Un mari idéal

Par : Oscar Wilde
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  • Nombre de pages320
  • FormatePub
  • ISBN978-2-07-249826-8
  • EAN9782072498268
  • Date de parution17/04/2015
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille1 Mo
  • Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
  • ÉditeurEditions Gallimard
  • TraducteurJean-Michel Déprats
  • AnnotateurAlain Jumeau

Résumé

Edition enrichie d'Alain Jumeau comportant une préface et un dossier sur l'oeuvre. Un mari idéal (1895) est la troisième des comédies d'Oscar Wilde. Créée quelques semaines avant L'Importance d'être constant, elle fut jouée au même moment, et l'auteur triompha sur deux scènes différentes de Londres. Sir Robert Chiltern semble disposer de tous les atouts : il est riche, sous-secrétaire d'État aux Affaires étrangères, et sa femme voit en lui un mari idéal.
Mais son succès repose sur une grave malhonnêteté, dissimulée depuis sa jeunesse. Il sera victime d'un chantage. La comédie dénonce l'hypocrisie, le culte de l'or qui corrompt la société et l'affairisme qui gagne les milieux dirigeants. Cette visée politique n'empêche nullement Wilde, dans un festival de mots d'esprit, d'aphorismes et de paradoxes frisant l'absurde, de jouer avec le langage, avec l'intrigue et les conventions scéniques, comme pour mieux affirmer sa liberté et sa modernité.
Edition enrichie d'Alain Jumeau comportant une préface et un dossier sur l'oeuvre. Un mari idéal (1895) est la troisième des comédies d'Oscar Wilde. Créée quelques semaines avant L'Importance d'être constant, elle fut jouée au même moment, et l'auteur triompha sur deux scènes différentes de Londres. Sir Robert Chiltern semble disposer de tous les atouts : il est riche, sous-secrétaire d'État aux Affaires étrangères, et sa femme voit en lui un mari idéal.
Mais son succès repose sur une grave malhonnêteté, dissimulée depuis sa jeunesse. Il sera victime d'un chantage. La comédie dénonce l'hypocrisie, le culte de l'or qui corrompt la société et l'affairisme qui gagne les milieux dirigeants. Cette visée politique n'empêche nullement Wilde, dans un festival de mots d'esprit, d'aphorismes et de paradoxes frisant l'absurde, de jouer avec le langage, avec l'intrigue et les conventions scéniques, comme pour mieux affirmer sa liberté et sa modernité.
Oscar Wilde
Oscar Wilde est né à Dublin, en Irlande. Son père est chirurgien, sa mère est poétesse et traductrice d'auteurs français (Dumas et Lamartine). Il fait ses études au Trinity College de Dublin puis à Oxford, en Angleterre. Grâce à son élégance et à sa vivacité d'esprit, il devient vite un auteur très apprécié en Grande-Bretagne, mais aussi en France où il est salué par les milieux littéraires. Ses poésies, ses contes, ses histoires, son roman ("Le Portrait de Dorian Gray") et ses pièces de théâtre - dont l'une "Salomé" est écrite en français, est créée par Sarah Bernhardt - assurent son succès. Il est alors reconnu comme le chef de file de ce que l'on a appelé "le culte esthétique" : extrême raffinement, amour exclusif des belles choses, attitude détachée. Mais sa vie bascule en 1895 ; lorsqu'il est condamné à deux ans de travaux forcés dans une Angleterre victorienne très puritaine. Refusant de fuir, il purge sa peine et sort brisé du bagne. Il est désormais un homme ruiné, exclu de la société. Il finit misérablement sa vie à Paris où il meurt le 30 novembre 1900, à 46 ans d'une méningite. Ses derniers mots, dans une chambre d'hôtel au décor miteux (hôtel d'Alsace, 13, rue des Beaux-Arts à Paris) auraient été : "Ou c'est ce papier peint qui disparaît, ou c'est moi".
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