Un siècle de trahisons. La diplomatie française, les Juifs et Israël, 1894-2007
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- Nombre de pages256
- FormatePub
- ISBN978-2-251-91251-6
- EAN9782251912516
- Date de parution10/01/2020
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
- TraducteurHenri Froment
Résumé
Durant tout le XXe siècle, le Quai d'Orsay a mis en oeuvre une « politique arabe » destinée à assurer l'« influence française » au Moyen-Orient. Quitte pour cela à trahir non seulement les valeurs fondamentales dont la France aime à se prévaloir, mais également ses citoyens juifs perçus, au mieux, comme partagés entre deux allégeances, au pire, comme traîtres en puissance. Dans ce livre David Pryce-Jones met en lumière quelques constantes de l'action du Quai d'Orsay : préservation des intérêts matériels de la France, fascination pour la realpolitik, anglophobie qui deviendra de l'antiaméricanisme.
Pour l'auteur, les positions politiques de la diplomatie française masquent souvent un antisémitisme replacé ici dans un contexte culturel, historique et religieux plus large, avec notamment l'évocation de grandes figures d'intellectuels (Paul Morand, Paul Claudel, Jean Giraudoux et Louis Massignon). Logiquement, cet antisémitisme se doublera d'un antisionisme à partir du moment où les Juifs entreprendront de déterminer eux-mêmes leur destin.
De l'affaire Dreyfus à la présidence de Jacques Chirac, le Quai d'Orsay apparaît comme suranné et pétri d'illusions, incapable d'accepter les événements et a fortiori de les analyser, qu'il s'agisse de la persécution des Juifs par l'Allemagne nazie, du soutien apporté au grand mufti de Jérusalem, de la création et de la préservation de l'État d'Israël ou des compromissions du gouvernement français avec certains régimes arabes.
David Pryce-Jones dresse un portrait implacable et parfois inquiétant de la diplomatie française que d'aucuns analyseront comme un réquisitoire. Le lecteur en jugera.
Pour l'auteur, les positions politiques de la diplomatie française masquent souvent un antisémitisme replacé ici dans un contexte culturel, historique et religieux plus large, avec notamment l'évocation de grandes figures d'intellectuels (Paul Morand, Paul Claudel, Jean Giraudoux et Louis Massignon). Logiquement, cet antisémitisme se doublera d'un antisionisme à partir du moment où les Juifs entreprendront de déterminer eux-mêmes leur destin.
De l'affaire Dreyfus à la présidence de Jacques Chirac, le Quai d'Orsay apparaît comme suranné et pétri d'illusions, incapable d'accepter les événements et a fortiori de les analyser, qu'il s'agisse de la persécution des Juifs par l'Allemagne nazie, du soutien apporté au grand mufti de Jérusalem, de la création et de la préservation de l'État d'Israël ou des compromissions du gouvernement français avec certains régimes arabes.
David Pryce-Jones dresse un portrait implacable et parfois inquiétant de la diplomatie française que d'aucuns analyseront comme un réquisitoire. Le lecteur en jugera.
Durant tout le XXe siècle, le Quai d'Orsay a mis en oeuvre une « politique arabe » destinée à assurer l'« influence française » au Moyen-Orient. Quitte pour cela à trahir non seulement les valeurs fondamentales dont la France aime à se prévaloir, mais également ses citoyens juifs perçus, au mieux, comme partagés entre deux allégeances, au pire, comme traîtres en puissance. Dans ce livre David Pryce-Jones met en lumière quelques constantes de l'action du Quai d'Orsay : préservation des intérêts matériels de la France, fascination pour la realpolitik, anglophobie qui deviendra de l'antiaméricanisme.
Pour l'auteur, les positions politiques de la diplomatie française masquent souvent un antisémitisme replacé ici dans un contexte culturel, historique et religieux plus large, avec notamment l'évocation de grandes figures d'intellectuels (Paul Morand, Paul Claudel, Jean Giraudoux et Louis Massignon). Logiquement, cet antisémitisme se doublera d'un antisionisme à partir du moment où les Juifs entreprendront de déterminer eux-mêmes leur destin.
De l'affaire Dreyfus à la présidence de Jacques Chirac, le Quai d'Orsay apparaît comme suranné et pétri d'illusions, incapable d'accepter les événements et a fortiori de les analyser, qu'il s'agisse de la persécution des Juifs par l'Allemagne nazie, du soutien apporté au grand mufti de Jérusalem, de la création et de la préservation de l'État d'Israël ou des compromissions du gouvernement français avec certains régimes arabes.
David Pryce-Jones dresse un portrait implacable et parfois inquiétant de la diplomatie française que d'aucuns analyseront comme un réquisitoire. Le lecteur en jugera.
Pour l'auteur, les positions politiques de la diplomatie française masquent souvent un antisémitisme replacé ici dans un contexte culturel, historique et religieux plus large, avec notamment l'évocation de grandes figures d'intellectuels (Paul Morand, Paul Claudel, Jean Giraudoux et Louis Massignon). Logiquement, cet antisémitisme se doublera d'un antisionisme à partir du moment où les Juifs entreprendront de déterminer eux-mêmes leur destin.
De l'affaire Dreyfus à la présidence de Jacques Chirac, le Quai d'Orsay apparaît comme suranné et pétri d'illusions, incapable d'accepter les événements et a fortiori de les analyser, qu'il s'agisse de la persécution des Juifs par l'Allemagne nazie, du soutien apporté au grand mufti de Jérusalem, de la création et de la préservation de l'État d'Israël ou des compromissions du gouvernement français avec certains régimes arabes.
David Pryce-Jones dresse un portrait implacable et parfois inquiétant de la diplomatie française que d'aucuns analyseront comme un réquisitoire. Le lecteur en jugera.