Un jardin à Venise

Par : Frederic Eden

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages82
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-336-34777-6
  • EAN9782336347776
  • Date de parution01/05/2014
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille3 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • TraducteurSylvie Mamy

Résumé

"[...] C'est dans un état pitoyable que je parvins sur la lagune, il y a plus d'une vingtaine d'années. Le balancement de la gondole m'épargnait les douleurs et les tensions que m'infligeaient mon fauteuil roulant et la voiture. Je crois que c'est la raison pour laquelle je pris racine à Venise. Ni bruit, ni mouches, ni poussière. Un air aussi agréable que la brise. Un soleil qui me réchauffait sans me brûler, une lumière douce et diffuse, qui ne m'éblouissait pas et me permettait de lire sans fatigue, un climat propice à l'oisiveté et qui n'exige rien de vous.
Nous aurions donc bien pu, nous aussi, nous laisser aller à l'indolence..."
"[...] C'est dans un état pitoyable que je parvins sur la lagune, il y a plus d'une vingtaine d'années. Le balancement de la gondole m'épargnait les douleurs et les tensions que m'infligeaient mon fauteuil roulant et la voiture. Je crois que c'est la raison pour laquelle je pris racine à Venise. Ni bruit, ni mouches, ni poussière. Un air aussi agréable que la brise. Un soleil qui me réchauffait sans me brûler, une lumière douce et diffuse, qui ne m'éblouissait pas et me permettait de lire sans fatigue, un climat propice à l'oisiveté et qui n'exige rien de vous.
Nous aurions donc bien pu, nous aussi, nous laisser aller à l'indolence..."