souri. En bref, j’ai vécu cette histoire. C’est tout ce que j’attends d’un bon roman (policier ou pas !).
C’est un roman policier pas comme les autres. J’avoue, j’ai eu un peu de mal à démarrer. Mais j’ai persisté et je ne le regrette pas du tout !!! C’est une belle histoire bien sombre que nous conte Christian Carayon. L’intrigue, on la découvre au fil des pages, vécue par un enfant de 10 ans qui, 35 ans plus tard, la raconte pour se libérer de ses peurs d’enfant et de ses angoisses d’adulte. Au départ, je me suis demandée où il voulait nous emmener. Je ne voyais pas comment il pouvait retrouver l’auteur des crimes, 35 ans plus tard, sans preuve. Il a réussi à me tenir en haleine et je n’ai pas été déçue du voyage (oui, il s’agit bien d’un voyage en quelque sorte). Il y a eu des moments où mon cœur s’est emballé, tellement le suspense est bien maintenu. J’ai eu peur. J’ai souri. En bref, j’ai vécu cette histoire. C’est tout ce que j’attends d’un bon roman (policier ou pas !).
Il faut parfois se contenter du résumé...
Le résumé d'Un Souffle, une ombre m’a tout de suite séduite. Je m’attendais à un thriller. Au pire à un roman noir. Dans les deux cas, j’avais la quasi certitude de passer un très bon moment de lecture si j’en croyais le résumé et les quelques avis très positifs glanés ici et là. Vous dire que j’ai déchanté est un euphémisme. Je suis tombée d’une très haute échelle de satisfaction. Avant de dresser un portrait peu avantageux de ce roman, je vais vous parler de l’histoire en elle-même qui par les mots avait tout pour plaire. Sur le papier, vous l’aurez compris, c’est une tout autre histoire. Vadérieu, petite ville paisible du Massif-Central. Nombreuses sont les occasions de célébrer quelque chose ou quelqu’un pour les habitants de cette bourgade sans histoire. Pendant l’été 1980, une énième fête va réunir habitants et vacanciers autour du lac de Basse-Misère. Jeunes, vieux, locaux, étrangers… Tous passent un bon moment en cette belle journée estivale jusqu’à ce que la disparition de 4 jeunes inquiète les familles qui les avaient autorisés à partir camper non loin de là. Le campement du quatuor est témoin d’un massacre comme on en jamais vu à Vadérieu. Les corps des enfants sont retrouvés disséminés ici et là. Faiblement reconnaissable pour l’un, enfoui sous la tente pour l’autre… De la découverte des corps jusqu’à l’emprisonnement du coupable, l’enquête va être bâclée. Trente quatre ans plus tard, Marc-Edouard Peiresoles, historien, était collégien à Vadérieu à l’époque du drame. Il décide de faire fuir ses propres démons en retraçant toute l’histoire qui a changé à jamais tout une ville et ses habitants. En achevant d’écrire ce résumé de l’histoire, je croirais presque que les critiques à venir ne sont pas destinées au même livre. Et pourtant si… Un Souffle, une ombre est découpé en six parties distinctes. Ce découpage aurait pu rendre la lecture plus agréable si l’auteur, Christian Carayon, n’avait pas décidé d’alterner le passé et le présent en y ajoutant en plus différents moments (vie passée du narrateur, vie présente du narrateur, enquête passée, reprise de l’enquête, drame…). Tout ça bien distingué aurait pu être lisible voir agréable, mais j’ai trouvé que ça me faisait l’effet contraire. Mauvaise compréhension ou mauvaise mise en page, je vous laisse vous, futur lecteur, me donner la réponse. Nous lisons le roman à travers le regard du narrateur Marc-Edouard Peiresoles. Et quelle peine ça m’a donné. Cet homme est historien, originaire de Vadérieu, âgé d’une quarantaine d’années et j’ai envie de vous dire peureux, voire sujet à des troubles psychologiques. Imaginez ma peine… Je m’attendais à lire un roman décapant suite à la lecture du résumé si prometteur et je me retrouve à tourner des pages aussi longues et creuses que le narrateur de l’histoire. Cet historien passe son temps à nous rabâcher ses peurs. Pardon, je me corrige, ses angoisses comme lui dit son psy. Je pense qu’à ce stade de ma critique, vous arrivez à dresser un premier tableau de l’histoire. Je vais vous donner de quoi lui donner plus de consistance. Le narrateur, en plus de nous faire part de ses peurs et échecs m’a assommée de descriptions lourdes, voire inutiles. Et ayant pour thème principal : les paysages. Le seul passage qui m’a percutée dans ce livre est celui où le drame est narré dans son intégralité. Christian Carayon a réussi à me faire frissonner d’effroi face à de telles ignominies. Mais le soufflet est bien trop vite retombé. Bref, je vais arrêter là ma critique peu flatteuse sur ce roman. Je vais être sincère, je ne pense pas que le livre soit mauvais. Je ne suis juste pas la bonne lectrice pour cette écriture détaillée voir poétique par moment, qui ne semble pas me réussir.
Le résumé d'Un Souffle, une ombre m’a tout de suite séduite. Je m’attendais à un thriller. Au pire à un roman noir. Dans les deux cas, j’avais la quasi certitude de passer un très bon moment de lecture si j’en croyais le résumé et les quelques avis très positifs glanés ici et là. Vous dire que j’ai déchanté est un euphémisme. Je suis tombée d’une très haute échelle de satisfaction. Avant de dresser un portrait peu avantageux de ce roman, je vais vous parler de l’histoire en elle-même qui par les mots avait tout pour plaire. Sur le papier, vous l’aurez compris, c’est une tout autre histoire. Vadérieu, petite ville paisible du Massif-Central. Nombreuses sont les occasions de célébrer quelque chose ou quelqu’un pour les habitants de cette bourgade sans histoire. Pendant l’été 1980, une énième fête va réunir habitants et vacanciers autour du lac de Basse-Misère. Jeunes, vieux, locaux, étrangers… Tous passent un bon moment en cette belle journée estivale jusqu’à ce que la disparition de 4 jeunes inquiète les familles qui les avaient autorisés à partir camper non loin de là. Le campement du quatuor est témoin d’un massacre comme on en jamais vu à Vadérieu. Les corps des enfants sont retrouvés disséminés ici et là. Faiblement reconnaissable pour l’un, enfoui sous la tente pour l’autre… De la découverte des corps jusqu’à l’emprisonnement du coupable, l’enquête va être bâclée. Trente quatre ans plus tard, Marc-Edouard Peiresoles, historien, était collégien à Vadérieu à l’époque du drame. Il décide de faire fuir ses propres démons en retraçant toute l’histoire qui a changé à jamais tout une ville et ses habitants. En achevant d’écrire ce résumé de l’histoire, je croirais presque que les critiques à venir ne sont pas destinées au même livre. Et pourtant si… Un Souffle, une ombre est découpé en six parties distinctes. Ce découpage aurait pu rendre la lecture plus agréable si l’auteur, Christian Carayon, n’avait pas décidé d’alterner le passé et le présent en y ajoutant en plus différents moments (vie passée du narrateur, vie présente du narrateur, enquête passée, reprise de l’enquête, drame…). Tout ça bien distingué aurait pu être lisible voir agréable, mais j’ai trouvé que ça me faisait l’effet contraire. Mauvaise compréhension ou mauvaise mise en page, je vous laisse vous, futur lecteur, me donner la réponse. Nous lisons le roman à travers le regard du narrateur Marc-Edouard Peiresoles. Et quelle peine ça m’a donné. Cet homme est historien, originaire de Vadérieu, âgé d’une quarantaine d’années et j’ai envie de vous dire peureux, voire sujet à des troubles psychologiques. Imaginez ma peine… Je m’attendais à lire un roman décapant suite à la lecture du résumé si prometteur et je me retrouve à tourner des pages aussi longues et creuses que le narrateur de l’histoire. Cet historien passe son temps à nous rabâcher ses peurs. Pardon, je me corrige, ses angoisses comme lui dit son psy. Je pense qu’à ce stade de ma critique, vous arrivez à dresser un premier tableau de l’histoire. Je vais vous donner de quoi lui donner plus de consistance. Le narrateur, en plus de nous faire part de ses peurs et échecs m’a assommée de descriptions lourdes, voire inutiles. Et ayant pour thème principal : les paysages. Le seul passage qui m’a percutée dans ce livre est celui où le drame est narré dans son intégralité. Christian Carayon a réussi à me faire frissonner d’effroi face à de telles ignominies. Mais le soufflet est bien trop vite retombé. Bref, je vais arrêter là ma critique peu flatteuse sur ce roman. Je vais être sincère, je ne pense pas que le livre soit mauvais. Je ne suis juste pas la bonne lectrice pour cette écriture détaillée voir poétique par moment, qui ne semble pas me réussir.
Un thriller efficace, parfois dérangeant
Le suspens arrive lentement, sûrement mais obsédant. Parfois, certains passages sont un peu mous, ternes mais l'intrigue reprend dans un rythme plus diabolique. D'une scène de meurtre horrible, on en arrive à dresser le portrait de personnages bourgeois, parfois superficiels, rejetés ou écorchés vifs, aux destins brisés. Tous sont soupçonnés à un moment donné et le professeur qui va se replonger dans le passé est lui-même tourmenté, timoré, fragile mais avec la capacité de se mettre à la place des autres. Régulièrement, il nous fait part de ses états d'âmes, de ses peurs et de ses envies. Son obsession de découvrir la vérité prend bientôt toute la place. La folie n'est pas loin ... Nous sommes noyés dans un tourbillon d’événements, de peur et de psychose. On trouve un peu de poésie si l'on peut dire au milieu de toute cette horreur et ces faux-semblants avec de belles descriptions de paysages qui nous feraient parfois même oublier cet environnement glauque d'une ville en déclin. L'ambiance est parfois surréaliste, mystérieuse avec des allers et retours dans le passé, la nostalgie... "Le passé existe uniquement parce que chacun d'entre nous est capable de plonger dedans tel qu'il le voit, tel qu'il le sent, tel qu'il l'a recréé".
Le suspens arrive lentement, sûrement mais obsédant. Parfois, certains passages sont un peu mous, ternes mais l'intrigue reprend dans un rythme plus diabolique. D'une scène de meurtre horrible, on en arrive à dresser le portrait de personnages bourgeois, parfois superficiels, rejetés ou écorchés vifs, aux destins brisés. Tous sont soupçonnés à un moment donné et le professeur qui va se replonger dans le passé est lui-même tourmenté, timoré, fragile mais avec la capacité de se mettre à la place des autres. Régulièrement, il nous fait part de ses états d'âmes, de ses peurs et de ses envies. Son obsession de découvrir la vérité prend bientôt toute la place. La folie n'est pas loin ... Nous sommes noyés dans un tourbillon d’événements, de peur et de psychose. On trouve un peu de poésie si l'on peut dire au milieu de toute cette horreur et ces faux-semblants avec de belles descriptions de paysages qui nous feraient parfois même oublier cet environnement glauque d'une ville en déclin. L'ambiance est parfois surréaliste, mystérieuse avec des allers et retours dans le passé, la nostalgie... "Le passé existe uniquement parce que chacun d'entre nous est capable de plonger dedans tel qu'il le voit, tel qu'il le sent, tel qu'il l'a recréé".
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